Nos articles d'actualité et d'analyse portant sur les opérations de fusion-acquisition et de cessions menées par les grandes entreprises françaises et internationales, le classement M&A de L'Agefi.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur l'évolution des dettes publiques des principaux pays et sur leurs incidences pour l'économie et le secteur financier.
Les récentes données économiques sur les Etats-Unis ont éloigné la perspective de la première baisse des taux, sans pour autant la remettre en cause. Dès lors, le risque de baisse des prix pèserait plus sur les Treasuries à 10 ans que sur les maturités à 2 ans et à 5 ans.
Selon le Haut Conseil des finances publiques, le chef de l'Etat a trop tardé pour réduire vraiment les déficits. Résultat, il se retrouve face à un mur qui va peser sur l'activité économique. Sa trajectoire budgétaire, avec une croissance optimiste, «manque donc de cohérence».
L'Italie, qui voit ses prévisions de déficit et de dette déraper, connaîtra le 19 avril le verdict de l'agence S&P sur sa note. La fin des achats d’actifs de la Banque centrale européenne (BCE) et l’appétit pour le risque ont toutefois ramené les investisseurs vers les obligations italiennes.
Il reste au gouvernement 10 milliards d’euros d’économies à trouver pour assurer la trajectoire budgétaire qu’il présentera à Bruxelles. La taxe sur les rachats d’actions refait surface.
L’ampleur du déficit public français en 2023 (5,5% du PIB) promet de faire des remous jusqu’à Bruxelles, où le Pacte de stabilité européen est en passe d’être réactivé, dans une version réformée. A quel traitement doit s’attendre l’Hexagone, lui qui fait désormais partie du groupe restreint des très mauvais élèves en Europe ?
Le vote de samedi au Sénat a permis d’éviter la paralysie des services publics («shutdown») qui s'exposaient à ne plus être financés. Le pays est à nouveau «tranquille» jusqu’au 30 septembre.
Les acteurs non bancaires, dont les traders haute fréquence, estiment que la «Dealer Rule», qui les oblige à s’enregistrer en tant que négociants auprès des autorités de marché américaines est arbitraire.
La Chambre des représentants a voté six lois budgétaires sur les douze nécessaires. Le Sénat devrait suivre pour éviter une fermeture administrative («shutdown»). Reste à voter sur les six autres avant le 22 mars.
Le pays a placé plus de 18,3 milliards de «BTP Valore» le 1ᵉʳ mars. Ces opérations renforcent la part de la détention domestique de la dette, d'où une moindre exposition à la volatilité des investissements étrangers.
Le large dépassement enregistré pour 2023 est essentiellement dû au crédit d'impôt de rénovation énergétique. Les effets comptables du «superbonus» joueront encore en 2024.
Les dirigeants républicains et démocrates ont conclu un accord provisoire pour éviter une fermeture de certaines administrations le 2 mars. Mais pas encore sur six autres administrations, financées seulement jusqu’au 22 mars.
Le régulateur américain a souhaité plus de transparence et un alignement des règles avec les courtiers traditionnels. L’industrie conteste ce qu’elle considère comme un amalgame.