L’OCDE maintient ses prévisions d’une croissance mondiale de 3,3% en 2017 (après 3,0% l’an dernier) et 3,6% en 2018, conformément aux anticipations publiées en novembre. Le FMI s’attend, lui, à une croissance de 3,4% cette année et de 3,6% l’an prochain.
Les commandes à l’industrie ont augmenté pour un deuxième mois consécutif en janvier aux Etats-Unis, où le redressement du secteur manufacturier semble se confirmer avec la hausse des cours des matières premières, qui stimule la demande d'équipements. Le département du Commerce a fait état lundi d’une hausse de 1,2% des nouvelles commandes de biens manufacturés en janvier après une progression de 1,3%, chiffre non révisé, le mois précédent. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient en moyenne à une augmentation de 1,0% en janvier. Sur un an, la hausse atteint 5,5%.
Le moral des investisseurs s’est amélioré plus fortement que prévu en mars, atteignant son niveau le plus élevé depuis près de 10 ans, ces derniers craignant moins que les risques politiques puissent entraver la reprise économique. L’indice Sentix le mesurant ressort à 20,7 en mars, au plus haut depuis août 2007, dépassant le consensus Reuters qui le donnait à 18,5. «Tous les sous-indices des anticipations (...) sont en hausse», précise le consultant Sentix, qui a interrogé 1.081 investisseurs du 2 au 4 mars.
Les commandes à l’industrie ont augmenté pour un deuxième mois consécutif en janvier aux Etats-Unis, où le redressement du secteur manufacturier semble se confirmer avec la hausse des cours des matières premières, qui stimule la demande d'équipements. Le département du Commerce a fait état lundi d’une hausse de 1,2% des nouvelles commandes de biens manufacturés en janvier après une progression de 1,3%, chiffre non révisé, le mois précédent. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient en moyenne à une augmentation de 1,0% en janvier. Sur un an, la hausse atteint 5,5%.
Le moral des investisseurs s’est amélioré plus fortement que prévu en mars, atteignant son niveau le plus élevé depuis près de 10 ans, ces derniers craignant moins que les risques politiques puissent entraver la reprise économique. L’indice Sentix le mesurant ressort à 20,7 en mars, au plus haut depuis août 2007, dépassant le consensus Reuters qui le donnait à 18,5.
Les objectifs 2017 de hausse du PIB et de la masse monétaire seront inférieurs à ceux de 2016, alors que les autorités cherchent à tenir les risques financiers sous contrôle.
Les ventes au détail dans la zone euro en janvier ont baissé, contrairement aux attentes, et pour le troisième mois consécutif, selon Eurostat qui souligne la prudence des consommateurs confrontés à une hausse des prix. Ces ventes ont reculé de 0,1% en janvier par rapport à décembre, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse de 0,4%. Le chiffre de décembre a été revu en baisse à -0,5% contre -0,3% précédemment annoncé. Sur un an, le volume des ventes au détail a progressé de 1,2% en janvier, en deçà de la hausse de 1,6% anticipée par le consensus.
L’ancien ministre de l’Economie Emmanuel Macron promet la création d’un «fonds pour l’industrie et l’innovation» de 10 milliards d’euros pour financer «l’industrie du futur», dans son projet présidentiel présenté hier. Ce fonds, qui s’ajouterait aux 50 milliards d’euros d’investissement public déjà promis sur la durée du quinquennat, sera abondé par la cession par l’Etat de parts d’entreprises dans lequel il est minoritaire.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage sont tombées la semaine dernière à un creux de près de 44 ans aux Etats-Unis, a annoncé hier le département du Travail. Elles ont reculé de 19.000 à 223.000 lors de la semaine au 25 février - soit son niveau le plus bas depuis mars 1973 - contre 242.000 lors de la semaine précédente (chiffré révisé en baisse de 2.000). Les économistes attendaient en moyenne 243.000 inscriptions. La moyenne mobile sur quatre semaines, considérée comme un meilleur indicateur de la tendance globale, s'établit à 234.250 contre 240.500 (chiffre révisé) la semaine précédente, soit un plancher depuis avril 1973.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage sont tombées la semaine dernière à un creux de près de 44 ans aux Etats-Unis, a annoncé jeudi le département du Travail. Elles ont reculé de 19.000 à 223.000 lors de la semaine au 25 février, soit le niveau le plus bas depuis mars 1973, contre 242.000 (chiffré révisé en baisse de 2.000) lors de la semaine précédente. Les économistes attendaient en moyenne 243.000 inscriptions. La moyenne mobile sur quatre semaines, considérée comme un meilleur indicateur de la tendance globale à l’oeuvre sur le marché du travail, s'établit à 234.250 contre 240.500 (chiffre révisé) la semaine précédente, soit un plus bas depuis avril 1973.
