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La manière dont le gouvernement britannique mène les négociations sur le Brexit ne permet pas de trouver des solutions et ses propositions en ce qui concerne la frontière entre l’Irlande et l’Ulster ne sont pas crédibles, a jugé hier le ministre irlandais des Affaires étrangères, Simon Coveney. Sur cette question, Simon Coveney a dit que Dublin souhaitait «plus de détails» de la part du gouvernement britannique, et «une nouvelle approche qui soit souple et reconnaisse les défis particuliers que rencontre l'île d’Irlande».
La manière dont le gouvernement britannique mène les négociations sur le Brexit ne permet pas de trouver des solutions et ses propositions en ce qui concerne la frontière entre l’Irlande et l’Ulster ne sont pas crédibles, a jugé aujourd’hui le ministre irlandais des Affaires étrangères, Simon Coveney. L’Union européenne souhaite que trois des nombreuses questions entrant dans le cadre du Brexit soient globalement résolues avant d’entamer le mois prochain une nouvelle phase des difficiles négociations sur la rupture avec le Royaume-Uni.
Madrid pense que des groupes basés en Russie ont utilisé les réseaux sociaux pour appuyer le référendum d’autodétermination du 1er octobre en Catalogne afin de déstabiliser l’Etat espagnol. Les ministres espagnols de la Défense et des Affaires étrangères affirment avoir des preuves que des groupes publics ou privés en Russie et au Venezuela ont utilisé Twitter, Facebook et d’autres sites internet pour faire la promotion de la cause séparatiste catalane. «Ce que nous savons aujourd’hui, c’est que beaucoup (de ces activités) provenaient du territoire russe», a déclaré hier la ministre espagnole de la Défense, Maria Dolores de Cospedal, en marge d’une réunion à Bruxelles.
Le Parlement britannique pourra débattre de l’accord définitif de sortie de l’Union européenne, a déclaré hier le ministre chargé du Brexit David Davis. Des voix se sont élevées au sein du parti de la Première ministre Theresa May pour demander que le Parlement ait la possibilité d’avoir «un vote significatif» sur un éventuel accord concernant le Brexit. Certains Tories ‘frondeurs’ ont laissé entendre qu’ils souhaitaient voter contre les textes législatifs nécessaires pour rompre les liens avec l’UE.
Madrid pense que des groupes basés en Russie ont utilisé les réseaux sociaux pour appuyer le référendum d’autodétermination du 1er octobre en Catalogne afin de déstabiliser l’Etat espagnol. Les ministres espagnols de la Défense et des Affaires étrangères affirment avoir des preuves que des groupes publics ou privés en Russie et au Venezuela ont utilisé Twitter, Facebook et d’autres sites internet pour faire la promotion de la cause séparatiste catalane et influer sur l’opinion publique.
La commission des affaires sociales de l’Assemblée a adopté hier le projet de loi ratifiant les ordonnances de réforme du Code du travail. Moins de 20 amendements ont été adoptés sur les 230 qui avaient été déposés. Parmi ces derniers: la possibilité pour le conseil d’entreprise (CE) -instance unique de représentation du personnel qui inclut les délégués syndicaux- de négocier l’ensemble des accords d’entreprise. Le projet de loi de ratification sera examiné en séance publique à partir du 21 novembre, l’examen étant prévu pour quatre jours.
La Première ministre britannique a invité les dirigeants de plusieurs fédérations patronales européennes pour discuter lundi prochain des effets du Brexit, rapporte Reuters citant plusieurs sources européennes. «Elle arrive directement du bureau de la Première ministre», a dit l’une des sources, évoquant cette invitation. Aucun autre détail n'était immédiatement disponible.
Le projet de loi de retrait de l’Union européenne que le gouvernement britannique soumettra au Parlement fixera au 29 mars 2019 à 23h00 heure de Londres (minuit à Paris) la date de la sortie effective de l’UE, a annoncé hier soir le ministre chargé du Brexit, David Davis. «Nous avons entendu l’opinion et les membres du Parlement et avons procédé à cette modification pour supprimer toute confusion ou inquiétude sur la signification de l’expression ‘exit day’ (jour du départ)», ajoute le ministre dans un communiqué.
La Première ministre britannique a invité les dirigeants de plusieurs fédérations patronales européennes pour discuter lundi prochain des effets du Brexit, rapporte Reuters citant plusieurs sources européennes. «Elle arrive directement du bureau de la Première ministre», a dit l’une des sources, évoquant cette invitation. Aucun autre détail n'était immédiatement disponible.
La ministre britannique du Développement international, Priti Patel, a dû démissionner hier en raison du scandale provoqué par des rencontres qu’elle a eues avec des dirigeants israéliens, dont le Premier ministre Benjamin Netanyahu, sans en informer Theresa May. La Première ministre, qui peine de plus en plus à convaincre les Britanniques de sa capacité à obtenir un bon accord dans les négociations sur le Brexit, doit également composer avec la démission de son ministre de la Défense, Michael Fallon, en raison d’une affaire de harcèlement sexuel. Le vice-Premier ministre Damian Green, ainsi que le secrétaire d’Etat au Commerce international, Mark Garnier, sont également mis en cause dans des affaires similaires.
