Le scénario de soft landing a favorisé les actifs risqués. Le pétrole grimpe du fait des attaques en mer Rouge. Les taux restent volatils avec les banques centrales.
Wall Street tentait de se reprendre après le ton plus restrictif de la Fed et surtout le regain de crainte qui a suivi l'annonce de NYCB et provoqué une fuite vers les treasuries. Une série de résultats décevants a pesé sur les places boursières européennes.
Soleil levant sur la Bourse de Tokyo. Les investisseurs apprécient le niveau élevé des marges des entreprises nippones et la perspective d’une forte mobilisation de la pile de cash au bilan dans le cadre de la réforme de la gouvernance. Des doutes subsistent toutefois sur la solidité macroéconomique.
L’indice des prix à la consommation a légèrement ralenti en janvier mais l’inflation sous-jacente est affectée par la dynamique de prix dans les services, renforçant le mode patience de la BCE.
L'indice PMI du secteur manufacturier de la zone euro s'est amélioré en janvier mais il reste en zone de contraction alors que les perturbations en mer Rouge rallonge les délais de livraison.
Le swap spread est quasiment revenu à ses niveaux d’avant la crise sanitaire grâce à une augmentation du collatéral et à une plus grande visibilité sur les taux.
La demande soutenue des investisseurs et la volonté des émetteurs de profiter du resserrement des spreads tout en bénéficiant des futures baisses de taux favorisent les opérations.
La banque centrale américaine a maintenu ses taux directeurs inchangés mercredi, en indiquant qu'elle attendrait que le reflux de l'inflation se confirme pour les abaisser.
Le responsable de la stratégie actions monde et de la recherche macroéconomique en Europe chez Goldman Sachs, Peter Oppenheimer, dévoile ses prédictions concernant les principaux points d'attention pour l'année 2024, comme les «Magnificent Seven», le Japon, ou encore le marché de l'emploi américain.
Les prix ont baissé de 2% en moyenne dans la zone euro depuis le début du resserrement de la politique monétaire engagé par la BCE, selon Sylvain Broyer, chef économiste EMEA chez S&P Global Ratings.
Le pays renonce à augmenter ses capacités de production et il pourrait vendre pour 10 milliards de dollars d’actions de son fleuron Aramco. De quoi dégager des marges de manœuvre pour poursuivre sa diversification en dehors de l’or noir.
Les taux de défaut augmentent outre-Atlantique sur l’immobilier de bureaux, qui devra rembourser ou refinancer près de 120 milliards de dollars en 2024.
La liquidation du géant immobilier, dont la dette est la plus importante au monde, doit désormais être appliquée en Chine continentale où se trouvent la plupart de ses actifs.
Ce process permet d’illustrer le rôle important des "datas" dans notre approche : comment promouvoir un changement durable au sein des infrastructures en identifiant les entreprises que nous jugeons être à même d’utiliser la transition énergétique pour devenir plus rentables à l’avenir.
L’institution de Washington a relevé sa prévision pour cette année à +3,1% grâce notamment à la résilience de l’économie américaine. La désinflation se poursuit mais la croissance reste modérée.
La capitale française est en lice avec huit autres métropoles européennes pour abriter le siège de l’Amla. Elle met en avant ses bons résultats dans la lutte contre le blanchiment d’argent.
Après avoir terminé les deux dernières séances sur de nouveaux sommets en clôture, l’indice parisien a battu le 30 janvier son pic absolu datant du 14 décembre 2023. Le Dax allemand est à quelques points du graal.
Face à l’avalanche administrative qu’incarne la nouvelle directive CSRD sur l’information extra-financière, la Commission européenne a décidé du report de standards supplémentaires, par secteurs, que l’UE risque, in fine, de renvoyer aux calendes grecques. Sauf qu’en l'occurrence, moins de normes ne serait paradoxalement pas synonyme de moins de travail pour les entreprises. Explications.
L’économie de la région reste à l’arrêt, à 0% au quatrième trimestre après -0,1% au troisième trimestre. Sur l’ensemble de l’année, le PIB de la zone euro a augmenté de 0,5%.
Avec deux mandats liés à la croissance et à l’inflation, le Comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine aura plus de souplesse que la Banque centrale européenne pour baisser ses taux.
Au cours des dernières semaines, les déclarations des banquiers centraux semblent destinées à tempérer les attentes de marchés qui font le pari d'un début imminent de la baisse des taux, selon William de Vijlder, directeur de la recherche économique chez BNP Paribas.
En difficulté depuis de longs mois, le promoteur immobilier a perdu 20% supplémentaires en Bourse avant que son cours ne soit suspendu à la suite du verdict.