L’ancien ministre de l’Economie Emmanuel Macron promet la création d’un «fonds pour l’industrie et l’innovation» de 10 milliards d’euros pour financer «l’industrie du futur», dans son projet présidentiel présenté jeudi. Ce fonds, qui s’ajoute aux 50 milliards d’euros d’investissement public déjà promis sur la durée du quinquennat, sera abondé par la cession par l’Etat de parts d’entreprises dans lequel il est minoritaire, selon un document de synthèse remis à la presse.
Le nombre de chômeurs a baissé nettement en février en Allemagne pour s'établir à 2,592 millions, selon l’Office fédéral du travail. Le nombre de demandeurs d’emplois, corrigé des variations saisonnières (CVS), a ainsi diminué de 14.000, alors que les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé un recul limité à 10.000. Le taux de chômage est resté inchangé à 5,9%, toujours au plus bas depuis la réunification de 1990.
Les dépenses de construction aux Etats-Unis ont reculé de manière inattendue en janvier, a indiqué hier le département du Commerce: la baisse des investissements publics, la plus importante depuis 2002, a contrebalancé la hausse des investissements privés. Ces dépenses ont baissé de 1% à 1.180 milliards de dollars, contre une hausse de 0,1% en décembre. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient en moyenne un gain de 0,6% en janvier. Par rapport à janvier 2016, les dépenses de construction ont augmenté de 3,1%.
L’Italie a connu en 2016 une croissance de 0,9%, au lieu de 0,7% comme annoncé en première estimation, a indiqué l’Institut national de la statistique (Istat) hier. Elle avait atteint 0,8% en 2015. Le gouvernement italien prévoit +1% cette année. Le déficit budgétaire a représenté 2,4% du PIB l’an dernier, contre 2,7% en 2015. La dette publique, la plus élevée de la zone euro après la Grèce, a atteint 132,6% du PIB, un nouveau record, contre 132% en 2015.
Les dépenses de construction aux Etats-Unis ont reculé de manière inattendue en janvier, la baisse des investissements publics, la plus importante depuis 2002, ayant contrebalancé la hausse des investissements privés, montrent les chiffres publiés mercredi par le département du Commerce. Ces dépenses ont baissé de 1,0% à 1.180 milliards de dollars, après une hausse de 0,1% en décembre, chiffre révisé à la hausse. Les économistes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur un gain de 0,6% en janvier. Par rapport à janvier 2016, les dépenses de construction ont augmenté de 3,1%.
L’Italie a connu en 2016 une croissance de 0,9%, et non de 0,7% comme annoncé en première estimation, après 0,8% en 2015, a indiqué l’Institut national de la statistique (Istat) mercredi. Le gouvernement italien projette une croissance de 1,0% cette année, à peu près conforme aux projections de la plupart des groupes de réflexion indépendants. Le déficit budgétaire a représenté 2,4% du PIB l’an dernier, après 2,7% en 2015. La dette publique, la plus élevée de la zone euro hors la Grèce, a atteint 132,6% du PIB, un nouveau record, contre 132,0% en 2015.
La confiance du consommateur aux Etats-Unis s’est nettement améliorée en février, après s'être dégradée plus que prévu en janvier, montre l’enquête mensuelle du Conference Board. L’indice est ressorti à 114,8 (contre 111,6 en janvier), un sommet depuis juillet 2001. Les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 111. La composante du jugement des consommateurs sur la situation actuelle a également progressé, à 133,4 (contre 130 en janvier), et celle des anticipations a avancé à 102,4 après 99,3.
Les prix immobiliers dans les 20 principales métropoles des Etats-Unis ont augmenté de 5,6% sur un an en décembre, indique l’enquête mensuelle S&P CoreLogic Case-Shiller. Le consensus prévoyait en moyenne une croissance de 5,3% sur un an, après une progression de 5,2% en novembre. En données corrigées des variations saisonnières (CVS), les prix immobiliers dans les 20 grandes métropoles suivies par Case-Shiller sont en hausse de 0,9% comme en novembre, contre un consensus de +0,7%.
Les prix immobiliers dans les 20 principales métropoles des Etats-Unis ont augmenté de 5,6% sur un an en décembre, montrent mardi les résultats de l’enquête mensuelle S&P CoreLogic Case-Shiller. Le consensus prévoyait en moyenne une croissance de 5,3% sur un an, après une progression de 5,2% en novembre. En données corrigées des variations saisonnières (CVS), les prix immobiliers dans les 20 grandes métropoles suivies par Case-Shiller sont en hausse de 0,9% comme en novembre, contre un consensus de +0,7%.
La confiance du consommateur aux Etats-Unis s’est nettement améliorée en février après s'être dégradée plus que prévu en janvier, montre mardi l’enquête mensuelle du Conference Board. L’indice est ressorti à 114,8 après 111,6 en janvier (111,8 en première estimation), au plus haut depuis juillet 2001. Les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 111,0. La composante du jugement des consommateurs sur la situation actuelle a également progressé, à 133,4, contre 130,0 en janvier (129,7 en première estimation), au plus haut depuis juillet 2007, et celle des anticipations a avancé à 102,4 après 99,3 (99,8 en première estimation).