Nos articles d'actualité et d'analyse portant sur les opérations de fusion-acquisition et de cessions menées par les grandes entreprises françaises et internationales, le classement M&A de L'Agefi.
De formation juridique, Bruno a rejoint L’Agefi au début du siècle, du temps du quotidien papier avant sa rapide mutation dans le monde du numérique. Il suit plus particulièrement les sujets de gouvernance, d’assemblée générale, de régulation des entreprises, de droit boursier, et s’intéresse également à la vie financière des émetteurs non financiers et aux questions de concurrence. Pour ajouter une pointe de légèreté, il est friand d’actualités des têtes couronnées.
La fondation suisse recommande de voter contre l’enveloppe globale maximale de 95 millions de francs pour les membres du comex, et contre le rapport de rémunération 2024, lors de l’assemblée générale du 7 mars. En revanche, ISS soutient ces deux résolutions, la première étant contraignante, la seconde consultative.
Elle ne devrait rapporter que 400 millions d’euros sur la période mars 2024 – février 2025. Le premier contributeur TotalEnergies anticipe un coût pour le groupe de 100 à 150 millions d’euros cette année.
Echaudée par la décision Illumina-Grail de la Cour de justice européenne, une affaire de concentration remettant en cause une décision de Bruxelles, l'Autorité de la concurrence cherche un moyen de garder un œil sur les opérations trop petites pour entrer dans son champ d'action. Une consultation a été lancée, dans laquelle les professionnels du droit réagissent, parfois vertement, aux propositions qui sont faites.
Bolloré, Esker, Neoen : le travail des experts indépendants a été critiqué dans de récentes opérations boursières. Rare exception dans le monde, les rapports d’expertise en France, très développés, viennent informer et protéger les actionnaires minoritaires, plus que préserver la responsabilité des administrateurs.
En 2021, la directrice générale de Lysogene aurait transmis une information privilégiée à son ex-mari, qui l’aurait utilisée et transmise à trois de ses proches. La séance a fini à huis clos.
La bonne santé de la filière ne doit pas cacher la difficulté des sociétés du secteur à trouver des financeurs entre l’amorçage et les refinancements secondaires.
La baisse des taux, le réalignement des attentes de prix entre vendeurs et acheteurs et les restructurations attendues devraient stimuler le marché, selon le cabinet HSF.
L’opération est soumise à la suppression de la clause de «negative pledge» assortie à ces obligations lors d’une assemblée générale des porteurs d’Oceanes attendue début mars.