Le Parlement européen a demandé jeudi à la Commission européenne de définir des normes juridiques et éthiques applicables aux robots qui devraient de plus en plus remplacer les humains dans certaines de leurs tâches au cours des décennies à venir. Véhicules autonomes, drones, robots médicaux ou de soins à la personne, les domaines dans lesquels intervient l’intelligence artificielle se multiplient, souligne la résolution élaborée par la social-démocrate luxembourgeoise Mady Delvaux et adoptée par 396 voix contre 123 et 85 abstentions.
La croissance de l'économie israélienne s’est vivement accélérée sur les trois derniers mois de l’année dernière, portée par la bonne tenue aussi bien des exportations que de la consommation des ménages, et devrait s'établir à 4% pour l’ensemble de 2016, a déclaré jeudi le Bureau central des statistiques. Ce dernier souligne que, sur une base annualisée, la hausse du produit intérieur brut (PIB) a été de 6,2% sur le quatrième trimestre 2016. La progression du troisième trimestre a été révisée en hausse de 0,6 point de pourcentage, à 4,2%.
L’Italie a enregistré un excédent commercial record l’an dernier, grâce à la hausse des exportations vers la Chine et le Japon et à la baisse importations en provenance de Russie, selon les données publiées jeudi. Le surplus commercial s'établit à 51,57 milliards d’euros, son plus haut niveau depuis la création de l’indicateur en 1991, contre 41,81 milliards en 2015, a annoncé l’institut national de la statistique (Istat). Ces données insufflent un peu d’optimisme pour l'économie italienne dont la croissance représente la moitié de celle de la zone euro.
Le taux de chômage, calculé selon les normes du Bureau international du travail (BIT), est reparti en baisse au quatrième trimestre pour s'établir à 9,7% (-0,1 point) de la population active en France métropolitaine, selon les données publiées jeudi par l’Insee. Mais l’institut a revu dans le même temps en hausse, à 9,8%, le taux du troisième trimestre qui avait été annoncé précédemment à 9,7%. Sur un an, il affiche une baisse limitée à 0,2 point alors qu’il était tombé jusqu'à 9,6%, un plus bas depuis fin 2012, au printemps dernier.
Le Parlement européen a approuvé mercredi le Ceta, accord controversé de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada, par 408 voix contre 254 et 33 abstentions. Ce vote ouvre la voie à la mise en application provisoire d’une majorité des dispositions de l’accord dès le 1er mars, en particulier la suppression des tarifs douaniers sur près de 99% des marchandises échangées entre les deux partenaires. Avant d’entrer officiellement en vigueur, le Ceta doit encore être approuvé par les parlements nationaux des Etats membres et un certain nombre de parlements régionaux, ce qui pourrait prendre encore jusqu'à deux ans et s’avérer difficile compte tenu de l’opposition suscitée par l’accord, notamment en Belgique.
La confiance des dirigeants de PME et ETI françaises s’est légèrement érodée ce mois-ci tout en restant à un niveau élevé et nettement supérieur à celui prévalant il y a un an, selon l’observatoire OpinionWay pour la Banque Palatine et Challenges paru aujourd’hui. La proportion de patrons de PME et ETI se déclarant confiants pour les perspectives d’activité à six mois de leur propre entreprise atteint 81%, soit trois points de moins qu’en janvier.
Le Parlement européen a approuvé mercredi le Ceta, accord controversé de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada qui pourrait entrer en vigueur provisoirement dès le 1er mars en attendant sa ratification par les parlements nationaux. Ce traité, qui doit faire disparaître les tarifs douaniers sur près de 99% des marchandises entre les deux partenaires, a été adopté par 408 voix contre 254 et 33 abstentions.
L'économie néerlandaise a connu l’an dernier une croissance de 2,1%, montrent des données publiées hier. Soutenu par la consommation des ménages et le commerce extérieur, le produit intérieur brut a augmenté de 0,5% au quatrième trimestre par rapport aux trois mois précédents, a précisé le Bureau central de la statistique (CBS). Il s’agit du 11e trimestre consécutif de croissance et le chiffre pour l’ensemble de 2016 est le plus élevé depuis 2008, a souligné le CBS.
Le taux d’inflation britannique a atteint 1,8% en janvier, au plus haut depuis juin 2014 mais un peu inférieur aux attentes, a annoncé hier l’Office de la statistique nationale (ONS). Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un taux d’inflation de 1,9%, après 1,6% en décembre. Par rapport à décembre, les prix ont diminué de 0,5%. La hausse du mois dernier est largement due aux prix de l'énergie, en progression de 3,4% sur un mois et de 16,8% sur un an.
Les prix à la production ont augmenté plus nettement que prévu aux Etats-Unis le mois dernier grâce au renchérissement de l'énergie et de certains services. Le département du Travail a fait état hier d’un indice des prix à la production (PPI) en hausse de 0,6% en janvier, la plus forte depuis septembre 2012, après +0,2% en décembre. Sur un an, la hausse des prix à la production ressort au même rythme qu’en décembre, à 1,6%.
