Le moral des ménages américains est resté inchangé en mai mais son indice est supérieur aux prévisions, montrent les résultats provisoires de l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan publiés vendredi. L’indice de confiance établi sur la base de cette enquête est de 98,8 ce mois-ci comme en avril. Le consensus le donnait à 98,5. Le sous-indice mesurant le jugement des ménages sur leur situation actuelle a en revanche reculé à 113,3 en mai contre 114,9 en avril et un consensus à 115,7. Le sous-indice des anticipations des consommateurs est ressorti en hausse à 89,5 en mai, après 88,4 le mois précédent et un consensus de 88,0.
Le moral des ménages américains est resté inchangé en mai mais son indice est supérieur aux prévisions, montrent vendredi les résultats provisoires de l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan. L’indice de confiance établi sur la base de cette enquête est de 98,8 ce mois-ci comme en avril. Le consensus le donnait à 98,5. Le sous-indice mesurant le jugement des ménages sur leur situation actuelle a en revanche reculé à 113,3 en mai contre 114,9 en avril et un consensus à 115,7. Le sous-indice des anticipations des consommateurs est ressorti en hausse à 89,5 en mai, après 88,4 le mois précédent et un consensus de 88,0.
La production industrielle française est repartie en baisse en mars avec la production d'énergie, qui avait été stimulée par le temps froid en février, selon les données publiées ce mercredi par l’Insee. Elle a diminué de 0,4% sur le mois, alors que le consensus tablait sur une hausse de 0,4%. La seule production manufacturière (hors énergie) a augmenté de 0,1% en mars, après quatre mois consécutifs de baisse depuis son plus haut de neuf ans touché en octobre.
La production industrielle française est repartie en baisse en mars avec la production d'énergie, qui avait été stimulée par le temps froid en février, selon les données publiées ce mercredi par l’Insee. Elle a diminué de 0,4% sur le mois, alors que le consensus tablait sur une hausse de 0,4%. La seule production manufacturière (hors énergie) a augmenté de 0,1% en mars, après quatre mois consécutifs de baisse depuis son plus haut de neuf ans touché en octobre.
Les commandes à l’industrie ont enregistré une diminution inattendue en mars qui laisse entrevoir un ralentissement de l’activité industrielle dans les mois à venir, montrent les données publiées ce matin par l’Office fédéral des statistiques. Ces commandes ont diminué sur un mois de 0,9% après une baisse de 0,2% en février. Les économistes tablaient en moyenne sur une progression de 0,5% en mars.
La croissance de l'économie italienne va sans doute ralentir au cours des mois à venir, a déclaré lundi l’institut italien de la statistique (Istat). Si son indicateur avancé composite reste à un niveau élevé, l’Istat indique dans son bulletin mensuel déceler des «signes de ralentissement qui s’intensifient» et laissent entrevoir une croissance moins forte. PIB italien a progressé de 0,3% au premier trimestre, selon des chiffres préliminaires publiés la semaine dernière, comme au dernier trimestre 2017. Sur un an, l’expansion a atteint 1,4%, un plus bas depuis le premier trimestre 2017.
Les commandes à l’industrie ont enregistré une diminution inattendue en mars qui laisse entrevoir un ralentissement de l’activité industrielle dans les mois à venir, montrent les données publiées ce matin par l’Office fédéral des statistiques. Ces commandes ont diminué sur un mois de 0,9% après une baisse de 0,2% en février. Les économistes tablaient en moyenne sur une progression de 0,5% en mars.
La croissance de l'économie italienne va sans doute ralentir au cours des mois à venir, a déclaré lundi l’institut italien de la statistique (Istat). Si son indicateur avancé composite reste à un niveau élevé, l’Istat dit dans son bulletin économique mensuel déceler des «signes de ralentissement qui s’intensifient» et qui laissent entrevoir une croissance économique moins forte. Le produit intérieur brut italien a progressé de 0,3% au premier trimestre, selon des chiffres préliminaires publiés la semaine dernière, un rythme identique à celui qui avait été enregistré au dernier trimestre 2017. Sur un an, l’expansion a atteint 1,4%, un plus bas depuis le premier trimestre 2017.
La croissance des salaires aux Etats-Unis est restée modérée en dépit d’un taux de chômage historiquement bas. Les créations d’emplois aux Etats-Unis ont augmenté en avril par rapport au mois précédent, tandis que le taux de chômage est tombé à son plus faible niveau depuis la fin de l’année 2000, signe que les employeurs pourraient avoir plus de mal à recruter sur un marché du travail qui se tend. Les Etats-Unis ont créé 164.000 emplois nets en avril, contre 135.000 en mars, a annoncé vendredi le département américain du Travail. Le taux de chômage dans le pays s’est établi à 3,9% en avril, son plus bas niveau depuis décembre 2000, contre 4,1% le mois précédent. Le mois dernier, le salaire horaire moyen a crû de 4 cents, ou 0,15%, par rapport à mars, à 26,84 dollars. Il a augmenté de 2,6% sur un an, soit la même hausse qu’au cours des deux mois précédents. Cette augmentation des rémunérations dépasse légèrement celle du coût de la vie.
