Les actualités et l’analyse du secteur de l’énergie (pétrole, gaz, électricité, charbon, renouvelables, nucléaire, hydrogène), son marché, ses prix, sa géopolitique et son influence sur le monde économique. Retrouvez aussi nos articles sur les grandes entreprises énergétiques (Engie, EDF, TotalEnergies, Shell, BP, Exxonmobil), leur modèle économique, leur cours de Bourse, leurs opérations de financement.
La Chine et le Japon ont lancé un canal d'échange d’ETF listés sur dans leurs pays respectifs, a appris Asia Assets. Ce canal, nommé China-Japan ETF Connectivity, doit permettre aux investisseurs d’investisseurs dans des ETF répliquant la performance du Shanghai Stock Exchange et du Tokyo Stock Exchange. Huit ETF sont d’ores et déjà disponibles. En Chine continentale, les fournisseurs d’ETF sur le Japon sont China Asset Management Co, E Fund Management, China Southern Asset Management et HuaAn Fund Management. Respectivement, les fournisseurs japonais d’ETF sur la Chine sont Mitsubishi UFJ Kokusai Asset Management, Nikko Asset Management, Asset Management One, et Nomura Asset Management.
Les produits financiers générés par les caisses de retraite des anciens sénateurs et du personnel du Sénat sont insuffisants pour couvrir leur déficit technique.
ESG Si l’on en juge par l’intérêt que suscitent ses acteurs spécialisés, l’analyse extra-financière ne cesse de prendre du galon. Après S&P croquant Trucost, Morningstar prenant 40 % de Sustainalytics, ou, ce printemps, Moody’s une part majoritaire de Vigeo Eiris, le London Stock Exchange a annoncé mettre la main sur Beyond Ratings. Qui est, selon l’acquéreur, « un fournisseur de données environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) très apprécié des investisseurs en titres à revenu fixe ». Fondée en 2014, Beyond Ratings a récemment obtenu l’agrément de l’Esma, l’autorité européenne des marchés financiers, pour la notation crédit sur les Etats, collectivités locales et institutions financières à mandat public.
L’opérateur boursier paneuropéen a signé mardi une émission obligataire de 500 millions d’euros à 10 ans. Les titres ont été placés à un spread de 92 points de base au-dessus des mid-swaps. Le livre d’ordres a atteint 3,4 milliards d’euros, de sources de marché. CA CIB a dirigé l’opération, avec SG CIB, ING et MUFG. Le produit du placement permettra à Euronext de financer le rachat de la participation qu’il ne détient pas encore au capital de la Bourse d’Oslo. Euronext a annoncé hier détenir 61% du capital de sa cible. Il a annoncé le lancement le 31 mai d’une offre inconditionnelle sur les actions encore en circulation d’Oslo Bors. La période d’acceptation de cette nouvelle offre court jusqu’au 28 juin.
L’opérateur boursier paneuropéen Euronext a signé mardi une émission obligataire de 500 millions d’euros à 10 ans. Les titres ont été placés à un spread de 92 points de base au-dessus des mid-swaps, contre une indication initiale de 115 à 120 points de base, resserrée à 95 pb. Le livre d’ordres a atteint 3,4 milliards d’euros, de sources de marché. CA CIB a dirigé l’opération, avec SG CIB, ING et MUFG. Les titres sont notés A- par S&P, qui avait dégradé d’un cran la note du groupe le 31 mai.
Les actionnaires d’Euronext ont approuvé jeudi lors en assemblée générale l’achat d’une majorité du capital de la Bourse d’Oslo, a indiqué l’opérateur boursier. «Les actionnaires ont voté à l’unanimité en faveur de l’acquisition par Euronext de jusqu'à 100% d’Oslo Bors VPS», a précisé le groupe dans un communiqué. Après le feu vert du gouvernement norvégien en début de semaine, l’aval des actionnaires d’Euronext était la dernière condition essentielle à cet achat. Euronext dispose d’engagements de souscription représentant environ 53% du capital d’Oslo Bors VPS et avait indiqué qu’il était prêt à acheter jusqu'à 100%. Son OPA, qui se terminera le 31 mai, valorise la société à environ 700 millions d’euros.
Les actionnaires d’Euronext ont approuvé jeudi lors d’une assemblée générale le rachat d’une majorité du capital e la Bourse d’Oslo, a indiqué l’opérateur des bourses de Paris, Bruxelles, Amsterdam, Lisbonne et Dublin.
Le ministère norvégien des Finances doit décider si la prise de contrôle d’Oslo Bors se fera à la majorité simple, ce qui signerait le succès d’Euronext, ou aux deux tiers.
L'opérateur a déprécié son investissement dans la plate-forme de trading obligataire, qui a cessé ses activités le 26 avril, et dans la fintech Algomi.
