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Les ventes de cognac, tirées par la demande américaine, ont connu une cinquième année consécutive de croissance, tant en valeur (+6,9%) qu’en volume (+2,5%), a annoncé lundi le Bureau national interprofessionnel du cognac (BNIC). L’eau-de-vie charentaise s'écoule à 98% à l’export, la France ne représentant que le cinquième marché. Au total, 211,1 millions de bouteilles ont été vendues pour un chiffre d’affaires de 3,4 milliards d’euros durant la campagne 2018-2019 (du 1er août 2018 au 31 juillet 2019), selon l’organisme interprofessionnel.
Washington devrait prolonger de 90 jours les exemptions accordées à Huawei - censées prendre fin ce 19 août - qui permettent à celui-ci de conserver ses réseaux existants et de fournir des mises à jour logicielles aux possesseurs de ses téléphones, selon l’agence Reuters. Le président américain Donald Trump a signé en mai dernier un décret qui interdit aux entreprises américaines d’utiliser du matériel de télécoms fabriqué par des entreprises présentant un risque pour la sécurité nationale, une mesure visant particulièrement le géant chinois des télécoms. L’administration américaine est cependant revenue sur une partie des restrictions. Il demeure toujours interdit à Huawei d’acheter des produits comportant au moins 25% de composants issus d’une technologie ou de matériaux américains. Vendredi, l’Office du représentant américain au Commerce (USTR) a annoncé le report des droits de douane sur certains produits d’ameublement et les modems internet fabriqués en Chine, après avoir repoussé à décembre l’instauration de taxes sur les téléphones mobiles et ordinateurs portables importés.
L’administration Trump est prête à apporter son aide à la Grande-Bretagne pour aboutir au Brexit et à établir rapidement un accord commercial entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis, a dit John Bolton, lundi. Le conseiller présidentiel pour les questions de sécurité nationale s’exprimait à Londres après avoir rencontré des responsables du bureau du Premier ministre britannique Boris Johnson. Donald Trump souhaite un accord commercial global dès que possible et anticipe un soutien des deux partis au Congrès sur cette question mais les Etats-Unis n’entendent pas «imposer de pression» aux Britanniques sur ce sujet, a-t-il poursuivi.
L’administration Trump est prête à apporter son aide à la Grande-Bretagne pour aboutir au Brexit et à établir rapidement un accord commercial entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis, a dit John Bolton, lundi. Le conseiller présidentiel pour les questions de sécurité nationale s’exprimait à Londres après avoir rencontré des responsables du bureau du Premier ministre britannique Boris Johnson. Donald Trump souhaite un accord commercial global dès que possible et anticipe un soutien des deux partis au Congrès sur cette question mais les Etats-Unis n’entendent pas «imposer de pression» aux Britanniques sur ce sujet, a-t-il poursuivi.
L’administration Trump est prête à apporter son aide à la Grande-Bretagne pour aboutir au Brexit et à établir rapidement un accord commercial entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis, a dit John Bolton, lundi. Le conseiller présidentiel pour les questions de sécurité nationale s’exprimait à Londres après avoir rencontré des responsables du bureau du Premier ministre britannique Boris Johnson. Donald Trump souhaite un accord commercial global dès que possible et anticipe un soutien des deux partis au Congrès sur cette question mais les Etats-Unis n’entendent pas «imposer de pression» aux Britanniques sur ce sujet, a-t-il poursuivi.
L’administration Trump est prête à apporter son aide à la Grande-Bretagne pour aboutir au Brexit et à établir rapidement un accord commercial entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis, a dit John Bolton, lundi. Le conseiller présidentiel pour les questions de sécurité nationale s’exprimait à Londres après avoir rencontré des responsables du bureau du Premier ministre britannique Boris Johnson. Donald Trump souhaite un accord commercial global dès que possible et anticipe un soutien des deux partis au Congrès sur cette question mais les Etats-Unis n’entendent pas «imposer de pression» aux Britanniques sur ce sujet, a-t-il poursuivi.
