Toute l’actualité de l’Union européenne (élections, lois, réglementations) et l’impact des décisions de la Commission européenne, du Parlement ou du Conseil sur l'économie, les marchés et l'écosystème financier.
La France et l’Allemagne ont proposé lundi, dans une déclaration commune, que le plan de relance européen soit doté de 500 milliards d’euros en dépenses budgétaires pour les pays du bloc les plus touchés par l'épidémie de coronavirus qui a quasiment paralysé l’activité économique du continent.
La réunion des ministres des Finances prévue demain vendredi sera principalement consacrée à la mise sur pieds d’un fonds de relance économique européen. Le 23 avril, les dirigeants des 27 avaient donné un accord de principe à la mise sur pied d’un tel instrument, laissant à la Commission européenne (CE) le soin d’en dessiner les contours.
L’ouverture par l’Union européenne (UE) d’une procédure contre l’Allemagne après le jugement de la Cour constitutionnelle allemande sur la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) «affaiblirait ou menacerait» l’UE elle-même, a déclaré l’un des juges de Karlsruhe, Peter Huber, cité par le Frankfurter Allgemeine Zeitung. «Une procédure d’infraction constituerait une escalade considérable, qui plongerait l’Allemagne et d’autres Etats membres dans un conflit constitutionnel difficile à résoudre», a estimé le magistrat. Une telle procédure n’est, selon lui, «en aucun cas inévitable».
La visioconférence des ministres des Finances de la zone euro prévue demain vendredi sera largement consacrée à la finalisation des conditions de mise en oeuvre du Mécanisme européen de stabilité (MES).
Publié le 25 juillet 2019 au JO de l'Union européenne, le règlement sur les nouveaux produits d’épargne-retraite individuelle distribués dans l’Union européenne, Des actes délégués sont en cours d’élaboration pour que le PEPP puisse être commercialisé, en 2021 au plus tôt
Alors que les 27 Etats membres de l’Union européenne (UE) discutent, en parallèle des 19 de la zone euro, d’un plan de relance économique d’une ampleur d’environ 1.500 milliards d’euros, le commissaire européen à l’Economie et aux Affaires financières, Paolo Gentiloni, a déclaré dimanche, dans un entretien à la télévision italienne Rai 3, qu’«un financement doit être fourni dès maintenant», pour être disponible d’ici à la mi-septembre. «Nous ne pouvons pas attendre deux ans, comme cela s’est produit entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et le plan Marshall», a-t-il précisé, avant d’ajouter que ce plan devrait idéalement comprendre des prêts et des subventions.
Alors que les 27 Etats membres de l’Union européenne (UE) discutent, en parallèle des 19 de la zone euro, d’un plan de relance économique d’une ampleur d’environ 1.500 milliards d’euros, le commissaire européen à l’Economie et aux Affaires financières, Paolo Gentiloni, a déclaré, dans un entretien à la télévision italienne Rai 3 dimanche, qu’«un financement doit être fourni dès maintenant», pour être disponible d’ici à la mi-septembre. «Nous ne pouvons pas attendre deux ans, comme cela s’est produit entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et le plan Marshall», a-t-il précisé, avant d’ajouter que ce plan devrait idéalement comprendre des prêts et des subventions.
Les chefs d’Etat et de gouvernement européens ne devraient pas parvenir à une décision définitive sur le financement de la relance de l'économie de l’Union européenne malmenée par la crise sanitaire actuelle, à l’occasion du Conseil européen par visioconférence de jeudi, ont déclaré mardi à Reuters des diplomates et responsables européens.
Le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, devrait proposer, jeudi lors du sommet de l’Union européenne (UE), la création d’un fonds de 1.500 milliards d’euros pour aider les pays les plus affectés économiquement par l'épidémie, rapporte lundi le journal El Pais. Ce fonds serait alimenté par de la dette émise par l’UE et les sommes remises à chaque pays seraient considérées comme des transferts et non comme de la dette, selon le quotidien. Le 9 avril, les pays de la zone euro ont convenu de mesures d’urgence pour environ 500 milliards d’euros, mais des divergences persistent sur le financement d’un futur plan de relance, dont l'éventualité d’une mutualisation de la dette.
Le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, devrait officiellement proposer, jeudi lors du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne (UE), la création d’un fonds de 1.500 milliards d’euros pour aider les pays les plus affectés économiquement par l'épidémie de coronavirus, rapporte lundi le journal El Pais, citant un document gouvernemental.
Malgré 16 heures en vidéoconférence, les ministres des Finances de la zone euro ne sont pas parvenus à s’accorder sur une réponse commune aux conséquences économiques de la crise sanitaire. Le débat a au contraire tourné au combat singulier entre Roberto Gualtieri, le ministre des Finances italien, et son homologue néerlandais, Wopke Hoekstra, qui ont refusé tout compromis sur la conditionnalité de la mise en place du Mécanisme européen de stabilité (MES) et le recours à la mutualisation de la dette pour faire face à la crise. Les discussions reprendront ce jeudi à 17h.
Malgré 16 heures d’une vidéoconférence qui a duré jusqu’à ce matin, les ministres des Finances de la zone euro ne sont pas parvenus à s’accorder sur une réponse commune aux conséquences économiques de la crise sanitaire. Le débat a au contraire tourné au combat singulier entre Roberto Gualtieri, le ministre des Finances italien, et son homologue néerlandais, Wopke Hoekstra.