Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté légèrement plus que prévu la semaine dernière aux Etats-Unis. Il y a eu 244.000 inscriptions lors de la semaine au 18 février, soit une hausse de 6.000 par rapport à la semaine précédente, a annoncé hier le département du Travail. Le consensus attendait 241.000 inscriptions supplémentaires. La moyenne mobile sur quatre semaines, considérée comme un meilleur indicateur de la tendance globale, a pour sa part reculé de 4.000 à 241.000 la semaine dernière, un plus bas depuis juillet 1973.
Le gouvernement japonais a revu hier à la baisse son estimation des dépenses de consommation en février, la première correction dans ce sens en 11 mois, en raison de la hausse des prix alimentaires. «La reprise des dépenses de consommation a stagné récemment», souligne le secrétariat général du gouvernement dans son rapport mensuel publié hier, alors qu’il observait un mois auparavant que ces dépenses poursuivaient leur reprise.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté légèrement plus que prévu la semaine dernière aux Etats-Unis. Il y a eu 244.000 inscriptions lors de la semaine au 18 février, soit une hausse de 6.000 par rapport à la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne une progression plus modérée, à 241.000 inscriptions. La moyenne mobile sur quatre semaines, considérée comme un meilleur indicateur de la tendance globale à l’oeuvre sur le marché du travail, a pour sa part reculé de 4.000 à 241.000 la semaine dernière, un plus bas depuis juillet 1973.
La Commission critique l'endettement de l'Italie, les deséquilibres de la France et l'excédent allemand, mais s'abstient pour l'heure d'en tirer les conséquences.
Le PIB britannique a augmenté de 0,7% au quatrième trimestre par rapport au troisième, alors que l’estimation initiale publiée fin janvier le donnait en hausse de 0,6%. Mais si le commerce extérieur a rebondi, l’investissement des entreprises est en baisse et les dépenses de consommation des ménages ont ralenti. L’ONS a en outre abaissé hier son estimation de croissance pour l’ensemble de 2016 à 1,8% contre 2,0%, afin de prendre en compte une reconstitution moins marquée des stocks des entreprises. La Grande-Bretagne perd ainsi le titre d'économie avancée la plus dynamique au monde l’an dernier, au profit de l’Allemagne, qui affiche une croissance de 1,9%.
La croissance de l'économie britannique s’est accélérée fin 2016 mais celle de l’ensemble de l’année est inférieure à l’estimation initiale et le détail des chiffres du produit intérieur brut (PIB) publiés mercredi montre des signes de faiblesse, liés à la perspective du Brexit et susceptibles de peser sur la tendance des mois à venir. Le PIB britannique a augmenté de 0,7% au quatrième trimestre par rapport au troisième, alors que l’estimation initiale publiée fin janvier le donnait en hausse de 0,6% seulement. Mais si les chiffres d’octobre-décembre ont profité d’un rebond du commerce extérieur, l’investissement des entreprises s’est orienté à la baisse et les dépenses de consommation des ménages ont ralenti, ce qui augure mal de 2017.
L’excédent budgétaire britannique s’est élevé à 9,4 milliards de livres (11,07 milliards d’euros) en janvier, contre un consensus à 13,8 milliards. Mais cet indicateur a été faussé par un changement de méthodologie de l’institut national de la statistique dans la comptabilisation des recettes de l’impôt sur les sociétés. Selon la méthode précédente, l’excédent aurait atteint le record de 15,2 milliards de livres. Sur les dix premiers mois de l’exercice budgétaire 2016-2017, le déficit ressort à 49,3 milliards, en repli de 21,6% sur un an. Londres entend ramener le déficit annuel à 68,2 milliards, soit 3,5% du produit intérieur brut (PIB), ce qui semble désormais réalisable.
La confiance des consommateurs a baissé en février tant dans la zone euro que dans l’Union européenne plus large, montrent les chiffres de l’enquête mensuelle publiée hier par la Commission européenne. L’indice pour la zone euro a reculé à -6,2 points en version préliminaire contre -4,8, chiffre révisé à la hausse, en janvier. Dans l’ensemble de l’Union européenne, l’indice a baissé de 0,9 point à -5,2.
Les exportations nippones ont progressé en janvier de 1,3% d’un an sur l’autre, moins que l’augmentation de 4,7% attendue par les analystes, et en-deçà de la hausse de 5,4% de décembre, en raison notamment d’une baisse des expéditions à destination des Etats-Unis et des célébrations du Nouvel An lunaire en Chine. Dans le même temps, les importations ont enregistré leur premier relèvement depuis décembre 2014, de 8,5% en rythme annuel, contre +4,7% anticipés. La balance commerciale du Japon enregistre en janvier un déficit de 1.090 milliards de yens (9 milliards d’euros).
L’excédent courant portugais a atteint 1,56 milliard d’euros l’an dernier contre 124 millions en 2015, montrent des données publiées hier par la banque centrale. L’excédent des échanges de biens et de services a augmenté sur la période de 28% à près de 4,1 milliards d’euros, grâce notamment aux recettes du tourisme, secteur qui représente environ 10% du produit intérieur brut du pays. Le Portugal affiche depuis 2013 un solde positif pour ses comptes courants, après des décennies de déficit.
