Nos articles d’actualité et d’analyse sur le thème de la retraite (capitalisation, répartition), son financement, ses réformes et ses conséquences pour les acteurs financiers (assureurs, banques, fonds etc.)
Les institutions de prévoyance en Suisse investissent en moyenne 32,8% de leurs placements en obligations, selon l’indice Credit Suisse des caisses de pension au troisième trimestre 2013. Pour le numéro deux bancaire helvétique, elles pâtissent de leur stratégie passive d’allocation d’actifs dans le contexte actuel de faibles taux d’intérêt. Allocation d’actifs des huit derniers trimestres En prenant en compte les hypothèques et les devises, la part des placements sensibles aux taux d’intérêt s'élève même à 43,6%, a souligné mercredi à Zurich Christian Wicki, responsable du conseil aux clients institutionnels de Credit Suisse. Ceux-ci sont constitués à 80% de caisses de prévoyance. Sur les trois premiers trimestres 2013, leur performance annuelle s’est hissée à 4,14%, selon le dernier indice Credit Suisse des caisses de pension publié en octobre. Sur fond de taux historiquement bas, les obligations en francs suisses et en devises étrangères, ainsi que les placements alternatifs et les hypothèques, ont tiré vers le bas la performance, selon M. Wicki. Dans la foulée de la crise financière et de changements réglementaires visant les assureurs, les clients institutionnels ont notamment recouru à des emprunts à plus longue duration (durée de vie moyenne des flux financiers pondérée par la valeur actualisée). En parallèle, ils ont vu leurs rendements se contracter. Diversifier le portefeuille Pour les caisses de pension, le défi posé par les objectifs de rendements liés à l’intérêt minimal et au taux de conversion est supérieur aux revenus des obligations, selon Maurizio Pedrini, expert en revenu fixe au sein de Credit Suisse Asset Management. Une situation qui les pousse à réviser leur stratégie d’allocation de fonds. Pour la banque, qui table à moyen terme soit sur la persistance des taux faibles soit sur leur relèvement, le risque d’inflation et les rendements négatifs ne sont en outre pas à exclure. Face à ces perspectives, les institutions de prévoyance seraient bien avisées de devenir plus actives et de diversifier leur portefeuille, indique Maurizio Pedrini. Emprunts d’entreprise Les instruments financiers à plus courte duration combinée à des attentes de revenus plus élevés sont une alternative, selon Maurizio Pedrini. Il conseille notamment les emprunts d’entreprise, avec à la clé, une prime de risque ou les obligations des marchés émergents. En outre, nombre d’indices de référence obligataires, déterminants pour le placement passif, sont dominés par des pays fortement endettés, tels que les Etats-Unis, le Japon, l’Italie ou l’Espagne. Selon M. Pedrini, ce ce «gros risque» peut être contrecarré par un indice individualisé qui favorise, notamment, les plus petits pays.
Le cabinet Aon Hewitt vient de publier les résultats de son enquête annuelle sur les pratiques des entreprises en matière d'épargne retraite et salariale. Réalisée auprès de 95 entreprises, dont 63% emploient plus de 5 000 personnes, cette étude montre «que les régimes mis en place sont de plus en plus étendus, et en même temps moins catégoriels», selon Alain Boyadjian, directeur retraite et investissements chez Aon Hewitt France. Plus de Perco et d’Article 83 Parmi les entreprises interrogées, 61% d’entre elles ont ainsi mis en place cette année un régime de retraite à cotisations définies «Article 83», contre 52% en 2012. De même, les sociétés plébiscitent de plus en plus le plan d'épargne pour la retraite collectif (Perco). «Encouragées notamment par la réforme des retraites de 2010, 71% des sociétés du panel ont mis en place ou sont en train de mettre en place ce régime, soit neuf points de plus que l’an passé», précise Marc Salameh, responsable de l’activité conseil en avantages sociaux chez Aon Hewitt France. Un régime moins catégoriel Alors que les retraites chapeaux font actuellement débat, cette enquête prouve aussi que les «Article 39» ne sont pas réservés aux plus hautes sphères de l’entreprise. Car, si 68% de ces régimes sont à destination des cadres dirigeants, 23% sont proposés à l’ensemble des salariés, et 5% seraient même réservés aux non-cadres. Pour autant, les régimes de retraite supplémentaire à prestations définies n’ont pas un grand avenir, puisque «40% de ces régimes sont désormais fermés», indique Marc Salameh.
