Nos articles d’actualité et d’analyse sur les économies et marchés (croissance, politique monétaire, indices boursiers) des pays dits émergents, soit la Chine, l’Inde, le Brésil, la Russie, l’Afrique du Sud, et des pays en voie de développement.
L’inflation a baissé pour la première fois en 18 mois en Turquie en novembre passant de 85,5% à 84,4% en rythme annuel, selon les données publiées lundi par l’institut statistique turc.
Le Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO) lance un appel d’offres qui a pour objet la création et la gestion d’un organisme de placements collectifs dédié investissant dans des actions cotées pour le compte du FGAO et divisé en deux lots distincts : -Lot n°1 : Actions cotées de l’Asie-Pacifique hors Japon intégrant des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Un seul gérant (gérant actif) gérera au départ le portefeuille. L’encours sous gestion indicatif de départ pour ce gérant s’élève à 125 millions d’euros. L’indice de référence est l’indice MDAPJ Index (code Bloomberg), à savoir le « MSCI Asia Pacific ex Japan EUR Net Index», non couvert en change. -Lot n°2 : Actions cotées du Japon intégrant des critères ESG. L’encours indicatif sera également de 125 millions d’euros, et l’indice de référence est le TOPIX Net Total Return (TPXNTR Index), converti en euros à 16 heures, heure de Londres, et non couvert en change. Le marché pour chacun des lots sera conclu avec un titulaire principal et un titulaire suppléant («stand-by»). Les offres sont attendues avant le 27 janvier 2023 à 12h00. Lire l’avis ici.
La Turquie et le Qatar sont dans la dernière ligne droite d’un accord de financement pouvant aller jusqu'à 10 milliards de dollars, avec un minimum de 8 milliards, dont jusqu'à 3 milliards de dollars seront fournis par Doha à Ankara d’ici à la fin de cette année, ont déclaré vendredi à Reuters plusieurs sources. Ce nouveau financement pourrait prendre la forme d’un swap, d’un eurobond ou de tout autre instrument. La banque centrale turque a déjà mis en place un accord de swap avec son homologue qatari qui a triplé à 15 milliards de dollars. Ce financement doit aider à renforcer des réserves de changes affaiblies par la politique peu orthodoxe du président Tayyip Erdogan consistant à poursuivre les baisses de taux d’intérêt et d’autres mesures de relance malgré la flambée de l’inflation et l’effondrement de la livre turque.
Le gouvernement ghanéen envisage une décote (haircut) de 30% sur les obligations étrangères et la suspension des paiements de taux d’intérêt en 2023 dans le cadre des efforts de restructuration de sa dette, a déclaré jeudi le vice-ministre des Finances John Kumah. Le ministère des Finances a précisé dans un communiqué qu’aucune décision n’avait été finalisée. Les détails de cette restructuration devraient être annoncés d’ici à la fin novembre.
La Turquie et le Qatar sont dans la dernière ligne droite d’un accord de financement pouvant aller jusqu'à 10 milliards de dollars, avec un minimum de 8 milliards, dont jusqu'à 3 milliards de dollars seront fournis par Doha à Ankara d’ici à la fin de cette année, ont déclaré à Reuters plusieurs sources.
La banque centrale de Turquie a réduit jeudi ses taux d’intérêt de 150 points de base pour les ramener à 9%, en indiquant qu’elle ne les abaissera pas davantage. La banque centrale s’est justifiée en invoquant ses craintes sur l’inflation, qui a atteint 85,5% sur un an en octobre. La faiblesse de la demande mondiale inquiète aussi l’institution. La banque centrale a rappelé qu’elle «continuerait à utiliser tous les instruments disponibles» jusqu'à ce que «des indicateurs forts indiquent une baisse permanente de l’inflation et que l’objectif de 5% à moyen terme soit atteint.»