Grâce à la loi Pacte, votée vendredi 12 avril à l’Assemblée nationale, les assureurs sont en mesure d’intégrer les cryptomonnaies dans les contrats d’assurance-vie, explique le quotidien Les Echos. Joël Guiraud, député de La République en Marche et rapporteur du budget, a précisé au journalque les assureurs pourront proposer des produits basés sur des crypto-actifs via des fonds professionnels spécialisés. Deux texte de la loi Pacte permettent cette évolution, à savoir l’article 21 qui modifiele Code des assurances pour permettre de placer des fonds professionnels spécialisés (FPS) en unités de compte d’assurance-vie, ainsi que l’article 26 bis qui modifie les dispositions du Code monétaire et financier relatives aux actifs éligibles à l’investissement par des FPS et permet l’intégration dans un FPS d’un bien inscritdans un dispositif d’enregistrement électronique tel que la blockchain.
Euronext et Nasdaq seraient tous deux des propriétaires «aptes et compétents» d’Oslo Bors, estime l’Autorité de supervision financière norvégienne dans une recommandation transmise au ministère des Finances du pays. Les deux groupes sont à la lutte depuis fin janvier pour mettre la main sur Oslo Bors, l’un des derniers marchés boursiers indépendants du nord de l’Europe. Le ministère a jusqu’au 14 mai pour faire état de sa décision, le délai pouvant être prolongé de 20 jours ouvrables. Euronext affirme avoir déjà sécurisé 53,1% du capital d’Oslo Bors à la date du 1er avril, via 8,1% de titres directement en sa possession et des engagements irrévocables d’actionnaires portant sur 45% du capital.
Euronext et Nasdaq seraient tous deux des propriétaires « aptes et compétents » d’Oslo Bors, estime l’Autorité de supervision financière norvégienne dans une recommandation transmise au ministère des Finances du pays. Les deux groupes sont à la lutte depuis fin janvier pour mettre la main sur Oslo Bors, l’un des derniers marchés boursiers indépendants du nord de l’Europe. Le conseil d’administration de ce dernier recommande la proposition du groupe américain qui détient la plupart des marchés actions de la région.
Euronext a enregistré un volume quotidien moyen de transactions de 7,72 milliards d’euros sur ses marchés au comptant en mars, selon un communiqué, en recul de 13% par rapport à mars 2018. Sur le premier trimestre 2019, le volume quotidien moyen traité par l’opérateur boursier sur ses marchés au comptant s'élève à 7,24 milliards d’euros, en repli de 16,9% comparé à la même période de 2018. Le volume quotidien moyen de transactions sur les fonds indiciels cotés (ETF) atteint 215 millions d’euros, en repli de 30,1% sur un an. Sur les dérivés, les transactions sont elles en hausse de 1,7% sur un an en mars.
La tendance se confirme : le rebond des marchés d’actions au premier trimestre s’est fait dans de faibles volumes. Euronext a enregistré un volume quotidien moyen de transactions de 7,72 milliards d’euros sur ses marchés au comptant en mars, selon un communiqué, en recul de 13% par rapport à mars 2018. Sur l’ensemble du premier trimestre de 2019, le volume quotidien moyen traité par l’opérateur boursier sur ses marchés au comptant s'élève à 7,24 milliards d’euros, en repli de 16,9% comparé à la même période de 2018.
Une modernisation attendue depuis longtemps. Le mécanisme européen de stabilité (ESM) envisage de lancer une nouvelle plateforme d'émission pour les obligations des émetteurs publics ainsi que pour les institutions financières en Europe, a annoncé, dans un entretien au Börsen-Zeitung, Kalin Anev Janse, membre du comité de direction de l’ESM en charge des activités de refinancement du dispositif de stabilité européen. «Cette nouvelle plateforme va améliorer l’efficience du marché. Et cela dans l’intérêt de tous», a déclaré Kalin Anev Janse. La nouvelle plateforme se présente comme une solution fintech innovante sur laquelle pourront intervenir les émetteurs supranationaux, les collectivités territoriales, les agences et les institutions financières. Le système, qui prévoit une liaison avec la Banque centrale européenne, couvre la totalité du procession d'émission obligataire, de l’annonce de l'émission jusqu'à son règlement. La nouvelle plateforme, une composante essentielle de l’Union des marchés de capitaux, doit rendre le marché primaire obligataire plus transparent, plus stable et plus liquide. " pour l’essentiel, le nouveau système présente trois avantages. Le système est neutre, c’est-à-dire qu’il n’affiche pas de préférence pour tel ou tel marché national. Ensuite, le système a une portée paneuropéenne pour les émetteurs et une portée internationale pour les investisseurs», explique la responsable qui ajoute que la nouvelle plateforme va favoriser une harmonisation du marché obligataire européen. Les travaux de préparation pour cette nouvelle plateforme devraient encore occuper au moins toute l’année 2020, a précisé la responsable.