Valérie Magloire, directrice des Relations Investisseurs du Groupe MICHELIN et lauréate 2013 des Trophées des Meilleures Relations Investisseurs Toutes Catégories du Forum. Valérie Magloire Alors que s’est tenue hier soir la 6ème édition des Trophées du Forum des Relations Investisseurs et de la Communication financière, Michelin a été nommé pour la 6ème fois consécutive pour la stratégie et les opérations menées cette année en faveur des Investisseurs. Marc HENRY, Direction Financière du Groupe MICHELIN : « Les Relations Investisseurs ont une responsabilité managériale stratégique qui contribue à l’augmentation de la valeur de l’entreprise. En lien avec la stratégie du Groupe et ses conséquences financières que mon équipe et moi-même menons à la Direction Financière, Valérie a su développer tout au long de l’année des outils et des rendez-vous qui informent avec fiabilité et efficacité la communauté des analystes financiers, leur permettant ainsi d’affiner leurs recommandations au plus juste de l'évolution de notre activité. » Une sélection d’analystes et de gérants français membres de la SFAF (Société Française des Analystes Financiers) a été sondée cette année afin d’identifier les professionnels les plus performants dans le domaine des Relations Investisseurs. Valérie Magloire a rejoint Michelin en juillet 2008 et a été nommée directrice des Relations Investisseurs du Groupe en février 2009. Diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, Valérie Magloire a commencé sa carrière en 1979 au sein du groupe PSA Peugeot Citroën, d’abord comme contrôleur de gestion chez Peugeot, puis comme spécialiste des investissements de long terme et responsable des relations avec les banques. De 1996 à 2008, Valérie Magloire était responsable des relations Investisseurs du Groupe PSA Peugeot Citroën.
La réorganisation d’Humanis semble s’achever avec la mise en place d’un nouvel organigramme. Après le départ du directeur financier Didier Bonneau, le groupe nous a confirmé que c’est désormais Pierre-Jean Besombes qui occupe le poste de directeur adjoint en charge de la gestion financière et des investissement, sous la responsabilité de Gilles de Margerie, directeur général adjoint du groupe. Jean-François Schmitt, ex-directeur des investissements est nommé à la direction de l'épargne au sein d’Interexpansion, en remplacement de Jean-Michel Girardon. Ce dernier rejoignant la direction financière en tant que chargé de missions. Le jeu de chaises musicales se poursuit, Jeanne de France quittant son poste de directeur adjoint d’Interexpansion, pour devenir adjointe au directeur de l’action sociale, Laurent Huyghe. Elle sera plus spécifiquement chargée des actions collectives et de la gestion des aides individuelles, en binôme avec Pascal Pâris. Dans le même département, Jean-Louis Corbeau est nommé responsable des réalisations sociales et vacances. Un directeur de l’actuariat vient également d'être recruté en externe, en la personne de Christian Martin, ex directeur actuariat, produits vie et prévoyance et membre du comité exécutif d’Aviva France. Jean-Jacques Vallard conserve lui son poste de directeur des risques et du contrôle interne, de même qu’Yves Le Nail, directeur de l'épargne retraite et de l’assurance-vie, et que Bruno Gabellierie, directeur des relations extérieures et des affaires européennes. Enfin Alain Rivière, auparavant directeur de la gestion pour compte de tiers, devient directeur des services aux partenaires.
Cet IPE Awards est une reconnaissance au niveau européen de la démarche d’investisseur responsable de l’Ircantec contribuant à l'élargissement de la notoriété du régime dans la sphère des retraites. Ce prix, remis au président de l’Ircantec Alain Gaillard, récompense l’institution pour sa démarche d’investisseur responsable, et consacre notamment la spécificité et l’exemplarité de cette dernière. A ce jour, l’institution, qui vient de publier sa charte ISR 3, gère ses sept milliards de réserves selon les principes ESG. Les points qui ont retenu l’attention du jury : Le souhait de cohérence du régime entre sa stratégie d’investissement et une de ses valeurs fondatrices : la solidarité intergénérationnelle. En prenant en compte la dimension ESG dans ses investissements, l’Ircantec a la volonté de préserver le capital financier, social et environnemental pour les générations futures. La progressivité de la démarche : depuis 2009 l’Ircantec, accompagnée de son gestionnaire la Caisse des dépôts direction des retraites et de la solidarité, a progressivement demandé aux huit sociétés de gestion d’appliquer des critères ISR sur tous les types d’actifs. L’exemplarité de la démarche : élaborée avec pragmatisme, celle-ci est reproductible pour d’autres investisseurs.
