Nos articles d'actualité et d'analyse sur l'économie chinoise, son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur les sujets de rémunérations, qu’il s’agisse des salaires dans les secteurs bancaire et assurantiel ou des rémunérations des dirigeants de grandes entreprises.
La suppression du dividende va peser sur l'intéressement des salariés de la Société Générale et de BNP Paribas. Toutes les banques tricolores ne s'accordent pas sur une prime Covid-19.
Le fabricant de pneumatiques Michelin a annoncé vendredi que ses dirigeants avaient réduit leurs rémunérations en soutien aux salariés touchés par le chômage partiel en raison des répercussions de la crise sanitaire. Les gérants Florent Menegaux et Yves Chapot ont décidé de réduire d’environ 25% leur rémunération pour les mois d’avril et mai. Les deux dirigeants ont aussi décidé de « renoncer à une partie de leur rémunération variable 2019 versée en 2020», a expliqué Michelin.
Le fabricant de pneumatiques Michelin a annoncé vendredi que ses dirigeants avaient réduit leurs rémunérations en soutien aux salariés touchés par le chômage partiel en raison des répercussions de la crise sanitaire.
Une action collective en justice a été lancée «pour geler les dividendes» des grandes sociétés afin de créer une «contribution de solidarité exceptionnelle» en raison de la crise du coronavirus, a annoncé jeudi l’avocat à l’origine de la procédure. Cette action collective gratuite est ouverte, du jeudi 2 avril midi au mardi 7 avril 2020 midi, «aux citoyens, aux syndicats, aux ONG ainsi qu’aux entreprises (TPE/PME), commerçants, artisans et professions libérales», précise Me Christophe Lèguevaques dans un communiqué. Une requête devant le Conseil d’Etat va être déposée le 7 avril.
Le superviseur Andrea Enria appelle à une «extrême modération» sur les rémunérations variables, sans préciser les populations concernées ni le niveau d'effort demandé.
Andrea Enria, le président du conseil de surveillance prudentielle de la Banque centrale européenne, souhaite une «extrême modération» sur le paiement des bonus cette année et menace d’intervenir si les banques ne le font pas. «Si nous devons jouer ce rôle, nous le ferons», déclare le superviseur des banques de la zoe euro ans un entretien au Financial Times publié ce mardi.
L’Oréal a annoncé lundi qu’il ne recourrait pas au chômage partiel jusqu’à fin juin et maintiendrait la totalité de ses emplois en France, malgré les répercussions de la pandémie de coronavirus sur ses activités. Le spécialiste des cosmétiques a aussi indiqué qu’il paierait 100% de leur rémunération à l’ensemble de ses 13.400 collaborateurs en France, dont 3.000 sont actuellement privés d’activité. Il s’engage en outre à ne procéder à aucun report de charges sociales ou fiscales jusqu'à la fin juin.
Banco Santander a annoncé dans la nuit s'être engagée à réviser le dividende 2020, « afin de disposer de toutes les ressources nécessaires pour soutenir les entreprises et les clients individuels dans le besoin » pendant la pandémie de coronavirus.
La société de gestion italienne Anima a lancé début janvier Anima Crescita Italia New, un fonds éligible au nouveau plan d’épargne individuel italien PIR, rapporte Funds People Italia. Cela vient compléter l’offre PIR de la société de gestion qui se composait déjà d’Anima Crescita Italie (lancé en 2017) et Anima Iniziativa Italia, Anima Crescita Italia et Anima Pro Italia. Anima Crescita Italia New est un fonds diversifié obligataire. Il est investi à 30 % en actions (dont 22 % italiennes) et à 70 % dans des obligations (dont 50 % d’obligations d’entreprises italiennes).
Comme Gaipare qui a annoncé le même jour une baisse du taux de son fonds en euros, l'association n'a pas résisté à l'érosion des rendements. La rémunération de son fonds en euros perd 0,4 point.
Alors que les émetteurs avaient fait l’effort de proposer une résolution par avantage, rappelle Kienbaum, la nouvelle ordonnance impose une seule résolution.
Invesco vient de nommer Thomas Kraus comme directeur des ventes en Allemagne, en Autriche et en Suisse, a appris Das Investment. Il était jusqu’ici responsable des ventes aux institutionnels de la région. Sascha Specketer, qui couvre le segment de la clientèle retail en Allemagne, lui reprend d’ores et déjà la clientèle institutionnelle allemande. Thomas Kraus évolue chez Invesco depuis 2002. Il avait repris la responsabilité des clients institutionnels de l’Europe germanophone en 2017, suite à la mort de Bruno Schmidt-Voss. Sascha Specketer a, quant à lui, intégré Invesco en 2017 suite au rachat de FNB, dont il dirigeait le segment de la distribution pour le retail en Allemagne, en Autriche et en Europe de l’Est.
LaSalle annonce deux nouveaux recrutements au sein de son équipe parisienne. Marc Fauchille rejoint la société comme development & asset management director. Il sera en charge des opérations de développement et de restructuration d’actifs, en France et au Benelux. Il interviendra tout particulièrement sur les fonds Value Add, et sera rattaché à Loïc Sanières, head of asset management. Avant de rejoindre LaSalle, Marc Fauchille a passé 10 ans chez JLL France, en tant qu’associate director au sein du département Project & Development Services. Clémence Maquet intègre l’équipe en tant qu’assistant fund manager. Elle intervient essentiellement sur des stratégies Core et est rattachée à Mathias Malzbender, head of separate accounts. Clémence Maquet vient d’Aberdeen Standard Investments où elle a été gérante en charge de l’asset management et des investissements en Allemagne puis gérante adjointe du fonds core plus European Property Growth Fund. Elle a aussi travaillé chez La Française et Allianz Real Estate.
L’ordonnance, présentée mercredi en conseil des ministres, rend obligatoire la comparaison entre l’évolution de la rémunération et celle de la performance de l’entreprise.
Le procureur de Brunswick a renvoyé devant le tribunal régional de la ville deux anciens membres du directoire ainsi que deux managers du constructeur automobile, l’un en poste et l’autre ancien, pour des motifs de «fraude dans une affaire particulièrement grave au détriment du groupe Volkswagen». Les défendeurs sont accusés d’avoir accordé à plusieurs membres du comité d’entreprise des salaires et primes excessifs entre mai 2011 et mai 2016, dans leurs fonctions de supervision des ressources humaines de la marque Volkswagen. Selon le parquet, cela a entraîné un préjudice de 5,1 millions d’euros pour le groupe allemand, dont 3,1 millions concernent la rémunération excessive perçue par le président du comité d’entreprise, Bernd Osterloh, qui exerce cette fonction depuis 2005.
Le procureur de Brunswick a renvoyé devant le tribunal régional de la ville deux anciens membres du directoire ainsi que deux managers du constructeur automobile, l’un en poste et l’autre ancien, pour des motifs de «fraude dans une affaire particulièrement grave au détriment du groupe Volkswagen». Les défendeurs sont accusés d’avoir accordé à plusieurs membres du comité d’entreprise des salaires et primes excessifs entre mai 2011 et mai 2016 dans leurs fonctions de supervision des ressources humaines de la marque Volkswagen.