Toute l'actualité de l'entreprise dirigée par Elon Musk, valorisée plusieurs centaines de milliards de dollars en Bourse et spécialisée dans les véhicules électriques.
Les actualités et l’analyse du secteur pétrolier, son marché, ses prix (Brent, WTI), ses acteurs institutionnels (OPEP, AIE, EIA) et ses entreprises (BP, Chevron, Eni, Exxonmobil, Shell, TotalEnergies). De l’exploration-production de pétrole (onshore, offshore, schiste) à la distribution en passant par le raffinage.
Le gouvernement américain a levé en fin de semaine dernière une partie des sanctions frappant le Venezuela: Chevron est désormais autorisé, pour une période de six mois, à exporter le brut qu’il produira dans le pays, même la société a toutefois interdiction d’exporter sa production ailleurs qu’aux Etats-Unis. Avant que les sanctions ne soient imposées, la coentreprise entre Chevron et l’entreprise d’Etat PdVSA extrayait 200.000 barils par jour, mais atteindre ce niveau de production exigera du temps et des investissements.
Vendredi, le gouvernement américain a levé une partie des sanctions frappant le Venezuela: Chevron est autorisé, pour une période de six mois, à exporter le brut qu’il produira dans le pays, même la société a toutefois interdiction d’exporter sa production ailleurs qu’aux Etats-Unis. Avant que les sanctions ne soient imposées, la coentreprise entre Chevron et l’entreprise d’Etat PdVSA extrayait 200.000 barils par jour, mais atteindre ce niveau de production exigera du temps et des investissements.
Le pétrole accuse le coup de la reprise du Covid-19 en Chine. Le 25 novembre, le nombre de nouveaux cas, 26.300 cas positifs, approchait son plus haut atteint en avril 2022. Le Brent chutait vendredi de 11,9% par rapport à son pic atteint le 4 novembre, à 86,9 dollars en début de journée. Le WTI tombait lui aussi, à 79,6 dollars, une baisse de 13% depuis son pic. Les mesures sanitaires chinoises vont peser sur la mobilité et la consommation de pétrole. Celle-ci est déjà bien écornée : par rapport à 2021, la consommation chinoise est en baisse de 500.000 barils par jours (bpj), à 8,9 millions de bpj sur l’année. Elle peut toutefois s’éroder davantage : entre mai et juillet, lorsque les mesures sanitaires étaient les plus strictes, la consommation est tombée à 7,5 millions de bpj. Le sentiment reste résolument baissier. La courbe des contrats à terme, pour le Brent comme le WTI, est en situation de report (contango) : le prix du contrat à échéance la plus proche est inférieur au prix du contrat à échéance plus lointaine, ce qui signale des pressions moindres pour livrer rapidement du brut.
Le pétrole accuse le coup de la reprise du Covid en Chine. Le 25 novembre, le nombre de nouveaux cas, 26.300 cas positifs, approchait son plus haut atteint en avril 2022. Le Brent est en chute de 11,9% par rapport à son pic atteint le 4 novembre, à 86,9 dollars en début de journée. Le WTI tombait lui aussi, à 79,6 dollars, une baisse de 13% depuis son pic.
Le gouvernement du Ghana veut importer des produits pétroliers contre de l’or, dont le pays est un producteur, plutôt que contre du dollar. Cette mesure vise à limiter les pressions sur les réserves de change, qui à leur tour mettent la devise locale sous pression et renchérissent les importations. Si la mesure est mise en œuvre, elle «modifiera fondamentalement notre balance des paiements et réduira considérablement la dépréciation persistante de la monnaie», a déclaré jeudi le gouvernement ghanéen. A la mi-2022, l’Arabie Saoudite avait réfléchit vendre du pétrole contre du yuan, mais n’a, pour le moment, pas appliqué l’idée.
Le gouvernement du Ghana veut importer des produits pétroliers contre de l’or, dont le pays est un producteur, plutôt que contre du dollar. Cette mesure vise à limiter les pressions sur les réserves de change, qui à leur tour mettent la devise locale sous pression et renchérissent les importations. Si la mesure est mise en œuvre, elle « modifiera fondamentalement notre balance des paiements et réduira considérablement la dépréciation persistante de la monnaie », selon le gouvernement ghanéen. Mi 2022, l’Arabie Saoudite avait réfléchit vendre du pétrole contre du yuan, mais n’a, pour le moment, pas appliqué l’idée.