Etienne Stofer, directeur de la Caisse de retraite du personnel navigant professionnel de l’aéronautique civile (CRPN) dans Option Finance : Notre principale sujet concerne l'évolution de la réglementation des réserves des caisses de retraite (articles R. 623-3 à 10 du Code la sécurité sociale). Nous ne sommes pas concernés par Solvabilité 2, mais nos règles de placements devraient évoluer en 2014. L’inspection générale des affaires sociales (IGAS) est en train d’y travailler. Il conviendrait que cette révision de la réglementation permette de prendre en compte les différences d’objectifs et d’horizon de placement des différentes caisses. Une caisse de retraite par répartition porte, à la différence des assureurs, des « engagements ajustables ». Une réglementation s’inspirant des règles de Solvabilité 2 serait très pénalisante pour les affiliés et employeurs de notre caisse. Pour un investisseur de long terme comme la CRPN, le premier risque est simplement d'être contraint de renforcer ses placements en actifs peu risqués à court terme mais dont les perspectives de rendement réel (net d’inflation) sont nulles voire négatives.
Les règles de gestion et de pilotage de ce nouveau régime, fixées par les administrateurs du RSI, imposent le respect strict de critères de solvabilité. Les évaluations conduites périodiquement ont vocation à montrer que, grâce à ces règles, la réserve de sécurité garantit le versement des droits et la pérennité à long terme du régime complémentaire des indépendants. Le RSI vient de réaliser le premier bilan actuariel du nouveau régime complémentaire des indépendants. Cet exercice de projection a pour objectif d'évaluer la solvabilité du régime. Ce premier bilan montre qu'à son ouverture le 1er janvier 2013, le régime complémentaire des indépendants fait mieux que respecter les deux critères de solvabilité fixés par ses règles de gestion : le RSI dispose aujourd’hui de près de 13 milliards d’euros de réserves, soit l'équivalent de plus de sept années de prestations de retraite complémentaire. Ces réserves garantissent le financement des pensions de retraite complémentaire au moins jusqu’en 2056, soit bien au-delà de l’espérance de vie des assurés partant actuellement à la retraite ; tous les droits actuellement en cours de constitution au titre du régime complémentaire des indépendants pourront être honorés : les cotisations collectées au titre de l’année 2012 couvrent 113 % des engagements qu’elles induisent. Le mode de gouvernance du régime complémentaire des indépendants est inscrit dans le code de la Sécurité sociale. Il prévoit un bilan actuariel régulier complet tous les six ans avec un bilan partiel tous les trois ans. Ces règles de pilotage ont pour but de s’assurer en permanence de la pérennité du régime. Il est rappelé par ailleurs que la création du nouveau régime complémentaire a permis l’harmonisation des droits entre artisans et industriels/commerçants. Le nouveau régime, qui assure un taux de rendement de 6,8 %, a également apporté de nombreuses améliorations pour les assurés avec notamment : l’abaissement de la condition d'âge pour bénéficier d’une pension de réversion : à compter de 2013 toutes les pensions de réversion complémentaires pourront être liquidées en même temps que celle du régime de retraite de base soit à 55 ans ; l’introduction de capitaux décès pour les retraités commerçants identiques à ceux qui existaient pour les artisans.
Selon nos informations, Didier Bonneau a quitté le groupe Humanis le 31 octobre suite à l'évolution récente de l'équipe dirigeante. Il occupait la fonction de directeur financier depuis un an. Pour rappel, Gilles de Margerie a été nommé début juillet directeur général adjoint du groupe, et supervise les Finances, les Risques, la Gouvernance Institutionnelle et les Affaires Juridiques et le pôle Epargne. Un directeur du contrôle de gestion, un directeur de la comptabilité et un directeur des investissements, placés sous la responsabilité de Gilles de Margerie, seront prochainement nommés. Pierre-Jean Besombes jusqu'à présent DG délégué d’Interfi SA rejoindrait la direction des investissements d’Humanis, en remplacement de Jean-François Schmitt. Ce dernier devrait prendre de nouvelles fonction au sein de la direction générale de la société de gestion du groupe, Interexpansion.
