Les actualités et l’analyse du secteur de l’énergie (pétrole, gaz, électricité, charbon, renouvelables, nucléaire, hydrogène), son marché, ses prix, sa géopolitique et son influence sur le monde économique. Retrouvez aussi nos articles sur les grandes entreprises énergétiques (Engie, EDF, TotalEnergies, Shell, BP, Exxonmobil), leur modèle économique, leur cours de Bourse, leurs opérations de financement.
Libéré de ses activités historiques et recentré sur le renouvelable et les réseaux, l’énergéticien allemand anticipe une progression à venir de 5% à 10% de son bénéfice par action.
EDF a annoncé hier avoir signé un accord en vue d’acquérir Global Ressources Options («groSolar») afin de poursuivre son développement dans les énergies renouvelables aux Etats-Unis. Créé il y a 18 ans, groSolar compte aujourd’hui une cinquantaine de salariés et figure parmi les leaders du marché américain dans l’installation et la vente de centrales photovoltaïques pour les collectivités, les entreprises et les industriels. L'électricien français ne précise pas le montant de la transaction.
L’action EDF accuse la plus forte baisse du SBF 120 lundi matin, des analystes soulignant l’effet fortement dilutif du plan de soutien financier de l'électricien public par l’Etat français, qui ne règle pas pour autant les difficultés industrielles de l’entreprise. Vers 12h30, le titre EDF chutait de 7,31% à 11,34 euros pendant que l’indice perdait 0,50%.
Après le gros des 5 milliards d'euros promis à Areva, le gouvernement injectera 3 milliards au capital d'EDF et se privera pour deux années encore d'un dividende en cash.
L'életricien va procéder à une augmentation de capital à hauteur de 4 milliards d'euros dont 3 milliards apportés par l’Etat, et s'engage à réduire ses investissement. La décision sur le projet Hinkley Point est encore reportée.
L’accord de gel de la production conclu entre certains membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et la Russie pourrait se révéler «vide de sens» étant donné que l’Arabie saoudite est le seul signataire en mesure d’augmenter sa production, a déclaré mercredi Neil Atkinson, chargé de la division industrie pétrolière et marchés de l’Agence internationale de l'énergie (AIE). L’Agence voit l'écart entre l’offre et la demande se rétrécir au cours de l’année, ce qui créera les conditions d’une reprise des cours du brut en 2017.
Le projet de centrale nucléaire d’Hinkley Point, en Grande-Bretagne, sera mené à bien, a déclaré mercredi matin le directeur général d’EDF Energy ,Vincent de Rivaz, aux membres de la commission de l'énergie et du climat du Parlement britannique. Ce projet de construction de deux réacteurs de type EPR à Hinkley Point est évalué à 18 milliards de livres sterling (23 milliards d’euros). Alors que le projet a été dévoilé en octobre 2013, la décision finale d’investissement n’a toujours pas été formellement adoptée, EDF peinant à boucler le financement.
L’accord de gel de production conclu entre certains membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et la Russie pourrait se révéler «vide de sens» étant donné que l’Arabie saoudite est le seul signataire en mesure d’augmenter sa production, a déclaré mercredi Neil Atkinson, chargé de la division industrie pétrolière et marchés de l’Agence internationale de l'énergie (AIE). L’Agence voit l'écart entre l’offre et la demande se rétrécir au cours de l’année, ce qui créera les conditions d’une reprise des cours du brut en 2017.
Le projet de centrale nucléaire d’Hinkley Point, en Grande-Bretagne, sera mené à bien, a déclaré ce matin le directeur général d’EDF Energy ,Vincent de Rivaz, aux membres de la commission de l'énergie et du climat du Parlement britannique. Ce projet de construction de deux réacteurs de type EPR à Hinkley Point est évalué à 18 milliards de livres sterling (23 milliards d’euros). Alors que le projet a été dévoilé en octobre 2013, la décision finale d’investissement n’a toujours pas été formellement adoptée, EDF peinant à boucler le financement. EDF Energy est la filiale britannique d’EDF.
Enel a annoncé ce matin qu’il compte investir autour de 2,5 milliards d’euros dans le développement d’un réseau national à très haut débit. Le premier producteur italien d'électricité propose d’utiliser son réseau pour apporter la fibre aux ménages et aux entreprises. Enel Open Fiber, la structure chargée du projet, apportera progressivement le très haut débit à 224 villes italiennes, avec 7,5 millions de foyers connectés dès les premières années, a précisé Enel, qui compte employer le même schéma dans des pays où il gère des infrastructures électriques, comme en Amérique latine.
L’électricien espagnol veut obtenir un moratoire de sept mois, pour faciliter la signature d’un accord avec ses créanciers et le lancement de son plan stratégique.
Alors que ses filiales américaines font l'objet d'une enquête de la SEC, le groupe japonais passe sa division nucléaire à l'épreuve de nouveaux tests de dépréciations.
Empêché par la Maison Blanche de lancer son projet Keystone XL, le groupe canadien débourse 10 milliards de dollars pour s'emparer de Columbia Pipeline.
L’exploitant canadien de gazoducs a annoncé hier avoir scellé un accord définitif pour acquérir son concurrent américain Columbia Pipeline Group (CPG) pour 13 milliards de dollars, incluant une reprise de dette de 2,8 milliards. Le prix de 25,50 dollars par action, payé en numéraire, représente une prime de 10,9% par rapport au cours de clôture de la cible mercredi. La transaction, qui nécessitera l’aval des actionnaires de CPG, devrait être bouclée durant le second semestre 2016.
Le chiffre d’affaires de RTE a progressé de 3% en 2015, à 4,6 milliards d’euros. Cette hausse s’explique par «le niveau historiquement élevé des recettes d’interconnexion avec les pays voisins européens, par des conditions climatiques plus froides (...) et par l’épisode de canicule de l’été», indique la filiale d’EDF. Si l’Ebitda a progressé de 13% à 226 millions, le résultat net a baissé de 43,2% à 215 millions, «en raison de l’effet de la décision de la Commission européenne du 22 juillet 2015 sur le traitement fiscal des provisions créées entre 1986 et 1997 pour le renouvellement des ouvrages du réseau d’alimentation générale». La dette nette s’élevait fin 2015 à 8,26 milliards, en hausse de 4,9% d’un an sur l’autre.
Le chiffre d’affaires de RTE a progressé de 3% en 2015, à 4,6 milliards d’euros. Cette hausse s’explique principalement par «le niveau historiquement élevé des recettes d’interconnexion avec les pays voisins européens, par des conditions climatiques plus froides en début d’année 2015 qu’en 2014 et par l’épisode de canicule de l’été», indique le groupe public de transport de l'électricité. Selon la filiale d’EDF, «les effets sur la consommation électrique de la légère reprise économique sont peu perceptibles en raison, d’une part, de l’essor des productions renouvelables décentralisées qui alimentent les consommateurs sans passer par le réseau de transport d’électricité et, d’autre part, des efforts en matière de maîtrise de l’énergie».