Les perspectives économiques des analystes financiers et des investisseurs institutionnels en Allemagne se sont dégradées davantage que prévu en février, selon les données publiées hier par l’institut de conjoncture allemand ZEW. L’indicateur économique avancé ZEW est ressorti à 10,4 pour le mois de février, contre 16,6 le mois dernier. «La dégradation des perspectives résulte probablement des statistiques défavorables parues récemment sur la production industrielle, les ventes de détail et les exportations», estime le président de l’institut ZEW, Achim Wambach, dans un communiqué.
L'économie néerlandaise a connu l’an dernier une croissance de 2,1%, sa meilleure performance depuis la crise financière, montrent des données publiées mardi. Soutenu par la consommation des ménages et le commerce extérieur, le produit intérieur brut a augmenté de 0,5% au quatrième trimestre par rapport aux trois mois précédents, a précisé le Bureau central de la statistique (CBS). Il s’agit du 11e trimestre consécutif de croissance et le chiffre pour l’ensemble de 2016 est le plus élevé depuis 2008, a souligné le CBS.
Les prix à la production aux Etats-Unis ont augmenté plus nettement que prévu le mois dernier grâce au renchérissement de l'énergie et de certains services. Le département du Travail a fait état mardi d’un indice des prix à la production (PPI) en hausse de 0,6% en janvier, la plus forte depuis septembre 2012, après +0,2% en décembre. Sur un an, la hausse des prix à la production ressort au même rythme qu’en décembre, à 1,6%. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 0,3% sur un mois et de 1,5% sur un an.
Les perspectives économiques des analystes financiers et des investisseurs institutionnels en Allemagne se sont dégradées davantage que prévu en février, en conséquence de la parution de statistiques faibles et des incertitudes politiques aux Etats-Unis et en Europe, selon les données publiées mardi par l’institut de conjoncture allemand ZEW. L’indicateur économique avancé ZEW est ressorti à 10,4 pour le mois de février, contre 16,6 le mois dernier.
Le taux d’inflation britannique a atteint 1,8% en janvier, au plus haut depuis juin 2014 mais un peu inférieur aux attentes, a annoncé mardi l’Office de la statistique nationale (ONS). Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un taux d’inflation de 1,9%, après 1,6% en décembre. Par rapport à décembre, les prix ont diminué de 0,5%. Hors énergie et alimentation, le taux d’inflation s’est établi à 1,6%, comme en décembre, là aussi inférieur au consensus qui était à 1,8%. La hausse du mois dernier est largement due aux prix de l'énergie, en progression de 3,4% sur un mois et de 16,8% sur un an.
L'économie grecque s’est de nouveau contractée au quatrième trimestre, montre la première estimation du produit intérieur brut (PIB) publiée ce mardi. Le PIB a baissé de 0,6% sur les trois derniers mois de l’année 2016 par rapport aux trois précédents, a annoncé l’institut national de la statistique, après une croissance de 0,9% sur la période juillet-septembre. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient au contraire une croissance de 0,4% et le plus pessimiste d’entre eux tablait sur une hausse de 0,1%. Sur un an, le PIB affiche une croissance de 0,3% seulement au quatrième trimestre, un chiffre trois fois inférieur au consensus qui marque un net ralentissement par rapport à la croissance de 2,2% enregistrée au trimestre précédent.
Le commissaire européen Pierre Moscovici a présenté hier les prévisions de croissance de la zone euro. Elles ont été légèrement relevées, mais en insistant sur le niveau «exceptionnel» des risques qui entourent cet exercice, en raison des incertitudes liées à l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche et au Brexit. Bruxelles table désormais sur une croissance de 1,6% cette année en zone euro, puis de 1,8% l’an prochain, soit 0,1 point de plus que dans les prévisions d’automne publiées début novembre. Pour l’ensemble de l’UE, l’exécutif européen table désormais sur une croissance de 1,8% en 2017 et 2018, contre 1,9% en 2016. L’Allemagne devrait évoluer exactement dans la moyenne de la zone euro. La Commission n’a rien changé en revanche à ses attentes pour la France, dont le produit intérieur brut devrait progresser de 1,4% cette année puis 1,7% en 2018.
Le commissaire européen Pierre Moscovici a présenté lundi les prévisions de croissance de la zone euro. Elles ont été légèrement relevées, mais en insistant sur le niveau «exceptionnel» des risques qui entourent cet exercice, en raison des incertitudes liées à l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche et au Brexit. Bruxelles table désormais sur une croissance de 1,6% cette année en zone euro, puis de 1,8% l’an prochain, soit 0,1 point de plus que dans les prévisions d’automne publiées début novembre. Pour l’ensemble de l’UE, l’exécutif européen table désormais sur une croissance de 1,8% en 2017 et 2018, contre 1,9% en 2016.
La production industrielle française est repartie en baisse en décembre après son vif rebond du mois précédent, se contractant de 0,9% sous l’effet d’un recul dans la quasi-totalité des grands secteurs, selon les données publiées vendredi par l’Insee. La seule production manufacturière a elle aussi accusé une baisse en décembre, de 0,8%, après avoir également augmenté en novembre.