Avec un taux de couverture pondéré en fonction de la fortune estimé à 110,1%, les réserves pour fluctuation de valeur des caisses de pension de droit privé ont légèrement progressé par rapport au trimestre écoulé. La situation se présente de façon similaire dans les caisses de droit public à capitalisation totale, où le taux de couverture atteint désormais 102,0%. Au 30 septembre, 40,7% des caisses de pension de droit public à capitalisation totale et tout juste 5% des caisses de droit privé se trouvent en découvert. Pour télécharger le rapport complet : cliquez ici
Christophe Cattoir, Responsable de la gestion d’actifs du Groupe Humanis : Les progrès réalisés sur les processus de gestion ont permis d’augmenter les notes sur les résultats qu’ils soient financiers, sociétaux ou vis-à-vis de nos parties prenantes. A compter de 2013, une nouvelle nomenclature de la norme sera utilisée et de nouveaux objectifs vont être définis, lesquels seront accompagnés d’un plan d’actions pluri-annuels qui concernera notamment via la mise en oeuvre de politiques financières par budgets de risque et d’un nouveau processus d’allocation d’actifs ». De nombreuses actions vont être menées sur 2013-2014 parmi lesquelles nous pouvons citer : la mise en oeuvre d’une charte de gouvernance financière à laquelle sera associé le suivi d’un tableau de bord stratégique permettant de s’assurer de sa bonne application, la promotion de l’Investissement Responsable via la participation active à des associations ou colloques réunissant des investisseurs institutionnels français et internationaux.
La société mutuelle d’assurance (SMA) du BTP prend à bail, auprès d’un privé, 1 779 m2 de bureaux ainsi que 24 places de parking à Montpellier (34) à l’adresse suivante : Les échelles de la ville, 2 place Paul Bec. Le loyer s'élève à 129 €/m2/HT/HC. Dans cette transaction, la SMA-BTP était conseillée par CBRE et le bailleur par Arthur Loyd Montpellier.
Dominique Lamiot, nouveau Président de l’ERAFP Par décret du Président de la République paru au Journal Officiel du 2 octobre 2013, M. Dominique LAMIOT est nommé président de l'Établissement de Retraite additionnelle de la Fonction publique (ERAFP). Administrateur civil hors classe, Dominique LAMIOT est diplômé de l’ENA (1987) et était, depuis 2008, Secrétaire général de Bercy. Après avoir exercé à la Ville de Paris, il est affecté en juin 1987 au Ministère de l'économie et des finances (Direction de la prévision), où il est responsable d'études macroéconomiques et financières. De 1993 à 1998, il dirige successivement trois bureaux au sein de la Direction du Trésor : Aide publique au développement - Relations financières bilatérales - Marché des changes. En septembre 1998, il rejoint la Direction générale de la comptabilité publique en qualité de Sousdirecteur en charge des recettes de l’Etat (1998-2001) puis Sous-directeur en charge des études, du budget et du réseau du Trésor public (2001-2003). En 2004, il devient Chef de service adjoint au Directeur général de la comptabilité publique, avant d'être nommé Directeur général de la comptabilité publique (réseau du Trésor Public), en octobre 2005. En avril 2008, Dominique LAMIOT est nommé Secrétaire général des Ministères économique et financier. Le 6 mai 2010, il est confirmé dans ses fonctions à la suite de la création d’un Secrétariat général renforcé, rassemblant les fonctions antérieurement exercées par trois directions (SG, DPAEP et Sircom).
