Diaxonhit a levé 8,9 millions d’euros grâce à son augmentation de capital. Le groupe de biotechnologies a émis 40,5 millions d’actions nouvelles au prix unitaire de 0,22 euro, soit avec une décote de 24,1%. L’augmentation de capital a été sursouscrite 1,6 fois. Cette opération servira à financer une partie de l’acquisition de Capforce Plus. Ce projet représente un besoin de financement total de l’ordre de 12 à 15 millions d’euros. Diaxonhit utilisera en complément une enveloppe de dette autorisée d’un montant maximum de 8 millions d’euros.
Diaxonhit a levé 8,9 millions d’euros grâce à son augmentation de capital. Le groupe de biotechnologies a émis 40,5 millions d’actions nouvelles au prix unitaire de 0,22 euro, soit avec une décote de 24,1%. L’augmentation de capital a été sursouscrite 1,6 fois. Cette opération servira à financer une partie de l’acquisition de Capforce Plus. Ce projet représente un besoin de financement total de l’ordre de 12 à 15 millions d’euros. Diaxonhit utilisera également une enveloppe de dette autorisée d’un montant maximum de 8 millions d’euros.
Le spécialiste des études sismiques a annoncé lundi solliciter l’accord de ses créanciers pour demander la nomination d’un mandataire ad hoc en vue d’une restructuration financière. Une majorité qualifiée de porteurs d’obligations et de créanciers doit donner son accord afin que CGG puisse demander cette nomination sans qu’elle constitue un cas de défaut sur sa dette. Le groupe sollicite l’accord des porteurs de chacune de ses émissions d’obligations senior arrivant à échéance entre 2017 et 2022 et des créanciers au titre du prêt à terme B, d’un montant de 343 millions de dollars, conclu par sa filiale américaine.
Agrial a réalisé sa première émission de Schuldschein (dette privée de droit allemand). Il s'élève à 150 millions d’euros, divisés en trois tranches de 6, 7 et 10 ans, avec une maturité moyenne de 7 ans. La coopérative agricole, qui s'était déjà financée sur le marché de l’Euro PP, diversifie ainsi sa structure d’endettement et allonge sa maturité. BayernLB et SG CIB ont arrangé le financement. Agrial était conseillé par August Debouzy.
Auchan Holding a annoncé avoir bouclé avec succès mardi dernier une émission obligataire à 5 ans pour un montant total de 600 millions d’euros. Sur-souscrite près de 3 fois, cette opération permettra de financer l’expansion mondiale du groupe dans la distribution (Auchan Retail), l’immobilier commercial (Immochan) et la banque (Oney). La dette à long terme du groupe est actuellement notée BBB+ avec perspective stable par S&P.
Agrial a réalisé sa première émission de Schuldschein (dette privée de droit allemand). Il s'élève à 150 millions d’euros, divisés en trois tranches de 6, 7 et 10 ans, avec une maturité moyenne de 7 ans. La coopérative agricole, qui s'était déjà financée sur le marché de l’Euro PP, diversifie ainsi sa structure d’endettement et allonge sa maturité. BayernLB et SG CIB ont arrangé le financement. Agrial était conseillé par August Debouzy.
Les particuliers détenteurs d’obligations juniors émises par Monte dei Paschi di Siena ne pourront en demander le remboursement qu'à la condition d’avoir acheté les titres avant le 1er janvier 2016, montrait hier un projet de document rédigé par les services gouvernementaux. Rome a promis fin 2016 de financer la recapitalisation de la troisième banque du pays, cette dernière étant incapable de se renflouer en ne faisant appel qu’au secteur privé. La banque toscane doit combler un total de 8,8 milliards d’euros, dont 6,6 milliards pourraient être apportés par l’Etat, qui prendrait 70% du capital. Selon le projet, l’Etat achèterait les actions nouvelles émises par la banque avec une décote de 25% sur le cours, hors droits de souscription. Le document ajoute que le montant du remboursement des particuliers détenteurs d’obligations dépendra du prix qu’ils ont déboursé pour ces titres.
