Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Le spécialiste des échanges non transparents d'ordres de grande taille (LIS) sur les actions européennes a lancé SuperBlock, un nouvel outil d’agrégation des intérêts.
Le spécialiste des cosmétiques fait l’objet d’une offre d’achat de son principal actionnaire, Reinold Geiger, au prix de 34 dollars hongkongais par action, ce qui le valorise plus de 6 milliards d'euros.
La baisse récente du marché est liée aux tensions au Moyen-Orient ainsi qu’au réajustement des anticipations de taux, mais aussi à la vente par les particuliers d’une partie de leurs actions, notamment technologiques, pour payer les impôts. Un effet récurrent en avril.
Atos, Clariane et Vallourec occupent le podium des valeurs «shortées» à Paris. Le groupe de services numériques a remplacé un autre groupe en difficulté, Casino, à la tête de ce palmarès.
Lors du TradeTech Europe 2024 à Paris, les professionnels ont rappelé que, pour eux, la transparence n’est pas nécessairement synonyme d’efficacité et de liquidité.
Les écarts de performance des principales capitalisations de la technologie américaine se creusent. Mais l’environnement de taux et la crainte de déception sur les résultats commencent aussi à ébranler le concept.
L’initiative intervient alors que le régulateur américain examine la demande d’une start-up pour une Bourse en continu appelée 24 Exchange (24X). Les professionnels avancent les contraintes liées à la mondialisation des marchés. Rien n’assure que la liquidité y gagnerait beaucoup.
Les actions technologiques américaines ont soutenu la performance du fonds souverain norvégien qui reste toutefois légèrement en deçà de son indice de référence.
Au mois de mars, les marchés actions ont poursuivi leur progression. Les perspectives économiques sont demeurées favorables, avec quelques signes d'éclaircies en zone euro, où la confiance et les conditions de crédit se sont améliorées. Au fil des surprises économiques, le marché a ajusté progressivement ses attentes en terme de baisse de taux. Ainsi, les réunions des banques centrales, au cours desquelles la BCE et la Fed ont maintenu leurs taux inchangés et revu marginalement leurs projections économiques, auront eu un impact limité.
Les investisseurs n’attendaient qu’une étincelle pour initier une consolidation. Elle vient des menaces au Moyen-Orient, avec des craintes aussi sur les taux américains.
Après un début d’année en trombe, les marchés actions ont marqué le pas ces dernières semaines. Pour Roland Kaloyan, le responsable de la stratégie actions européennes chez Société Générale CIB, le seul fait nouveau est l'amélioration des indicateurs économiques aux Etats-Unis. Le risque désormais est celui d’une sortie du scénario «Boucle d'or».
De nombreux éléments indiquent qu'il est encore stratégiquement trop tôt pour se désinvestir des actions européennes et qu'il est toujours temps d'entrer sur les petites et moyennes valeurs.