Les actualités et l’analyse du secteur pétrolier, son marché, ses prix (Brent, WTI), ses acteurs institutionnels (OPEP, AIE, EIA) et ses entreprises (BP, Chevron, Eni, Exxonmobil, Shell, TotalEnergies). De l’exploration-production de pétrole (onshore, offshore, schiste) à la distribution en passant par le raffinage.
Les pays pétroliers du Golfe membres de l’Opep continueront de respecter en juillet l’accord d’encadrement de la production pétrolière en vigueur depuis le 1er janvier et qui expire fin juin, selon Reuters, qui cite des sources de l’Opep. Ce sera le cas pour l’Arabie saoudite, dont la production de juin sera proche de celle de mai, soit 9,67 millions de barils par jour (bpj). Le Koweït et les Emirats arabes unis (EAU) n’augmenteront pas non plus leur production en juillet. La Russie ne s’est pas encore exprimée. L’accord conclu par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et d’autres pays producteurs, l’alliance Opep+, prévoit une production combinée de 1,2 million de bpj au premier semestre. L’Opep tiendra sa réunion à Vienne le 1er juillet.
Les pays pétroliers du Golfe membres de l’Opep continueront de respecter en juillet l’accord d’encadrement de la production pétrolière en vigueur depuis le 1er janvier et qui expire fin juin, selon Reuters, qui cite des sources de l’Opep. Ce sera en particulier le cas pour l’Arabie saoudite, dont la production de juin sera proche de celle de mai, soit 9,67 millions de barils par jour (bpj) et qui respectera en juillet les obligations définies par le pacte conclu l’an dernier, ont expliqué les sources. Elle plafonne ses extractions sous le quota officiel de 10,3 millions de bpj.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et d’autres producteurs, la Russie en particulier, discutent d’un accord de coopération à long terme qui pourrait être bientôt signé, rapporte le Nikkei, citant le ministre de l’Energie russe Alexandre Novak. Cet accord vise à prolonger, au moins jusqu’à la fin de l’année, l’accord signé avec les pays regroupés sous l’appellation Opep+ depuis le 1er janvier afin de réduire jusqu’à fin juin la production de 1,2 million de barils par jour (bpj) afin de soutenir les cours.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et d’autres producteurs, la Russie en particulier, discutent d’un accord de coopération à long terme qui pourrait être bientôt signé, rapporte le Nikkei, citant le ministre de l’Energie russe Alexandre Novak, pour qui le déplacement à début juillet de la prochaine réunion de l’organisation est pratiquement acquise. Cet accord vise à prolonger, au moins jusqu’à la fin de l’année, l’accord signé avec les pays regroupés sous l’appellation Opep+ depuis le 1er janvier afin de réduire jusqu’à fin juin la production de 1,2 million de barils par jour (bpj) afin de soutenir les cours.
Même si les tensions dans le détroit d'Ormuz ont fait rebondir les cours du pétrole jeudi, l'Opep se montre plus pessimiste pour la demande mondiale d'or noir.
Deux pétroliers ont été attaqués jeudi en mer d’Oman près du détroit d’Ormuz, un mois après un incident similaire, ont fait savoir leurs compagnies, ce qui a provoqué une flambée de 4% des cours du pétrole. L’un des deux pétroliers évacués par leurs équipages, le Front Altair, a coulé selon l’agence de presse iranienne Irna, alors que ses cuves contiennent 75.000 tonnes de naphte, un hydrocarbure inflammable. Selon son armateur, le taiwanais CPC, il semblait « avoir été touché par une torpille ». La firme singapourienne BSM Ship Management a quant à elle annoncé que le Kokuka Courageous a également été la cible d’une « attaque présumée », mais n’a pas été endommagé. La flotte américaine basée à Bahreïn avait reçu deux appels de détresse ce jeudi matin.
Les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) seraient proches d’une reconduction des accords visant à réduire les pompages pour soutenir les prix, a déclaré mardi le ministre de l’Energie des Emirats arabes unis, Suhail bin Mohammed al Mazroui. L’Opep, la Russie et d’autres producteurs s’étaient entendus pour réduire leur production cumulée de 1,2 million de barils par jour (bpj) depuis le 1er janvier et pour six mois. Dans son rapport mensuel, l’agence américaine d’information sur l'énergie (EIA) a réduit sa prévision de croissance de la demande mondiale de pétrole, à 1,22 million de bpj cette année, soit 160.000 bpj de moins que dans ses précédentes prévisions.
La société de gestion allemande Acatis Investment a lancé ce 12 juin la commercialisation d’un fonds actions Asie non-benchmarké. BaptiséACATIS Qilin Marco Polo Asien, le fonds est co-géré avec la sociétéQilin Capital, qui fournira la recherche sur laquelle se basera l’allocation d’actifs du fonds. Acatis Investment, compte sur ce partenariat pour renforcer son expertise sur les actions chinoises. Qilin Capital dispose de bureaux à Shanghai et travaille régulièrement avec l’université chinoise Tsinhua.