Les créations d’emplois aux Etats-Unis ont augmenté en avril par rapport au mois précédent, tandis que le taux de chômage est tombé à son plus faible niveau depuis la fin de l’année 2000, signe que les employeurs pourraient avoir plus de mal à recruter sur un marché du travail qui se tend. Les Etats-Unis ont créé 164.000 emplois nets en avril, contre 135.000 en mars, a annoncé vendredi le département américain du Travail. Le nombre de postes créés en mars avait été estimé initialement à 103.000. Le nombre du mois de février a été révisé en légère baisse, à 324.000 contre une estimation précédente de 326.000.
Les commandes à l’industrie aux Etats-Unis ont augmenté de 1,6% en mars par rapport au mois précédent, à 507,7 milliards de dollars, a annoncé hier le département du Commerce. Les économistes s’attendaient à une augmentation de 1,4% des commandes en mars. L'évolution des commandes de février a été révisée en hausse, à +1,6%, au lieu d’une précédente estimation de +1,2%. La progression de mars semble avoir été tirée en partie par la demande de biens durables tels que les ordinateurs, les produits électroniques et les équipements de transport.
Le ralentissement de la zone euro est survenu plus tôt que prévu et les freins à la croissance pourraient persister à court terme mais la Banque centrale européenne (BCE) continue de réaliser des progrès «substantiels» dans le redressement de l’inflation, a déclaré hier son économiste en chef, Peter Praet. «Nous ne pouvons pas encore déclarer ‘mission accomplie’ sur le front de l’inflation mais nous avons fait des progrès substantiels sur la voie d’un ajustement durable de l’inflation», a déclaré à Paris, Peter Praet, considéré comme une ‘colombe’ au sein du Conseil des gouverneurs de la BCE. Minimisant l’impact d’indicateurs inférieurs aux attentes, il a ajouté que le ralentissement économique pourrait être dû à des facteurs exceptionnels et que les signes suggérant que l’appréciation de l’euro pesait sur la croissance restaient peu nombreux. La hausse du produit intérieur brut (PIB) des pays ayant opté pour la monnaie unique a ralenti à 0,4% sur janvier-mars, contre 0,7% au cours des trois trimestres précédents.
L’activité dans le secteur des services aux Etats-Unis a de nouveau décéléré en avril, tombant à un plus bas en quatre mois, selon l’enquête de l’Institute for Supply Management (ISM) publiée hier. L’indice des services de l’ISM s’est contracté à 56,8 sur le mois, contre 58,8 en mars, et 59,5 en février. Les économistes prévoyaient un indice de 58 sur le mois. D’après l’ISM, le niveau actuel de l’indice d’activité correspond à une croissance de 2,9% du produit intérieur brut américain (PIB), en rythme annualisé, contre une progression envisagée de 3,6% le mois précédent. Le secteur des services représente près de 80% de l’emploi et du PIB américain.
L'économie américaine devrait afficher une croissance de 4,0% en rythme annualisé au deuxième trimestre, montrait hier le modèle de prévision GDPNow de la Réserve fédérale d’Atlanta, au vu des derniers indicateurs sur les ventes de voitures, le commerce extérieur et les commandes à l’industrie. Au premier trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a augmenté de 2,3% en rythme annualisé, selon la première estimation publiée vendredi dernier par le département du Commerce.
L’activité dans le secteur des services aux Etats-Unis a de nouveau décéléré en avril, tombant à un plus bas en quatre mois, selon l’enquête de l’Institute for Supply Management (ISM) publiée jeudi. L’indice des services de l’ISM s’est contracté à 56,8 sur le mois, contre 58,8 en mars, et 59,5 en février. Les économistes interrogés par Marketwatch prévoyaient un indice de 58 sur le mois.
Les commandes à l’industrie aux Etats-Unis ont progressé en mars, pour la septième fois au cours des huit derniers mois. Les commandes à l’industrie, qui reflètent les ventes de multiples produits, du papier aux bulldozers en passant par les équipements photographiques, ont augmenté de 1,6% en mars par rapport au mois précédent, à 507,7 milliards de dollars, a annoncé jeudi le département du Commerce. Les économistes interrogés par le Wall Street Journal s’attendaient à une augmentation de 1,4% des commandes en mars.
L'économie italienne a enregistré une croissance modeste au premier trimestre 2018, conforme aux attentes et au même rythme qu'à la fin de 2017, selon les données provisoires publiées ce mercredi par l’Institut national de la statistique Istat. Le produit intérieur brut (PIB) a crû de 0,3% sur la période janvier-mars et de 1,4% sur une base annuelle, dit l’institut. Le rythme de croissance sur un an est le plus faible depuis le premier trimestre 2017. L’institut précise que la croissance du premier trimestre a été tirée par la demande intérieure, alors que le commerce international a pesé, avec davantage d’importations que d’exportations.
Le produit intérieur brut (PIB) de la zone euro a progressé à un rythme de 1,7% au premier trimestre en données annualisées, en léger fléchissement par rapport aux 2,7% enregistrés au quatrième trimestre 2017 mais en ligne avec les attentes du consensus, a annoncé ce matin l’agence européenne de la statistique Eurostat. Le PIB du premier trimestre a progressé de 0,4% par rapport au quatrième trimestre 2017 et de 2,5% sur un an. Les économistes jugent cependant que le froid inhabituel et les chutes de neige en mars ont eu des répercussions sur la croissance, tout comme les grèves en France et en Allemagne, et que la croissance devrait rester proche du rythme de 2,4% enregistré l’an dernier sur l’ensemble de l’année 2018. Le taux de chômage est quant à lui resté stable à 8,5% au sein de la zone euro.