La productivité hors agriculture, soit le volume produit par heure de travail, a crû de 0,4% au premier trimestre par rapport au précédent, en rythme annualisé et en données corrigées des variations saisonnières, a annoncé hier le département américain du Travail. Cette progression est inférieure à l’estimation initiale, qui faisait état d’une hausse de 0,7%, après une croissance de 0,3% au quatrième trimestre. Le coût unitaire du travail s’est inscrit en hausse de 2,9% au premier trimestre, par rapport à 2,7% initialement estimé.
La productivité hors agriculture aux Etats-Unis a augmenté plus faiblement qu’estimé initialement au premier trimestre, ce qui pourrait empêcher une accélération future de la croissance économique. La productivité hors agriculture, soit le volume produit par heure de travail, a crû de 0,4% au premier trimestre par rapport au précédent, en rythme annualisé et en données corrigées des variations saisonnières, a annoncé mercredi le département américain du Travail.
L’Ecole d’économie de Paris (PSE) et la Fondation SCOR pour la Science annoncent la création d’une chaire de recherche sur le risque macroéconomique. «L’environnement macroéconomique contemporain est particulièrement incertain: les stratégies monétaires non-conventionnelles, les forts niveaux d’endettements privés et publics, l’aléa politique dans de nombreux pays et l’incertitude concernant l’avenir de la productivité et de la croissance y concourent, de même que les risques d’occurrence de chocs rares mais extrêmes, liés notamment au changement climatique ou à la montée du terrorisme», souligne un communiqué commun. Sous la direction scientifique de Gilles Saint-Paul (PSE, ENS) et la direction exécutive de Nicolas Dromel (PSE, CNRS), la nouvelle chaire vise à explorer ces évolutions.
L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a annoncé la nomination de Laurence Boone au poste de chef économiste, à compter de juillet. L’ancienne sherpa de François Hollande pour les négociations du G20 entre 2014 et 2016 occupait les fonctions de chef économiste d’Axa et global head of multi asset client solutions d’Axa IM.
La croissance des ventes au détail dans les 19 pays de la zone euro a décéléré en avril par rapport à mars, montrent les données publiées mardi par Eurostat. Ces ventes ont augmenté de seulement 0,1% sur un mois, après 0,4% en mars, et de 1,7% sur un an. Les consommateurs ont dépensé davantage dans l’habillement et les chaussures, ainsi que dans les produits informatiques. Les dépenses dans l’alimentaire, les boissons et le tabac ont en revanche diminué en avril. Les ventes en ligne ont augmenté de 2,5%.
Avec une hausse de son rythme annuel de croissance de 0,8% au premier trimestre, selon les chiffres publiés hier par le service de la statistique Elstat, la Grèce enregistre un 5e trimestre consécutif de progression de son PIB. La croissance annuelle a accéléré à un rythme de 2,3% sur les trois premiers mois de 2018, après 2% au cours du trimestre précédent, ce qui est supérieur aux prévisions de croissance pour cette année de 1,9% pour la Commission européenne et 2% pour le Fonds monétaire international.
Avec une hausse de son rythme annuel de croissance de 0,8% au premier trimestre, selon les chiffres publiés ce matin par le service de la statistique Elstat, la Grèce enregistre un cinquième trimestre consécutif de progression de son produit intérieur brut (PIB). La croissance annuelle a accéléré à un rythme de 2,3% sur les trois premiers mois de l’année, après 2% au cours du trimestre précédent, ce qui est supérieur aux prévisions de croissance pour cette année de 1,9% pour la Commission européenne et 2% pour le Fonds monétaire international (FMI). Il s’agit ainsi d’un bon signal envoyé par le pays avant la fin de son dernier programme d’aide programmée en août prochain, et qui doit lui permettre de regagner son indépendance financière.
Le taux de chômage aux Etats-Unis est tombé en mai à son plus bas niveau depuis 18 ans. Les Etats-Unis ont créé 223.000 emplois nets le mois dernier, contre 159.000 en avril, a annoncé vendredi le département américain du Travail. Le taux de chômage dans le pays a reculé à 3,8% en mai, un point bas depuis avril 2000 et le plus faible niveau enregistré depuis 1969, contre 3,9% le mois précédent. Cependant, la progression des salaires reste modérée, à 2,7% sur un an le mois dernier. Les salaires n’ont pas augmenté de plus de 3% depuis la fin de la récession aux Etats-Unis en 2009, malgré la baisse du taux de chômage.
Le taux de chômage aux Etats-Unis est tombé en mai à son plus bas niveau depuis 18 ans. Les Etats-Unis ont créé 223.000 emplois nets le mois dernier, contre 159.000 en avril, a annoncé aujourd’hui le département américain du Travail. Le nombre de postes créés en avril avait été estimé initialement à 164.000. La statistique de mars a de son côté été révisé en hausse à 155.000, contre une estimation précédente de 135.000.
