Nos articles d'actualité et d'analyse portant sur les opérations de fusion-acquisition et de cessions menées par les grandes entreprises françaises et internationales, le classement M&A de L'Agefi.
Inflation, levées de fonds plus difficiles, sorties complexifiées... le secteur du capital-investissement doit désormais composer avec un nouvel environnement.
Cette société d’un nouveau genre propose aux entreprises de taille moyenne et aux fonds d’investissement de réaliser pour leur compte leurs prises de participation dans les start-up innovantes stratégiques pour leur activité.
L’aspect tentaculaire des plus grands gérants du non-coté rappelle le poids économique d’antan des conglomérats. Mais la finalité même du private equity empêche toute analogie.
Dans un contexte où les levées de fonds sont devenues plus difficiles dans le non-coté, la société d’investissement, en passe de s’allier à Wendel, accède à une ressource recherchée. Comme Idinvest, Ofi Private Equity (Eurazeo) ou Omnes (Idi) avant elle.
Détermination du prix, crédibilité de la valeur liquidative, risque d’excès : le recours aux fonds de continuation peut constituer un exercice de haute voltige. Alors que le régulateur américain renforce sa surveillance des gestionnaires d'actifs privés, leurs homologues français semblent pour l’heure échapper à cette attention régulatrice.
A quelques jours de l’Infraweek, le rendez-vous des professionnels du financement d'infrastructures qui se tiendra du 9 au 13 octobre à Paris, les stratégies d’investissement ciblant des actifs dépolluants sont plus que jamais d’actualité. En revanche, celles axées sur les actifs historiques sont globalement écartées.
Deux ans après les décisions alourdissant la fiscalité des structures habituelles, les praticiens du capital-investissement et des LBO peinent à trouver l’outil idoine pour satisfaire fonds et dirigeants.
La demande des investisseurs y excède largement l’offre, selon un sondage réalisé par AlixPartners dans le cadre de l’Ipem. Les autres stratégies se révèlent en revanche surinvesties.
Pour des raisons structurelles et historiques, le capital-investissement s'est développé tardivement outre-Rhin. Cette maturité moindre, l'accent mis sur l'industrie et le réservoir de PME rendent ce marché particulièrement attractif.
Moins développée auprès de la clientèle privée que l’investissement en direct, la stratégie est pourtant plus adaptée aux investisseurs non professionnels.
L'adoption par la SEC d'une réforme majeure portant sur l'Investment Advisers Act a suscité un vif débat au sein de l'industrie de la gestion de fonds privés. Elle risque de changer les pratiques de marché de plusieurs gestionnaires, au-delà des frontières américaines.
Cet outil est de plus en plus utilisé par les fonds d'investissement français. David Faravelon, avocat chez De Gaulle Fleurance, expose ses mécanismes et ses atouts.
Ces sociétés profitent de la fenêtre de marché favorable pour allonger leurs maturités. Cela peut passer par des opérations d’extension de maturité sur des prêts, comme Idemia, détenue par Advent.
La chute des volumes de fusions et acquisitions pousse un nombre croissant d'acteurs indépendants à se marier, ou à s'adosser à des banques plus diversifiées.
Si le flux de dossiers d'entreprises en restructuration s’étoffe, l’offre de fonds spécialisés sur cette thématique reste limitée. En cause, la difficulté à lever des capitaux, la forte sélectivité des gérants et l’inadéquation entre les actifs à reprendre et les cibles recherchées.
Le reflux est spectaculaire, à la mesure des espoirs déçus. Les véhicules «chèque en blanc» lancés depuis 2021 n’ont toujours pas rapporté d’argent à leurs investisseurs, certains les ont même remboursés. Mais le modèle garde pourtant des atouts.
Grisaille pour les gros montages de LBO. De nombreuses opérations – telles que Premium, TDF ou Idemia – sont aujourd’hui à l’arrêt. Le plus souvent en cause : l’ajustement des valorisations et l’absence de financement attractif.
Le groupe ne souhaite plus être actionnaire minoritaire de gérants d'actifs. Il va céder ses 30% au capital de l'américain Rhône Capital, et statuera d'ici fin 2023 sur le sort de ses 25% chez l'espagnol MCH.