Le Crédit Mutuel Arkéa a réalisé hier un placement de 500 millions d’euros d’obligations tier 2 de maturité 12 ans. Ces titres subordonnés d’Arkéa ont été vendus à un spread de 250 points de base au-dessus des midswaps, contre une indication initiale de 265 points de base. Le Crédit Agricole a été le coordinateur global de l’opération, à laquelle ont aussi participé Arkéa, DZ Bank, Nykredit Markets et Santander. De sources de marché, Arkéa n’a pas prévu à ce stade de se lancer sur le nouveau marché des dettes seniors non préférées, encombré par les grandes banques françaises et l’espagnole Santander.
UniCredit a fixé hier soir le prix de son augmentation de capital de 13 milliards d’euros avec une décote de 38% sur le cours théorique de l’action hors droits de souscription. Des sources avaient déclaré le mois dernier à Reuters que la première banque d’Italie par l’actif allait mettre en vente les actions nouvelles avec une décote de 30% à 40%. Le prix d'émission est fixé à 8,09 euros sur la base de 13 nouvelles actions ordinaires pour 5 actions ordinaires ou actions d'épargne détenues. L’offre, garantie par un syndicat bancaire mené par Morgan Stanley et UBS, sera ouverte aux investisseurs du 6 au 23 février.
Le Crédit Mutuel Arkéa a réalisé aujourd’hui un placement de 500 millions d’euros d’obligations tier 2 de maturité 12 ans. Ces titres subordonnés d’Arkéa ont été vendus à un spread de 250 points de base au-dessus des midswaps, contre une indication initiale de 265 points de base. Le Crédit Agricole a été le coordinateur global de l’opération, à laquelle ont participé également Arkéa, DZ Bank, Nykredit Markets et Santander.
Promesse de campagne de François Hollande, la banque publique veut atteindre son régime de croisière avec une nouvelle hausse de ses interventions cette année.
Louis Dreyfus Company a finalement placé hier 400 millions d’euros d’obligations, 100 millions de plus qu’initialement visé. Les obligations du groupe de matières premières agricoles ont une maturité de 5 ans. Elles paient un coupon de 4%. Les titres seront cotés à la Bourse du Luxembourg. Gonzalo Ramírez Martiarena, le directeur général de Louis Dreyfus Company, précise que le carnet d’ordres a atteint 1,7 milliard d’euros réparti entre 250 investisseurs. BNP Paribas, Crédit Agricole CIB, Credit Suisse et HSBC ont dirigé l’opération.
La Banque centrale européenne (BCE) est satisfaite du plan de redressement présenté par UniCredit et n’a aucune requête supplémentaire à formuler, a déclaré hier l’administrateur délégué de la banque italienne à des actionnaires, rapportait hier Reuters d’une personne ayant assisté à la réunion. Dans un document de préparation à son augmentation de capital de 13 milliards d’euros présenté lundi, la banque a fait savoir que la BCE lui avait demandé de lui soumettre d’ici au 28 février un plan de réduction de ses créances douteuses. Cette demande a provoqué chez certains investisseurs la crainte d’exigences supplémentaires de la part de l’institut d'émission.
Après les 17 milliards de dollars (15,8 milliards d’euros) levés lundi soir par Microsoft, AT&T est à son tour en train de finaliser une importante émission obligataire. L’opérateur américain de télécoms a lancé hier une levée de 10 milliards de dollars répartie en six tranches. Le produit de l'émission sera utilisé pour le financement des besoins généraux de l’entreprise. Barclays, Citigroup et Deutsche Bank sont teneurs de livres de l’opération.
Après les 17 milliards de dollars levés hier par Microsoft, AT&T est en train de finaliser une importante émission obligataire. L’opérateur américain de télécoms prévoyait d'émettre 10 milliards de dollars mais la taille de l'émission pourrait être relevée compte tenu de l’afflux d’ordres (18,9 milliards), selon IFR. L’opération devrait être finalisée dans la soirée. Barclays, Citigroup et Deutsche Bank sont teneurs de livres.
