Toute l’actualité du secteur bancaire – banque de détail, banque d’investissement, réglementation – et de ses principaux acteurs, qu’ils soient capitalistes (BNP Paribas, la Société Générale), étrangers (JPMorgan, Bank of America, Goldman Sachs, Credit Suisse, Deutsche Bank, HSCB), mutualistes (le Crédit Agricole, Crédit Mutuel, BPCE) ou même publics (la Banque Postale). Nos analyses des grandes tendances du domaine.
Toute l’actualité des offres publiques d’achat ou d’échange concernant les grandes entreprises françaises et internationales : conditions des opérations, intérêt des actionnaires, calendrier, résultats des offres, impact sur la société prédatrice.
Le gestionnaire d’actifs parisien critique les conditions de l’offre sur la plateforme de livraison de repas. Il juge le prix proposé de 20,3 euros par action bien trop décoté face à une valeur intrinsèque de la cible dont il détient 2% du capital.
Quelques mois après avoir essuyé une fin de non-recevoir des dirigeants du laboratoire pharmaceutique, la société de capital-investissement aurait repris les discussions sur la base d’une valorisation de 7 milliards d’euros.
Le géant italien de la télévision MFE compte lancer une OPA sur l’allemand ProSiebenSat.1 dont il détient déjà 29,99%. Le prix proposé par le groupe contrôlé par la famille Berlusconi se situe au niveau du minimum légal.
Dans la dernière mouture de La Lettre Vernimmen, Pascal Quiry et Yann Le Fur suggèrent de donner à l’Autorité des marchés financiers le pouvoir de désigner l’expert indépendant, par tirage au sort, ou selon le choix d’un comité d’experts en évaluation.
La banque italienne doit encore obtenir plusieurs autorisations pour convertir en titres les 18% du capital de sa concurrente détenus via des dérivés. La perspective d’une fusion entre les deux groupes est par ailleurs repoussée au-delà de 2025.
Le premier actionnaire du verrier, la holding de la famille Moreira Salles, propose 30 euros par action et n'a pas l'intention de retirer le groupe de la cote ni de modifier sa stratégie.
La plateforme de digitalisation des directions financières, cotée depuis 1997, quittera la Bourse parisienne ce 3 mars. Son rachat amical par Bridgepoint lui permettra de structurer sa croissance interne et de financer ses acquisitions dans de bonnes conditions.
Seven & i a indiqué que le projet de rachat de l’entreprise par ses dirigeants (MBO) était abandonné, laissant la porte ouverte au géant québécois de la distribution. Ce dernier a déjà fait, jusqu'ici sans succès, deux offres de rachat au groupe japonais.
Les spécialistes italien et norvégien des services pétroliers annoncent un rapprochement qui ressemble beaucoup à celui mis en œuvre en 2017 par Technip et FMC Technologies.
Le groupe d’investissement offre 4,1 milliards d’euros en cash, soit une prime de 63%, pour convaincre sa cible. De quoi se hisser au quatrième rang mondial des plateformes de livraison de repas.
Les groupes italien et norvégien ont dévoilé une fusion entre égaux même si le siège social sera situé en Milan. Les revenus du nouvel ensemble approcheront de 20 milliards d’euros.
La société belge d’investissement GBL envisagerait de s’allier à des fonds pour racheter les actions du spécialiste français de la valorisation des minéraux qu’il ne détient pas.
Bolloré, Esker, Neoen : le travail des experts indépendants a été critiqué dans de récentes opérations boursières. Rare exception dans le monde, les rapports d’expertise en France, très développés, viennent informer et protéger les actionnaires minoritaires, plus que préserver la responsabilité des administrateurs.
La banque italienne a obtenu des engagements d’actionnaires représentant 21% du capital de la société de gestion d’actifs. Elle propose désormais un prix de 7 euros par action.
Maryse Aulagnon poursuit son combat, estimant que l’augmentation de capital de 600 millions d’euros de la foncière a été réalisée au seul bénéfice du groupe d'assurance. L’AMF doit se prononcer prochainement sur la dérogation au dépôt d’une OPA sur STE.
La biopharmaceutique avait levé 10 millions d’euros lors de sa cotation sur Alternext en avril 2010. Elle a depuis perdu la quasi-totalité de sa valeur après avoir frôlé la liquidation.
Le groupe brésilien BWGI, qui détient près de 29% du verrier français, réfléchit à prendre le contrôle de la société. Il n'envisage pas de la retirer de la cote parisienne.