Au moins vingt Etats membres de l’Union européenne (UE) signeront lundi prochain à Bruxelles un pacte de défense en vue de financer et de produire de nouveaux matériels et marquer ainsi leur unité à la suite de la décision de la Grande-Bretagne de quitter l’UE. Jusqu’ici, la France, l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne et 16 autres pays de l’Union se sont engagés à conclure ce pacte, qui pourrait être officiellement lancé lors du Conseil européen de décembre. D’autres pays, comme le Danemark, le Portugal et Malte, ont encore à se prononcer publiquement.
La Cour constitutionnelle espagnole a invalidé hier la proclamation unilatérale d’indépendance approuvée le 27 octobre par le Parlement catalan, les magistrats de la Cour ayant jugé «nulle et inconstitutionnelle» cette déclaration. Le gouvernement de Mariano Rajoy a dissous l’exécutif régional et placé la région sous tutelle dans les heures qui ont suivi cette décision, adoptée par 70 voix contre dix.
Au moins vingt Etats membres de l’Union européenne (UE) signeront lundi prochain à Bruxelles un pacte de défense en vue de financer et de produire de nouveaux matériels et marquer ainsi leur unité à la suite de la décision de la Grande-Bretagne de quitter l’UE. Après des années de réductions budgétaires dans les programmes de défense et une tendance à se reposer sur la puissance américaine dans le cadre de l’Otan, la France et l’Allemagne espèrent renforcer la coopération militaire entre les Etats européens, tant sur les effectifs que sur les matériels.
La Cour constitutionnelle espagnole a invalidé ce mercredi la proclamation unilatérale d’indépendance approuvée le 27 octobre par le Parlement catalan, les magistrats de la Cour ayant jugé « nulle et inconstitutionnelle » cette déclaration unilatérale. Le gouvernement espagnol de Mariano Rajoy a dissous l’exécutif régional et placé la région sous tutelle dans les heures qui ont suivi cette décision, adoptée par 70 voix contre dix.
Les pays membres de l’Union européenne évoqueront pour la première fois les contours de la future relation post-Brexit avec le Royaume-Uni lors d’une rencontre à 27 aujourd’hui à Bruxelles, indiquent des sources européennes à l’AFP. Au cours de la rencontre de mercredi, les 27 seront invités à «identifier les principaux problèmes» qui pourraient être rencontrés dans les discussions, mais aussi à commencer à définir les contours de la période de transition et de la future relation. «Pour l’instant, on reste à un niveau très général», explique une source européenne. «Il y aura ensuite trois réunions techniques et en décembre, en amont du Conseil européen, on aboutira peut-être à quelque chose de plus spécifique et écrit».
Le prince héritier saoudien, Mohamed ben Salman, a donné hier instruction à ses ministres de garantir que les entreprises saoudiennes et multinationales ne verront pas leur activité affectée par la campagne anti-corruption lancée dans le royaume. Ces annonces interviennent alors que selon des sources bancaires et juridiques citées par Reuters, plus de 1.200 comptes bancaires appartenant à des particuliers ou à des sociétés ont été gelés. Dans un communiqué, la banque centrale saoudienne a quant à elle assuré que l’opération lancée samedi n’affectait nullement l’activité économique.
Les banques saoudiennes ont jusqu’ici gelé les avoirs de plus de 1.200 comptes appartenant à des particuliers ou à des sociétés dans le cadre de la vaste campagne anti-corruption lancée samedi dans le royaume, rapporte Reuters mardi de sources bancaires et juridiques. Des dizaines de membres de la famille royale, des responsables politiques et des hommes d’affaires ont été arrêtés dans le cadre de cette purge. Ils sont soupçonnés de blanchiment d’argent, de corruption, d’extorsion de fonds et d’abus de pouvoir.
«L’alarme sonne déjà», a averti le président de la principale organisation patronale britannique devant un parterre de chefs d’entreprises réunis hier pour la conférence annuelle de la CBI (Confederation of British Industry) à Londres. «Pour 10% des entreprises, l’alarme sonne déjà et elles ont commencé à déplacer des effectifs ou à ralentir le recrutement», souligne Paul Drechsler, président du CBI. «Sans un accord de transition, lors du sommet de Bruxelles en mars avec les responsables européens, 60% des entreprises auront fait de même. L’heure tourne.» D’après une étude publiée hier par le CIPS, institut spécialisé dans les chaînes de valeur, près des deux-tiers des entreprises européennes utilisant des sous-traitants britanniques envisagent de modifier leur approvisionnement, de même que 40% des entreprises britanniques faisant appel à des sous-traitants européens.
Près de 50 banques ont approché les autorités de supervision de la zone euro pour s’informer sur la façon de transférer des opérations hors du Royaume-Uni après la sortie du pays de l’Union européenne, a déclaré hier Danièle Nouy, chargée de la supervision bancaire au sein de la BCE. Elle a dit à une réunion de l’Eurogroupe que plusieurs grandes banques qui opèrent dans la zone euro depuis Londres avançaient dans leurs plans de secours et que certaines avaient déjà demandé des licences en zone euro, a rapporté à Reuters un responsable européen qui assistait à la réunion.