L’Agefi Actifs. - En tant que plate-forme de gestion de solutions d’assurances, quelles sont les principales difficultés que vous recensez ou que les assureurs mettent en avant sur l’Eurocroissance?Christophe Emprin. - Tout d’abord, il y a ce que j’appelle le ticket d’entrée, c’est-à-dire le montant de l’investissement à réaliser pour bâtir cette nouvelle génération de produits. Bon nombre d’assureurs qui n’ont pas préparé leurs outils doivent à présent évaluer le coût du développement des systèmes d’information nécessaires. Cet aspect est loin d’être neutre. Selon les compagnies, cela peut aller jusqu’à 1.000 jours/homme avec des budgets pouvant être compris entre 500.000et 1million d’euros.