Les marchés actions chinoises ont enregistré lundi leur plus forte hausse quotidienne depuis 2008, avant leur fermeture pour une semaine de congés. Pékin poursuit ses annonces pour relancer une économie en difficulté.
Plusieurs indicateurs économiques seront regardés de près par les banques centrales européenne et américaine. TotalEnergies organisera aussi sa traditionnelle journée investisseurs de l'automne.
Le principal syndicat de dockers menace d’arrêter le travail le 1er octobre faute d’entente sur des revalorisations salariales, alors que le précédent accord est caduc. Si le conflit dure, cela pourra avoir des conséquences majeures aux Etats-Unis, sur l’économie et la présidentielle.
Les cycles d’assouplissement de la banque centrale américaine sont favorables aux marchés émergents, car cela réduit la contrainte financière. Une partie des bonnes nouvelles est déjà dans les cours.
Le Tchad, la Zambie et désormais le Ghana ont finalisé leurs restructurations de dette sous l'égide du cadre commun. La baisse des taux de la Fed va soulager les pays en grande difficulté.
Le club regroupant les plus importants pays émergents attire les candidatures mais peine à se développer. Après le refus de l’Argentine, l’Arabie saoudite n’a finalement pas intégré le groupe.
En septembre, les prix en France ont reculé de 1,2% par rapport à leur niveau du mois précédent. Sur un an, l'inflation ressort à 1,2% et à 1,5% en données harmonisées pour une comparaison européenne.
Le pays a trouvé un accord avec ses créanciers obligataires en août sur la base d’une décote de 37% concernant plus de 20 milliards de dollars de dette. Mais cela pourrait être insuffisant si le conflit dure.
Le directeur général de Paris La Défense estime qu'une bonne partie du quartier d'affaires de la capitale devra être rénovée ou remplacée, notamment par des hôtels ou des logements étudiants.
Malgré la désignation du gouvernement Barnier, les investisseurs s’inquiètent de sa capacité à redresser les finances publiques à court terme. Et la situation pourrait se compliquer avec des emprunts nets records attendus l’an prochain.
Pour sa troisième baisse de taux, la BNS a réduit jeudi son taux directeur de 25 points de base (pb), alors que certains acteurs de marché attendaient potentiellement -50 pb au regard du rythme seulement trimestriel de ses réunions monétaires.
Les prêts au secteur public et aux ménages repartent un peu plus fort que ceux aux entreprises. Et ramènent à nouveau en positif l’évolution de la masse monétaire, après l’arrêt ponctuel de juillet.
L'endettement mondial a atteint un nouveau pic de 312.000 milliards de dollars fin juin, selon l’IIF. La dette publique continue d’augmenter, et les analystes craignent une explosion de celle-ci en raison des besoins créés par la transition énergétique.
La nouvelle plateforme FMX Futures doit notamment venir défier le CME sur les futures de taux américains. De quoi animer un débat politico-technique puisque la compensation sera effectuée par LCH à Londres.
Les grandes multinationales profitent de l’accès aux différents marchés obligataires mondiaux pour optimiser et diversifier leurs sources de financement. Euro, dollar, franc suisse, livre… à chaque marché ses spécificités.
La concurrence entre la titrisation et les obligations sécurisées, les covered bonds, peut-elle cannibaliser ces dernières ? Les professionnels le craignent, mais la réponse n’est pas aussi évidente qu’imaginé.