Toute l'actualité du secteur de la construction, du BTP, des concessions d'infrastructures et des grandes entreprises actives dans le domaine (Vinci, Eiffage, LafargeHolcim etc.)
L’éditeur français de logiciels d’assurance Prima Solutions a annoncé hier l’acquisition de Tricast, qui vend des solutions d’analyse de données et algorithmes prédictifs dédiés au monde de l’assurance. Il s’agit de la première acquisition faite par Prima Solutions depuis son rachat par Carlyle, désormais finalisé. Les deux plates-formes logicielles seront fusionnées et les collaborateurs Tricast deviendront salariés de Prima Solutions, dirigés par l’équipe de direction actuelle.
L’éditeur français de logiciels d’assurance Prima Solutions, racheté début septembre par le fonds d’investissement américain Carlyle, a annoncé aujourd’hui l’acquisition de la société Tricast, qui vend des solutions d’analyse de données et algorithmes prédictifs dédiés au monde de l’assurance. Fondée en 2000 à Paris, elle accompagne près de cinquante clients en Europe, Amérique du Sud, au Moyen-Orient, et en Asie. Elle a réalisé en 2016 un chiffre d’affaires de 1,8 million d’euros, en baisse de 21% par rapport à l’année précédente, et une perte nette de 645.800 euros. Au 31 décembre, ses capitaux propres étaient négatifs à -531.000 euros.
CVC Capital Partners et Téthys Invest, la société d’investissement de la famille Bettencourt-Meyers, vont acheter auprès d’Astorg et de Montagu Private Equity une part majoritaire au capital de Sebia. Astorg et Montagu Private Equity avaient déjà cédé cet été 40% du capital de la société de diagnostics in-vitro à la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ). Les termes de la transaction ne sont pas communiqués. Cet été, une valorisation d’un peu plus de 2 milliards d’euros était évoquée.
Le groupe néerlandais d’embouteillage Refresco a annoncé hier avoir reçu une nouvelle offre de rachat, de 1,6 milliard d’euros, du fonds de capital-investissement français PAI Partners. Refresco, qui a rejeté en avril une première offre de 1,4 milliard d’euros de PAI, a dit que son conseil allait étudier «minutieusement» la nouvelle proposition même si celle-ci a été qualifiée de «non-sollicitée, indicative et conditionnelle». Refresco a précisé que cette nouvelle offre tient compte du projet de rachat des activités de Cott, transaction d’un montant de 1,07 milliard d’euros et qui devrait être finalisée à la fin de l’année.
Le groupe néerlandais d’embouteillage Refresco a annoncé mardi avoir reçu une nouvelle offre de rachat, de 1,6 milliard d’euros, du fonds de capital-investissement français PAI Partners. Refresco, qui a rejeté en avril une première offre de 1,4 milliard d’euros de PAI, a dit que son conseil allait étudier «minutieusement» la nouvelle proposition même si celle-ci a été qualifiée de «non-sollicitée, indicative et conditionnelle». PAI propose 19,75 euros par action Refresco pour la totalité des 81,2 millions de titres en circulation. Refresco a précisé que la nouvelle offre de PAI tient compte du projet de rachat des activités de Cott, transaction d’un montant de 1,07 milliard d’euros et qui devrait être finalisée à la fin de l’année.
La première tentative de vente du distributeur néerlandais avait échoué en 2010. Le fonds d'investissement relance le processus pour profiter du redressement de la société.
Hema, l’une des principales chaînes de magasins néerlandaises, a annoncé jeudi explorer diverses options stratégiques, y compris une possible vente. Le groupe est contrôlé depuis 2007 par le fonds d’investissement britannique Lion Capital. Reuters avait rapporté début août que Lion Capital avait mandaté Credit Suisse pour étudier la possibilité d’une vente de la chaîne, une introduction en Bourse étant une option secondaire. Hema a dégagé un excédent brut d’exploitation (Ebitda) de 24,8 millions d’euros au deuxième trimestre, en hausse de 13% sur un an.
Un an après son spin-off orchestré par Activa Capital au côté du management, la société d’habillement masculin vendu par catalogue et en ligne, qui compte une centaine de salariés à Paris, Evreux et Moscou, a refinancé sa dette grâce à sa croissance rapide. Le chiffre d’affaires est passé de 130 millions d’euros en 2015 à 141 millions en 2016 et l’Ebitda de 7 à 10 millions d’euros sur la période. La dette mezzanine accordée par Indigo Capital et les obligations souscrites auprès d’Activa Capital, Indigo Capital et Initiative & Finance ont été remboursées et remplacées par de la dette senior bancaire. La Caisse d’Epargne Normandie a rejoint le pool de banques initial. Le levier a progressé pour représenter 2 à 3 fois l’Ebitda. Atlas for Men souhaite augmenter la part de son activité numérique, de 30% aujourd’hui.