L’abandon de la coalition anti-système M5S-Ligue ouvre la voie à de nouvelles élections. Le spectre anti-euro resurgit. Les actifs périphériques sont dans la tourmente.
Le sentiment économique s’est légèrement dégradé en mai après une stagnation le mois précédent, mais il est supérieur aux prévisions, a annoncé mercredi la Commission européenne. L’indice du sentiment économique a reculé à 112,5 points après 112,7 en avril. La prévision moyenne des économistes interrogés par Reuters était de 112,1. L’indice du climat des affaires a en revanche augmenté à 1,45, contre 1,39 (1,35 en première estimation) en avril. La confiance des ménages a reculé à 0,2 contre 0,3 en avril.
L’Office fédéral du travail a annoncé que le nombre de chômeurs, corrigé des variations saisonnières, a baissé de 11.000 à 2,358 millions en Allemagne ce mois-ci. Le taux de chômage s’élève à 5,2%, le plus faible depuis la réunification de 1990, après 5,3% en avril. «La tendance haussière du marché du travail se poursuit, mais à un rythme plus lent que lors des mois d’hiver», observe Detlef Scheele, directeur de l’Office.
L’OCDE a révisé mercredi en légère baisse sa prévision pour la croissance de l'économie mondiale en 2018. Elle anticipe 3,8% cette année, soit 0,1 point de moins que dans la prévision de mars, en raison du ralentissement, jugé temporaire, en début d’année au Japon et en Europe. Elle ne change rien en revanche pour 2019 (+3,9%). «Cependant, la reprise en cours reste soutenue par une politique monétaire très accommodante et, de plus en plus, par des mesures d’assouplissement budgétaire, ce qui donne à penser que l’avènement d’une croissance vigoureuse et véritablement autonome n’est pas encore une réalité», a déclaré son secrétaire général Angel Gurría.
L’Office fédéral du travail a annoncé ce matin que le nombre de chômeurs, corrigé des variations saisonnières, a baissé de 11.000 à 2,358 millions en Allemagne ce mois-ci, alors qu’une enquête Reuters limitait le recul à 10.000. Le taux de chômage s’élève à 5,2%, le plus faible depuis la réunification de 1990, après 5,3% en avril. «La tendance haussière du marché du travail se poursuit, mais à un rythme plus lent que lors des mois d’hiver», observe Detlef Scheele, directeur de l’Office.
L’OCDE a révisé mercredi en légère baisse sa prévision pour la croissance de l'économie mondiale en 2018 en raison du ralentissement, qu’elle juge temporaire, intervenu en début d’année au Japon et en Europe. L’Organisation de coopération et de développement économiques reste globalement optimiste sur son évolution à court terme mais insiste toujours sur la nécessité pour les gouvernements de mettre en œuvre des réformes structurelles pour consolider cette croissance dans le temps et atténuer des risques qui restent importants.
Le sentiment économique s’est légèrement dégradé en mai après une stagnation le mois précédent mais il est supérieur aux prévisions, a annoncé mercredi la Commission européenne. L’indice du sentiment économique a reculé à 112,5 points après 112,7 en avril. La prévision moyenne des économistes interrogés par Reuters était de 112,1.
Ses économistes n'anticipent plus que 3,8% de hausse pour l'activité dans le monde cette année, soit 0,1 point de moins que dans leurs précédentes prévisions du mois de mars.
La confiance des ménages est restée stable en mai pour le quatrième mois consécutif, malgré une légère dégradation des opinions sur le niveau de vie futur en France, a annoncé mardi l’Insee. Le moral des ménages s’est établi à 100 points, soit au niveau de sa moyenne de long terme. Selon l’Insee, les ménages sont légèrement moins optimistes qu’en avril sur leur situation financière future: le solde correspondant a ainsi reculé d’un point, après en avoir gagné un en avril. La proportion de ménages jugeant opportun de faire des achats importants a elle reculé de 2 points, mais elle se maintient nettement au-dessus de sa moyenne de longue période. Concernant la situation économique en général, le solde à propos du niveau de vie futur en France perd ainsi quatre points, même si les ménages sont plus nombreux à anticiper une baisse du chômage.
La confiance des ménages est restée stable en mai pour le quatrième mois consécutif, malgré une légère dégradation des opinions sur le niveau de vie future en France, a annoncé mardi l’Insee dans un communiqué. Le moral des ménages, calculé sur la base de soldes d’opinion (différences entre proportion de réponses positives et négatives), s’est établi à 100 points, soit au niveau de sa moyenne de long terme, a précisé l’organisme public de statistiques.
La Commission européenne a proposé aujourd’hui une série de mesures visant à bannir les produits plastiques à usage unique pour réduire les déchets marins. L’UE porte son attention sur dix produits en plastique à usage unique, comme les bâtonnets de coton-tige, les couverts, les assiettes ou les pailles, mais aussi sur les engins de pêche qui, collectivement, représentent 70% des déchets marins en Europe.