Les prix du pétrole ont chuté mercredi alors que le G7 envisageait de mettre en palce un plafond sur les prix du pétrole russe allant de 65 à 70 dollars par baril. Le brut russe se négocie autour de 62 à 68 dollars le baril, en fonction de la destination, et ce plafond, qui rendrait la vente de pétrole toujours profitable pour la Russie, permettrait d'éviter une pénurie en 2023. Les perspectives économiques de l’OCDE, qui prévoient un ralentissement de l’expansion économique mondiale l’année prochaine, ont également pesé sur les prix: le Brent perdait 3,7%, à 85,1 dollars le baril en fin de journée, contre une baisse de 3,8%, à 77,8 dollars le baril, pour le WTI.
Les prix du pétrole ont chuté mercredi alors que le G7 envisageait de mettre en palce un plafond sur les prix du pétrole russe allant de 65 à 70 dollars par baril. Le brut russe se négocie autour de 62 à 68 dollars le baril, en fonction de la destination, et ce plafond, qui rendrait la vente de pétrole toujours profitable pour la Russie, permettrait d'éviter une pénurie en 2023. Les perspectives économiques de l’OCDE, qui prévoient un ralentissement de l’expansion économique mondiale l’année prochaine, ont également pesé sur les prix: le Brent perdait 3,7%, à 85,1 dollars le baril en fin de journée, contre une baisse de 3,8%, à 77,8 dollars le baril, pour le WTI.
Les investisseurs scrutent les signes d’un ralentissement de la demande pour le pétrole, tandis que les perspectives des métaux industriels se dégradent.
Les cours du pétrole russe sont tombés à 65,1 dollars mardi, en milieu de matinée, en baisse de 11,7% depuis début novembre et à son plus bas niveau depuis août 2021. Les perspectives de sanctions occidentales, qui doivent interdire les exportations de pétrole russe à destination de l’Union Européenne à partir du 5 décembre et plafonner le prix du baril entre 40 et 60 dollars, pèsent sur la matière première. La Russie a réitéré qu’elle ne vendrait pas son pétrole si les prix sont plafonnés, mais manque de moyens pour réorienter ses exportations début décembre.
Les craintes sur l’économie mondiale et un potentiel changement de braquet de l’organisation des pays exportateurs pèsent fortement sur le cours de l’or noir.
Le constructeur de tubes a essuyé une lourde chute en Bourse après la publication de chiffres trimestriels décevants. Les avancées du plan de restructuration ne permettent pas de compenser.
Les craintes sur l’économie mondiale et un potentiel changement de braquet de l’organisation des pays exportateurs pèsent fortement sur le cours de l’or noir.
Les comptes du parapétrolier sont ressortis inférieurs aux attentes au troisième trimestre et la dette s'est creusée. L'action Vallourec baisse de plus de 6% ce lundi.
Le groupe pétrolier a établi la semaine dernière un nouveau record boursier de plus de 15 ans alors que la polémique sur la taxation des superprofits ne s'éteint pas.
Les contrats à terme sur le brut Brent sont remontés de 92 dollars jusqu’à 96 dollars/baril entre mardi et mercredi soir, après qu’un rapport de l’industrie a indiqué mardi une forte baisse des stocks de brut américain, signalant que la demande reste solide malgré les inquiétudes concernant la croissance mondiale. Les données de l’American Petroleum Institute (API) ont en effet montré que les stocks de brut américains ont diminué d’environ 6,5 millions de barils la semaine dernière, bien davantage que les prévisions qui anticipaient plutôt une accumulation de 400.000 barils. Un article non vérifié sur les réseaux sociaux indiquant que les autorités chinoises pourraient abandonner leur politique de Covid-zéro malgré le démenti du porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a aussi pu jouer.
Les contrats à terme sur le brut Brent sont remontés de 92 dollars jusqu’à 95,75 dollars/baril entre mardi et mercredi matin, avant de redescendre à 94,20 dollars vers midi, après qu’un rapport de l’industrie a indiqué mardi une forte baisse des stocks de brut américain, signalant que la demande reste solide malgré les inquiétudes concernant la croissance mondiale.