La banque centrale de Turquie a réduit jeudi ses taux d’intérêt de 150 points de base pour les ramener à 9 %, en indiquant qu’elle ne les abaissera pas davantage. La banque centrale s’est justifiée en invoquant ses craintes sur l’inflation, qui a atteint 85,5 % sur un an en octobre. La faiblesse de la demande mondiale inquiète aussi l’institution. La banque centrale a rappelé qu’elle « continuerait à utiliser tous les instruments disponibles » jusqu'à ce que « des indicateurs forts indiquent une baisse permanente de l’inflation et que l’objectif de 5 % à moyen terme soit atteint. »
La banque centrale du Nigeria a relevé son taux d’intérêt de 100 points de base mardi, à 16,50 %. L’inflation annuelle a accéléré pour atteindre 21,09 % en octobre, en raison de la hausse des prix des denrées alimentaires et du diesel. Et l’économie ralentit : le PIB a augmenté de 3,5 % au deuxième trimestre de cette année, dernier chiffre disponible, contre 5 % à la même période de l’an dernier. La semaine dernière, le Fonds monétaire international a réduit les prévisions de croissance du Nigeria pour 2022, les ramenant de 3,4 % à 3 %, citant la baisse de la production pétrolière et l’impact des récentes inondations. La situation économique pèsera lors des prochaines élections, prévues en février.
La banque centrale du Nigeria a relevé son taux d’intérêt de 100 points de base mardi, à 16,50 %. L’inflation annuelle a accéléré pour atteindre 21,09 % en octobre, en raison de la hausse des prix des denrées alimentaires et du diesel. Et l’économie ralentit : le PIB a augmenté de 3,5 % au deuxième trimestre de cette année, dernier chiffre disponible, contre 5 % à la même période l’année dernière. La semaine dernière, le Fonds monétaire international a réduit les prévisions de croissance du Nigeria pour 2022, les ramenant de 3,4 % à 3 %, citant la baisse de la production pétrolière et l’impact des récentes inondations. La situation économique pèsera lors des prochaines élections, prévues en février.
Le gouvernement équatorien étudie un éventuel nouvel accord avec le Fonds monétaire international (FMI) dans le cadre de ses plans de financement pour 2023, qui pourraient être complété par des émissions d’obligations sur les marchés internationaux, a déclaré à Reuters le ministre de l’Economie Pablo Arosemena. L'Équateur a conclu un accord de 27 mois avec le FMI pour 6,5 milliards de dollars en septembre 2020, qui a été renégocié par le président Guillermo Lasso et se termine à la fin de cette année. «Nous avons déjà commencé à parler de la possibilité d’avoir une sorte de nouvelle collaboration (avec le FMI) l’année prochaine», a déclaré le ministre dans une interview mardi soir, ajoutant que le gouvernement équatorien analysera la forme du programme qu’il accepte avec le fonds au premier trimestre de l’année prochaine.
Le gouvernement équatorien étudie un éventuel nouvel accord avec le Fonds monétaire international (FMI) dans le cadre de ses plans de financement pour 2023, qui pourraient être complété par des émissions d’obligations sur les marchés internationaux, a déclaré à Reuters le ministre de l’Economie Pablo Arosemena.
HSBC Asset Management vient d’annoncer le lancement d’un fonds obligataire dénommé HGIF Global Emerging Markets Corporate Sustainable Bond fund. Ce véhicule vise à investir dans des obligations d’'entreprises domiciliées dans des marchés émergents, ayant une contribution aux Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations unies. Ce fonds intégrera des objectifs de durabilité lors de l’analyse d’entreprise. Il désinvestira des entreprises qui ne sont pas en mesure d’améliorer la durabilité de leurs activités conformément aux objectifs fixés. Il est classifié article 9 sous le règlement européen, Sustainable Finance Disclosure Regulation (SFDR). Le fonds sera supervisé par L. Bryan Carter, directeur de la dette émergente et géré par Caroline Keany et Julio Obeso. Ce véhicule a déjà attiré l’intérêt des investisseurs institutionnels. Le fonds de pension finlandaise Varma y a investi 50 millions de dollars. HSBC AM comptait 574 milliards de dollars d’encours sous gestion au 30 septembre 2022.