L’excédent courant du Portugal a atteint 1,56 milliard d’euros l’an dernier contre 124 millions en 2015, montrent des données publiées lundi par la banque centrale. L’excédent des échanges de biens et de services a augmenté sur la période de 28% à près de 4,1 milliards d’euros, grâce notamment aux recettes du tourisme, secteur qui représente environ 10% du produit intérieur brut portugais. Le Portugal affiche depuis 2013 un solde positif pour ses comptes courants, après des décennies de déficit.
Les ministres des Finances de la zone euro sont parvenus lundi à un accord permettant la reprise des négociations sur l'évaluation par les créanciers d’Athènes de l’application de l’accord de soutien en cours. Un haut fonctionnaire grec a déclaré que les représentants des créanciers seraient de retour à Athènes immédiatement après le 27 février avec pour objectif de «conclure un accord technique en l’espace de quelques jours». La dernière mission de ce genre a échoué en décembre en raison de divergences sur les mesures que doit mettre en oeuvre la Grèce pour atteindre les objectifs budgétaires qui lui ont été assignés par ses bailleurs de fonds.
La confiance des consommateurs a baissé en février tant dans la zone euro que dans l’Union européenne plus large, montrent les chiffres de l’enquête mensuelle publiée aujourd’hui par la Commission européenne. L’indice pour la zone euro a reculé à -6,2 points en version préliminaire contre -4,8, chiffre révisé à la hausse, en janvier. Dans l’ensemble de l’Union européenne, l’indice a baissé de 0,9 point à -5,2.
L’excédent des comptes courants dans la zone euro s’est légèrement contracté en décembre, a annoncé vendredi la Banque centrale européenne (BCE). Ajusté des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrés, il a totalisé 31 milliards d’euros contre 36,4 milliards en novembre. Les montants sont pratiquement du même ordre depuis juin. Sur 12 mois, l’excédent courant a représenté 3,4% du PIB des pays de la région, contre 3,1% un an auparavant.
Les ventes au détail au Royaume-Uni ont fléchi de manière inattendue en janvier, après leur recul de 2,1% de décembre, les consommateurs réduisant leurs dépenses en raison de la hausse des prix. Selon des données officielles publiées vendredi par l’institut national de la statistique, les ventes au détail ont séquentiellement reculé de 0,3% le mois dernier. Les économistes avaient tablé sur une hausse de 0,9% et aucun sur une baisse. Sur trois mois à fin janvier, les ventes accusent un repli de 0,4%, leur plus mauvaise performance depuis novembre 2013.
L’excédent des comptes courants dans la zone euro s’est légèrement contracté en décembre, a annoncé la Banque centrale européenne (BCE) ce matin. Ajusté des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrés, il a totalisé 31 milliards d’euros contre 36,4 milliards en novembre. Les montants sont pratiquement du même ordre depuis juin. Sur 12 mois, l’excédent courant a représenté 3,4% du PIB des pays de la région, contre 3,1% un an auparavant.
Les ventes au détail au Royaume-Uni ont fléchi de manière inattendue en janvier, après leur recul de 2,1% de décembre, les consommateurs réduisant leurs dépenses en raison de la hausse des prix. Selon des données officielles publiées vendredi par l’ONS, l’institut national de la statistique, les ventes au détail ont reculé de 0,3% d’un mois sur l’autre le mois dernier. Les économistes avaient tablé sur une hausse de 0,9% et aucun sur une baisse. Sur trois mois à fin janvier, les ventes accusent un repli de 0,4%, leur plus mauvaise performance depuis novembre 2013.
La croissance de l'économie israélienne s’est vivement accélérée sur les trois derniers mois de l’année dernière, portée par la bonne tenue aussi bien des exportations que de la consommation des ménages, et devrait s'établir à 4% pour l’ensemble de 2016, a déclaré hier le Bureau central des statistiques. Ce dernier souligne que, sur une base annualisée, la hausse du produit intérieur brut (PIB) a été de 6,2% sur le quatrième trimestre 2016. La progression du troisième trimestre a été révisée en hausse de 0,6 point de pourcentage, à 4,2%.
Le taux de chômage, calculé selon les normes du Bureau international du travail (BIT), est reparti en baisse au quatrième trimestre pour s'établir à 9,7% (-0,1 point) de la population active en France métropolitaine, selon les données publiées hier par l’Insee. Mais l’institut a revu dans le même temps en hausse, à 9,8%, le taux du troisième trimestre. Sur un an, il affiche une baisse limitée à 0,2 point alors qu’il était tombé jusqu'à 9,6%, un plus bas depuis fin 2012, au printemps dernier.
Le Parlement européen a demandé hier à la Commission européenne de définir des normes juridiques et éthiques applicables aux robots qui devraient de plus en plus remplacer les humains dans certaines de leurs tâches au cours des décennies à venir. L’industrie européenne de la robotique «pourrait se voir avantagée par une démarche réglementaire efficace, cohérente et transparente au niveau de l’Union pour ne pas avoir à adopter des normes définies par d’autres», affirment les eurodéputés. L’hypothèse d’un éventuel impôt sur le travail des robots qui financerait la protection sociale a toutefois été rejetée par une majorité de droite, tout comme la nécessité d’ouvrir un débat sur un revenu universel.