Les sociétés sous LBO (leveraged buy-out) surpassent leurs homologues à bien des égards, estime Moody’s, se basant sur une étude comparant 177 de ces entreprises à 151 sociétés sans effet de levier en zone EMEA. « Les entreprises sous LBO présentent souvent de plus importants revenus et cash-flows, une rentabilité accrue et une meilleure liquidité, en moyenne, que les autres sur un même niveau de notation », leur permettant de payer les intérêts liés à leur plus fort endettement, explique Gianmarco Migliavacca, analyste chez Moody’s. Le taux de marge d’exploitation médian des sociétés sous LBO de l’échantillon s’élève ainsi à 19,7% (contre 17,5% pour les autres), les fonds sélectionnant traditionnellement des sociétés rentables, souvent dans des marchés stables protégés par des barrières à l’entrée. En outre, les LBO se révèlent plus concentrés sur des secteurs tels que les services aux entreprises, moins volatils et cycliques avec de moindres besoins d’investissement en capital, relève l’agence de notation.
Oaktree Capital cherche un acheteur pour le fabricant de solutions de conditionnement pour les cosmétiques Axilone, indique Bloomberg. Les groupes chinois Citic Capital Holdings et FountainVest Partners auraient regardé le dossier, tout comme Bain Capital et la société AptarGroup. Ce dernier est un concurrent d’Axilone. Les offres sont attendues pour la mi-septembre. Oaktree viserait une valorisation de l’ordre de 500 millions d’euros. Le fonds américain a pris le contrôle d’Axilone, connu alors sous le nom de sa maison-mère Ileos, en 2011.
Oaktree Capital Group cherche un acheteur pour le fabricant de solutions de conditionnement pour les cosmétiques Axilone, indique Bloomberg. Les groupes chinois Citic Capital Holdings et FountainVest Partners ont regardé le dossier, tout comme Bain Capital et AptarGroup. Ce dernier est un concurrent d’Axilone. Les offres sont attendues pour la mi-septembre. Oaktree viserait une valorisation de l’ordre de 500 millions d’euros. Le fonds américain a pris le contrôle d’Axilone, connu alors sous le nom de sa maison-mère Ileos, en 2011.
Lazard et Morgan Stanley viennent d'être mandatés pour engager la vente du loueur de matériel. PAI fait tourner son portefeuille alors qu'il lève un septième fonds.
Le groupe d’information professionnelle et de bases de données a bouclé hier son premier emprunt sur le marché obligataire high yield, destiné à refinancer sa dette bancaire. Le groupe détenu par le fonds TowerBrook a levé 500 millions d’euros en deux tranches à 5 ans: l’une à taux fixe de 325 millions, remboursable par anticipation au bout de deux ans, et l’autre de 175 millions à taux variable avec une clause de non call d’un an. Les titres font ressortir un rendement de 4,50% à taux fixe et une marge de 450 pb à taux variable, en-dessous des fourchettes initiales annoncées.
Le groupe d’information professionnelle et de bases de données Infopro Digital a bouclé jeudi son premier emprunt sur le marché obligataire high yield, destiné à refinancer sa dette bancaire. Le groupe détenu par le fonds TowerBrook a levé 500 millions d’euros en deux tranches à 5 ans: l’une à taux fixe de 325 millions, remboursable par anticipation au bout de deux ans, et l’autre de 175 millions à taux variable avec une clause de non call d’un an. Les titres font ressortir un rendement de 4,50% à taux fixe et une marge de 450 pb à taux variable, en-dessous des fourchettes initiales annoncées à 4,75% - 5% pour le taux fixe et 475 - 500 pb pour les titres FRN. JPMorgan et BNP Paribas dirigeaient l’opération, épaulés par SG CIB.
Dans un arrêt rendu le 6 juillet, la cour d'appel de Paris soumet à cotisations sociales l'intégralité de la plus-value réalisée par des dirigeants associés au capital.
Dans un arrêt rendu le 6 juillet, la cour d'appel de Paris soumet à cotisations sociales l'intégralité de la plus-value réalisée par des dirigeants associés au capital.
Le fonds d’investissement a acquis la majorité du capital de Pronovias, le fabricant espagnol de robes et de costumes de mariage. Alberto Palatchi, fondateur et unique actionnaire du groupe basé à Barcelone, conserve une part minoritaire, selon un communiqué diffusé hier par BC Partners. Il s’agit du premier investissement du fonds en Espagne depuis 6 ans. Le rachat à effet de levier (LBO) s’appuie sur un financement de 275 millions d’euros, dont 215 millions de prêt first-lien et 60 millions de prêt second-lien. Une facilité revolving de 45 millions d’euros complète la dette. Santander, la Société Générale et UBS syndiquent la dette.
Le fonds d’investissement a acquis la majorité du capital de Pronovias, le fabricant espagnol de robes et de costumes de mariage. Alberto Palatchi, fondateur et unique actionnaire du groupe basé à Barcelone, conserve une part minoritaire, selon un communiqué diffusé par BC Partners lundi. Il s’agit du premier investissement du fonds en Espagne depuis 6 ans. Pronovias diffuse ses collections par le biais de 45 boutiques en propre et 3.800 détaillants.