Louis Dreyfus Company a finalement placé 400 millions d’euros d’obligations, 100 millions de plus qu’initialement visé. Les obligations du groupe de matières premières agricoles ont une maturité de 5 ans. Elles paient un coupon de 4%. Les titres seront cotés à la Bourse du Luxembourg. Gonzalo Ramírez Martiarena, le directeur général de Louis Dreyfus Company, indique dans un communiqué que le carnet d’ordres a atteint 1,7 milliard d’euros réparti entre 250 investisseurs. BNP Paribas, Crédit Agricole CIB, Credit Suisse and HSBC ont dirigé l’opération.
Le fleuriste (Monceau Fleurs, Au nom de la rose...) va désintéresser ses obligataires grâce à une augmentation de capital et disposera d'une structure plus solide.
Le géant informatique a levé avec succès 17 milliards de dollars répartis sur 7 tranches pour refinancer sa dette à court terme et financer ses rachats d’actions.
Le fabricant de produits alimentaires a indiqué vendredi soir qu’à la suite de l’homologation par le tribunal de commerce de Paris du protocole d’accord entre le groupe et ses 17 banques prêteuses, la fiducie où seront consignés les fonds vient d’être créée le 25 janvier. Le groupe est donc assuré de bénéficier de l’apport de 66 millions d’euros de nouvelles ressources, réparti entre les banques du groupe (53,35 millions) et l’Etat (12,65 millions). Son objectif est désormais de pouvoir s’adosser à un ou plusieurs nouveaux actionnaires au cours des prochains mois.
Le conseil d’administration d’UniCredit décidera la semaine prochaine du prix et d’autres modalités d’une future augmentation de capital de 13 milliards d’euros, a déclaré vendredi une source proche du dossier. La réunion du conseil pourrait avoir lieu le 1er ou le 2 février, permettant le lancement de l’opération dès le 6 février, a ajouté la source. Cette levée de fonds record, approuvée par les actionnaires ce mois-ci, est nécessaire au renforcement du bilan et à la restructuration de la première banque italienne par le montant des actifs.
Le conseil d’administration de Toshiba a validé vendredi un projet de scission de son activité de mémoires qui pourrait être ultérieurement introduite en Bourse. Ce spin-off, prévu pour fin mars, permettra de céder jusqu’à 20% du capital de la nouvelle entité à un investisseur tiers pour un montant évalué entre 200 et 300 milliards de yens (entre 1,6 et 2,4 milliard d’euros) afin de compenser une future charge de plusieurs milliards de dollars résultant de la dépréciation de sa filiale nucléaire aux Etats-Unis. Satoshi Tsunakawa, directeur général du groupe japonais, a précisé qu’il ferait tout son possible pour éviter de comptabiliser des fonds propres négatifs en conséquence de cette dépréciation.
Le conseil d’administration d’UniCredit décidera la semaine prochaine du prix et d’autres modalités d’une future augmentation de capital de 13 milliards d’euros, a déclaré vendredi une source proche du dossier. La réunion du conseil pourrait avoir lieu le 1er ou le 2 février, permettant le lancement de l’opération dès le 6 février, a ajouté la source. Cette levée de fonds record, approuvée par les actionnaires ce mois-ci, est nécessaire au renforcement du bilan et à la restructuration de la première banque italienne par le montant des actifs.
Egide lance une augmentation de capital de 7,15 millions d’euros avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS) pour financer l’acquisition des actifs de la société américaine Santier. La parité est fixée à 2 actions nouvelles pour 3 DPS. Le prix unitaire de souscription s'établit à 2,40 euros par action nouvelle, soit une décote de 14% ex-DPS. Egide précise qu’il annulera l’augmentation de capital et l’opération Santier en cas de souscription à l’augmentation de capital inférieure à 75%. Plusieurs actionnaires d’Egide se sont engagés à participer à l’opération. Leurs engagements de souscription représentent 58,3% de l’émission. L’augmentation de capital est dirigé par GFI. Atout Capital est conseil financier de la société.
Doctolib a finalisé son quatrième tour de table. Le site de prise de rendez-vous médicaux a levé 26 millions d’euros auprès de Bpifrance, le fonds Accel et les investisseurs Pierre Kosciusko-Morizet (co-fondateur de PriceMinister) et Nicolas Brusson (co-fondateur de Blablacar). Ce financement porte à 50 millions d’euros les montants levés par la société depuis sa création en 2013.