Le marché locatif poursuit sur sa tendance malgré le contexte politique et les Jeux olympiques. Les acteurs de l’investissement semblent entrevoir de premiers signes positifs.
La Banque centrale européenne a laissé à 3,75% le taux de sa facilité de dépôt. Alors que l'inflation en zone euro reste supérieure à l'objectif, l'institution continue d'adopter une approche "réunion par réunion".
Pour la première fois depuis le deuxième tour des législatives, l’Agence France Trésor a pu emprunter 11,5 milliards d’euros dans des conditions qui continuent à être bonnes malgré le contexte politique.
La prochaine Commission européenne devra s'attaquer à trois chantiers en priorité pour que l'Europe réussisse à unir ses marchés de capitaux, estime Nicolas Mackel, directeur général de Luxembourg for Finance.
Le royaume cherche à attirer des investisseurs internationaux pour développer son industrie de la gestion d’actifs et contribuer à la croissance de son économie. Son fonds souverain reste un outil privilégié de la réalisation de sa Vision 2030.
Plusieurs banques comme la Société Générale et BNP Paribas ont mené ces derniers mois des opérations de transfert de risque avec pour but d’allouer les capacités de financement ainsi dégagées à des programmes sociaux ou environnementaux.
Il s’agit d’un signal s’alerte selon les économistes de BPCE, qui misent sur 65.000 procédures ouvertes en 2024 par l’ensemble des entreprises françaises.
Le ministre de l’économie Carlos Cuerpo a détaillé les fondamentaux de l’économie nationale et a commenté les opérations de consolidation en cours, notamment dans le secteur bancaire.
Les services continuent de contribuer fortement à la hausse des prix, suivis par l'alimentation, l'alcool et le tabac, les biens industriels et l'énergie.
Le pays reste structurellement déficitaire, contrairement à ses voisins européens. Sa dette nette envers l'étranger s’est encore dégradée de 3,1% de PIB entre 2022 et 2023, pour atteindre près de 800 milliards d’euros. Une source de fragilité.
Même si le prix des actions américaines est élevé, il n'y a pas de bulle. Un tel niveau de valorisation augure cependant de 5 à 10 ans de performances modestes.
Plusieurs dirigeants de la tech ont publiquement apporté leur soutien au candidat républicain aux élections présidentielles, Peter Thiel et Elon Musk en tête. Son colistier JD Vance, annoncé lors de la convention des républicains le 15 juillet, lui offre un nouveau relais de taille dans la Silicon Valley.
Les conditions des prêts devraient moins se resserrer désormais, selon l’enquête trimestrielle de la BCE. Mais la demande des entreprises tarde encore à redémarrer.
Le Fonds monétaire international a très peu fait évoluer sa mise à jour des prévisions sur l’économie mondiale. Cependant, l’institution relève des risques sous-jacents qui n’apparaissent pas dans ses chiffres.
L’élection de l’ancien président américain pourrait augmenter fortement l’incertitude sur les droits de douane et peser sur l’économie européenne. L’effet sur l’inflation serait en revanche limité, selon les économistes de Goldman Sachs.
Le Conseil des gouverneurs se réunira jeudi. Malgré des taux encore restrictifs, l’inflation persistante dans les services apparaît comme le principal frein à une nouvelle baisse dès juillet.
Le ministre de l’Economie assure que ses prévisions de recettes fiscales restent valides en réponse au rapport publié par la Cour des comptes le 15 juillet qui affirme le contraire.
La tentative d’assassinat sur l’ancien président américain a encore augmenté ses chances de remporter les élections en novembre prochain. Une perspective de nature à tendre les taux d’intérêt.
Dans son rapport annuel, la Cour des comptes relève que la dernière trajectoire publiée par Emmanuel Macron et Bruno Le Maire prévoit non seulement des baisses massives de dépenses de 50 milliards d’euros mais aussi, implicitement, une hausse des prélèvements obligatoires de 21 milliards d'euros sur deux ans
L'ancien président a échappé à une tentative d'assassinat lors d'un meeting samedi soir. Ses chances de remporter l'élection présidentielle en novembre n'ont jamais paru aussi fortes.
L’indice Refinitiv Qualified Global Convertible a généré une performance de 2,24 % depuis le début de l’année. Loin d’égaler la performance des marchés boursiers mondiaux des grandes capitalisations, depuis le début de l’année, il surperforme l’indice boursier mondial des petites capitalisations et de nombreuses expositions aux obligations. En tant que combinaison d’obligations et d’options sur actions, il obtient le résultat attendu pour ce profil d’investissement.
La BCE devrait poursuivre son cycle de baisse de taux grâce à la désinflation globale. Le ralentissement de l’inflation dans les services, dont l’évolution des prix a encore du retard sur celle des biens, est plus lent.