Les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) seraient proches d’une reconduction des accords visant à réduire les pompages pour soutenir les prix, a déclaré mardi le ministre de l’Energie des Emirats arabes unis, Suhail bin Mohammed al Mazroui, en marge d’un forum économique à Montréal. En raison des stocks existants, ces accords devraient rester en place ou être prolongés « au moins jusqu'à la fin de l’année ».
Les pays signataires d’un accord d’encadrement de la production pétrolière en vigueur depuis le début de l’année parviendront à une décision concertée sur l’avenir de ce pacte lorsqu’il arrivera à expiration fin juin, a déclaré Pavel Sorokine, le vice-ministre de l’Energie russe. La décision sur l’avenir de l’accord dépendra de l'état du marché pétrolier et de son éventuel équilibre, une situation qui devrait être plus claire lorsque s’ouvrira le sommet du Groupe des Vingt (G20) à Osaka, au Japon, fin juin, a observé le vice-ministre.
Royal Dutch Shell a annoncé mardi prévoir de verser au moins 125 milliards de dollars (111 milliards d’euros) à ses actionnaires entre 2021 et 2025, par le biais de dividendes et de rachats d’actions. Cette nouvelle projection de rémunération des actionnaires est supérieure aux 90 milliards de dollars environ que le groupe prévoit de distribuer au cours de la période qui se terminera en 2020.
Le marché du pétrole devrait s'équilibrer vers la fin de l’année avec le recul des stocks mondiaux et le maintien d’une demande forte, a déclaré à Reuters le ministre koweïtien du Pétrole. Il reste néanmoins des incertitudes sur la croissance de la demande, en raison de l’impact des tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine sur l'économie mondiale, a dit Khaled al Fadhel, qui a évoqué également le fait que la production de pétrole de schiste continuait d’augmenter outre-Atlantique.
Le marché du pétrole devrait s'équilibrer vers la fin de l’année avec le recul des stocks mondiaux et le maintien d’une demande forte, a déclaré aujourd’hui à Reuters le ministre koweïtien du Pétrole. Il reste néanmoins des incertitudes concernant la croissance de la demande en raison des craintes de l’impact des tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine sur l'économie mondiale, a dit Khaled al Fadhel, qui a évoqué également le fait que la production de pétrole de schiste continuait d’augmenter outre-Atlantique.
Total cherche à vendre environ un tiers de sa participation dans le gisement pétrolier kazakh Kashagan, en mer Caspienne, afin de lever jusqu'à 4 milliards de dollars (3,5 milliards d’euros), selon Reuters. Le groupe français détient une participation de 16,8% dans ce gisement, l’un des plus importants au monde avec une production d’environ 400.000 barils par jour (bpj). Les sources citées par Reuters valorisent les parts du pétrolier français à 9 milliards de dollars. Le groupe a déjà discuté avec une compagnie pétrolière nationale chinoise sur une cession de ses parts au cours des derniers mois, mais les deux groupes ne sont pas parvenus à un accord sur le prix. «Total n’a pas de processus de vente en cours pour sa participation dans Kashagan» a réagi la compagnie.
Total cherche à vendre une partie de sa participation dans le gisement pétrolier kazakh Kashagan, en mer Caspienne, afin de lever jusqu'à 4 milliards de dollars (3,5 milliards d’euros), a appris vendredi Reuters de quatre sources bancaires. Le groupe français détient une participation de 16,8% dans ce gisement, l’un des plus importants au monde avec une production d’environ 400.000 barils par jour (bpj). Total souhaite céder environ un tiers de sa participation, selon les sources, qui valorisent la totalité de la part du pétrolier français à 9 milliards de dollars.
Des militants de Greenpeace bloquent ce matin l’accès au siège de British Petroleum (BP) à Londres, demandant l’arrêt de toutes les nouvelles missions d’exploration de gisements pétroliers ou gaziers. Les militants, qui se sont rassemblés devant le siège de BP à St James’ Square, ont installé des conteneurs bloquant les accès au bâtiment. Plusieurs se sont hissés sur le toit de l’immeuble à l’aide de cordes. «BP alimente une urgence climatique qui menace des millions de vie et l’avenir du monde vivant», a expliqué Paul Morozzo, l’un des militants écologistes.
Le pétrole montait d’environ 1,3% ce matin après que l’Opep+ a annoncé vouloir probablement maintenir les baisses de la production qui ont permis de soutenir les prix cette année, et alors que la tension continue de croître au Moyen-Orient, notamment avec l’Iran. Ainsi, le baril de Brent progressait à 73,19 dollars le baril, après avoir touché 73,40 dollars, un plus haut niveau depuis le 26 avril, et le baril de WTI s’affichait à 63,61 dollars le baril, après avoir atteint 63,81 dollars, plus haut niveau depuis le 1er mai.