Eurazeo a annoncé mardi la signature d’un accord d’exclusivité en vue d’investir au capital d’I-Tracing, un spécialiste français de la cybersécurité, aux côtés du management et de ses fondateurs, Théodore-Michel Vrangos et Laurent Charvériat, qui détiendraient collectivement 49% du capital à l’issue de cette opération. Keensight Capital, actionnaire minoritaire depuis 2017, céderait l’ensemble de sa participation tandis que Sagard NewGen participerait aussi au nouveau tour de table comme actionnaire minoritaire dans la coentreprise contrôlée par Eurazeo. La réalisation de l’opération valoriserait I-Tracing à 165 millions d’euros et Eurazeo investirait environ 65 millions. Fondée en 2005, la société, qui emploie plus de 285 experts, offre une gamme complète de services sur l’ensemble de la chaîne de sécurisation des systèmes IT de ses clients.
L’entreprise de services numériques INTM réorganise son capital. Son dirigeant-fondateur Georges Awad vient de prendre la majorité capitalistique de son groupe et de s’ouvrir à deux partenaires financiers. Crédit Mutuel Equity et BNP Paribas Développement investissent respectivement 14,2 et 4,8 millions d’euros. Le financement est complété par une dette senior apportée par un pool bancaire mené par la banque de la rue d’Antin. Avec ce buy-out primaire, INTM en profite pour organiser la sortie d’un des fondateurs du groupe et se positionne pour être l’un des consolidateurs du marché des ESN. Une ligne de financement additionnelle est prévue pour lui permettre de réaliser plusieurs acquisitions dans les prochaines années, de tailles significatives.
L’entreprise de services numériques INTM réorganise son capital. Son dirigeant-fondateur Georges Awad vient de prendre la majorité capitalistique de son groupe et de s’ouvrir à deux partenaires financiers. Crédit Mutuel Equity et BNP Paribas Développement, qui accompagnent cette remise à plat actionnariale, investissent respectivement 14,2 et 4,8 millions d’euros. Le financement est complété par une dette senior apportée par un pool bancaire mené par la banque de la rue d’Antin. Avec ce buy-out primaire, INTM en profite pour organiser la sortie d’un des fondateurs du groupe et se positionne pour être l’un des consolidateurs du marché des ESN. Une ligne de financement additionnelle est prévue pour lui permettre de réaliser plusieurs acquisitions dans les prochaines années, de tailles significatives.
En 2014, l’entrepreneur Alexandre Mars fondait le tout premier fonds de capital-risque transatlantique certifié B Corp, Blisce. Orienté « growth capital », celui-ci s’est notamment illustré en investissant dans Spotify, Pinterest, Headspace, Too Good To Go et Brut. Blisce Fund II vient d’annoncer un premier closing à hauteur de 125 millions d’euros, sur un objectif fixé à 300 millions. Le véhicule entend investir entre 10 et 30 millions d’euros dans des jeunes pousses américaines et européennes. Un premier deal a été signé avec Imperfect Foods, une enseigne américaine d’épicerie en ligne dite « durable ».
Contrôlé par Lion Capital, CDPQ et Apax, l’opticien prévoit de lever un nouveau financement high yield de 485 millions d’euros. Dont une partie reviendra aux actionnaires.
En 2014, l’entrepreneur à succès Alexandre Mars fondait le tout premier fonds de capital-risque transatlantique certifié B Corp, Blisce. Orienté « growth capital », celui-ci s’est notamment illustré en investissant dans Spotify, Pinterest, Headspace, Too Good To Go et Brut. Des participations de renom qui contribuent aujourd’hui au succès de la levée de la deuxième génération du fonds. Blisce Fund II vient d’annoncer un premier closing à hauteur de 125 millions d’euros, sur un objectif fixé à 300 millions. Le véhicule entend investir entre 10 et 30 millions d’euros dans des jeunes pousses américaines et européennes surfant sur les nouvelles tendances de consommation. Il s’intéressera plus particulièrement aux secteurs à forte croissance et à fort impact, comme les solutions destinées à lutter contre le gaspillage alimentaire, la santé, la micro-mobilité, les services financiers et l’accès à l’éducation. Un premier deal a d’ores et déjà été signé et porte sur Imperfect Foods, une enseigne américaine d’épicerie en ligne dite « durable ».
Le spécialiste de la lutte contre la fraude à l’assurance vient de lever 220 millions de dollars auprès d’un pool de fonds emmenés par Advent International.
Perwyn, la holding d’investissement de la discrète famille Perrodo (à la tête de la compagnie pétrolière Perenco), vient d’ouvrir un bureau à Paris – le premier en dehors du Royaume-Uni. Il doit lui servir de plateforme pour de nouveaux investissements en France et dans les pays voisins. Perwyn s’est illustrée à deux reprises dans l’Hexagone. En 2018, avec la prise de contrôle du spécialiste du halal Isla Delice, puis en 2020 avec Keobiz, un spécialiste de la comptabilité. Son intérêt pour les restaurants Quick a aussi été évoqué en début d’année. Pour constituer ce nouveau bureau, Antoine Vanderhuslt, associé, sera rejoint par John Gallagher, directeur d’investissement, associate. Perwyn cible des prises de participations majoritaires dans des entreprises affichant entre 5 et 30 millions d’euros d’Ebitda.
France Invest, l’association du secteur du capital-investissement, s’est fixé l’objectif d’atteindre un palier de 40% de femmes dans les équipes d’investissement et de 25% de femmes à des postes seniors d’ici 2030. L’an dernier, la féminisation a continué à progresser de 4 points en 2020, pour atteindre 27% de femmes dans les structures. Mais le plafond de verre dans les instances dirigeantes peine encore à céder. La proportion de femmes au sein des directoires ou des comités exécutifs s’est établie à 21%, soit 1 point de plus qu’en 2018. Le discours général se veut pourtant très offensif, puisque pas moins de quatre investisseurs sur cinq déclare privilégier la mixité pour les recrutements.
Perwyn, la holding d’investissement de la discrète famille Perrodo (à la tête de la compagnie pétrolière Perenco), renforce sa présence dans l’Hexagone. Elle vient d’ouvrir un bureau à Paris – le premier en dehors du Royaume-Uni. Ce pied à terre doit lui servir de plateforme pour de nouveaux investissements en France et dans les pays voisins.
Les fonds de capital-investissement aiment à définir leurs actions sur le temps long. Il en est de même en matière de parité, France Invest, l’association du secteur, s’étant fixé l’objectif d’atteindre un palier de 40% de femmes dans les équipes d’investissement et de 25% de femmes à des postes seniors d’ici 2030. L’an dernier, la féminisation a continué à progresser de 4 points en 2020, pour atteindre 27 % de femmes dans les structures.
Par le biais de sa filiale de gestion, Deutsche Bank va racheter la moitié du capital d’Ermewa, aux côtés de la Caisse de Dépôt et Placement du Québec.
C’est le signe que les investisseurs obligataires ne sont pas encore prêts à acheter tous les titres à n’importe quel prix. La chaîne de surgelés Picard a renoncé vendredi à son projet de refinancement obligataire. Le groupe, contrôlé par le fonds Lion Capital, majoritaire, et la famille Zouari (46,7%), se proposait d'émettre 1,7 milliard d’euros d’obligations à taux fixe et variable, sur des durées de 7 ans et 8 ans.