La CAVEC, la Caisse de retraite des experts-comptables et des commissaires aux comptes, est consternée par les allégations faites par la Cour des Comptes dans son rapport sur les retraites des professions libérales. Comme l’UNAPL, la CAVEC soutient que ce rapport est « orienté », afin de «justifier les mesures d'étatisation que tente d’imposer le gouvernement pour les régimes des professions libérales ». En effet, la CAVEC a suivi de près l'élaboration du rapport mené par la Cour des Comptes ces derniers mois et a répondu par deux fois, afin de rétablir la vérité sur la réalité économique de la caisse. Michel Giordano, Président de la Cavec et expert-comptable à Paris précise qu’il « s’ interroge sur l’origine de l’information trompeuse donnée par la Cour des Comptes, selon laquelle la Cavec a un besoin en financement de 1,1 milliard d'€. A partir de cette information, la Cour des Comptes laisse penser que notre régime serait en déficit à partir de 2020. Nous avons répondu deux fois, chiffres à l’appui, à ces fausses déclarations et regrettons de ne pas avoir été entendus. Je souhaite rassurer les cotisants et les retraités de la Cavec sur la solidité financière de nos régimes. » Dans ses réponses à la Cour des Comptes, la Cavec précisait en effet : « La combinaison du rendement technique et de la gestion des réserves sur les bases de 2%, bien loin des 5,62% hors inflation constatés sur les 25 dernières années, conduit à un épuisement théorique des réserves au-delà de 2060. » La Cavec avait ajouté à cela : « La Cour mentionne la difficulté contributive au régime complémentaire de part les besoins de financement au régime de base. En réalité, le régime de base serait équilibré si la décision de l’Etat de faire supporter par les régimes de retraite, au travers de la compensation démographique généralisée, des phénomènes globaux d'évolution de la société et non spécifiquement liés stricto sensu au régime de retraite. Enfin, le déséquilibre est particulièrement mal vécu car cette compensation bénéficie à certains régimes qui n’ont pas eu la sagesse de gérer leur régime à l’instar des professionnels libéraux. A cet effet, le récent rapport du Haut Conseil du Financement de la Protection Sociale est parfaitement édifiant quant aux financements croisés et sur l’opacité des ressources de certains régimes de retraites». Malgré les remarques documentées de la CAVEC, la Cour des Comptes est restée sur des affirmations erronées et imprécises, afin d'étayer des conclusions pré-écrites, permettant de justifier la réforme en cours.
Vendredi 20 septembre, l’Auxiliaire a fêté - au musée de l’automobile Henri Malartre - ses 150 ans. Cet évènement a réuni près d’un millier de personnes, invités de Luc BRUNEL, Président, et Olivier BEDEAU, Directeur général de la mutuelle. Tour à tour, Monsieur le Sénateur-Maire de Lyon et Président du Grand Lyon ; Didier RIDORET, Président de la Fédération Française du Bâtiment ; Patrick BERNASCONI, Président de la Fédération Nationale des Travaux Publics et Président de la SGAM BTP ; Rita SPITERI, Maire de Rochetaillée-sur-Saône, et Bernard SPITZ, Président de la Fédération Française des Sociétés d’Assurances, ont salué l’expertise de l’Auxiliaire et sa fidélité à son territoire d’origine. Créée à Lyon en 1863 pour couvrir les risques professionnels des salariés du bâtiment et des travaux publics, cette mutuelle d’assurance est devenue le leader de l’assurance construction dans le Sud-Est En l’absence de législation sur les accidents du travail et confrontés à nombre d’accidents de chantier lors de la mutation urbaine du centre de Lyon dans la seconde moitié du XIXe siècle, des entrepreneurs lyonnais du bâtiment ont créé en 1863 L’Auxiliaire, mutuelle d’assurance du bâtiment pour couvrir les risques professionnels des salariés de cette branche. Cent cinquante ans célébrés le 20 septembre 2013 en présence de Didier Ridoret, président de la Fédération Française du Bâtiment et Patrick Bernasconi, président de la FNTP et de la Sgam BTP, un groupement d’assurance mutuelle. « Depuis 1863, L’Auxiliaire fondée par des professionnels du bâtiment pour des professionnels du bâtiment joue de ses atouts avec la création d’une vraie spécialisation dans le bâtiment et les travaux publics, jusqu'à devenir le leader de l’assurance construction dans le sud-est de la France » explique Luc Brunel, son président, ex-président de BTP Loire, issu des instances professionnelles du BTP comme tous les administrateurs. Modèle mutualiste « Grâce sa connaissance de la construction et à une approche globale de ses risques, L’Auxiliaire répond aux besoins des entreprises, artisans, maîtres d’??uvre et maîtres d’ouvrage, pour les risques professionnels et privés » poursuit Olivier Bedeau, son directeur général. Entre proximité - treize départements du sud-est de la France relayée par un service courtage sur toute la France - et savoir-faire, L’Auxiliaire décline un modèle mutualiste centré sur la satisfaction des besoins de ses sociétaires-propriétaires. Depuis 2007 avec le soutien des fédérations professionnelles de la construction, L’Auxiliaire, la Sma BTP et la Cam BTP ont créé la Sgam BTP : ce groupement d’assurance mutuelle fédère toutes les mutuelles du bâtiment au nom de liens et d’une solidarité financière durables. Génétiquement lyonnaise - compétence et discrétion - L’Auxiliaire poursuit sereinement sa politique de progrès avec son futur chantier stratégique Déclic (Dynamisme, Ecoute, CLIent et Collaborateur) débattu au mois d’octobre.