Une sortie sans accord du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE) risquerait d’aggraver la pénurie de médicaments déjà sensible dans plusieurs pays d’Europe, avertissent des professionnels de la santé à l’approche de la date butoir du 31 octobre. Le Royaume-Uni exporte chaque mois quelque 45 millions de boîtes de médicaments vers le reste de l’UE et ses échanges de produits pharmaceutiques ont représenté près de 12 milliards de livres (13 milliards d’euros) en 2016, d’après un rapport du Parlement britannique. Certains médicaments pourraient être privés de l’aval réglementaire requis pour pouvoir continuer d'être importés du Royaume-Uni. Les contrôles accrus aux ports et autres postes frontaliers pourraient aussi perturber le transport de médicaments et des composants chimiques nécessaires à leur fabrication. L’Agence européenne des médicaments dit avoir finalisé les autorisations pour la quasi-totalité des 400 médicaments sous sa surveillance qui devaient encore être clarifiées en raison du Brexit.
L’administration Trump est prête à apporter son aide à la Grande-Bretagne pour aboutir au Brexit et à établir rapidement un accord commercial entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis, a dit John Bolton, lundi. Le conseiller présidentiel pour les questions de sécurité nationale s’exprimait à Londres après avoir rencontré des responsables du bureau du Premier ministre britannique Boris Johnson. Donald Trump souhaite un accord commercial global dès que possible et anticipe un soutien des deux partis au Congrès sur cette question mais les Etats-Unis n’entendent pas «imposer de pression» aux Britanniques sur ce sujet, a-t-il poursuivi.
L’administration Trump est prête à apporter son aide à la Grande-Bretagne pour aboutir au Brexit et à établir rapidement un accord commercial entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis, a dit John Bolton, lundi. Le conseiller présidentiel pour les questions de sécurité nationale s’exprimait à Londres après avoir rencontré des responsables du bureau du Premier ministre britannique Boris Johnson. Donald Trump souhaite un accord commercial global dès que possible et anticipe un soutien des deux partis au Congrès sur cette question mais les Etats-Unis n’entendent pas «imposer de pression» aux Britanniques sur ce sujet, a-t-il poursuivi.
Le Japon a prévenu hier qu’il pourrait durcir les contrôles sur les produits exportés vers la Corée du Sud malgré sa décision d’autoriser la livraison d’un composant électronique, la résine photosensible, indispensable à la production de circuits intégrés. Tokyo accentue ainsi la pression sur son voisin, retiré le mois dernier de la liste japonaise des «partenaires de confiance». Ces tensions découlent d’un litige nourri par les indemnisations réclamées par la Corée du Sud pour ses ressortissants soumis à un régime de travail forcé dans des entreprises nipponnes durant la Seconde Guerre mondiale.
Malgré des résultats trimestriels en hausse, la banque a écarté John Flint pour que le groupe surmonte les conditions d'activité et les événements mondiaux.
À Paris, l'indice CAC 40 plongeait de 2,56% à 5.415,30 points vers 10h20 GMT. À Francfort, le Dax abandonnait 2,25% et à Londres, le FTSE cèdait 1,75%. L'indice EuroStoxx 50 de la zone euro reculait de 2,27%.
Les Etats-Unis veulent conclure au plus vite un accord de libre-échange avec le Brésil, a déclaré hier le président américain. Cette déclaration intervient alors que le secrétaire américain au Commerce, Wilbur Ross, se trouve à Sao Paulo et qu’il doit rencontrer aujourd’hui à Brasilia le président Jair Bolsonaro, homme politique d’extrême droite qui ne cache pas son admiration pour son homologue américain. Le secrétaire brésilien au Commerce, Marcos Troyjo, a toutefois prévenu que les accords commerciaux entre les deux Etats devront inclure les pays membres du Mercosur.
La menace américaine de dénoncer le statut de pays en développement de la Chine au sein de l’ l’Organisation mondiale du commerce (OMC) est une «tactique», vouée à l'échec, visant à faire pression avant la reprise cette semaine des discussions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine, a estimé hier l’agence officielle Chine Nouvelle. Pékin réagit ainsi à la publication vendredi d’un mémorandum, signé par le président américain Donald Trump, affirmant que l’OMC utilise une «dichotomie obsolète entre pays développés et en développement qui a permis à certains membres (...) de bénéficier d’avantages injustes». Le texte cite sept pays parmi les dix plus riches en termes de PIB par habitant mais vise principalement la Chine.
Le ministre français de l’Agriculture, Didier Guillaume, a exprimé hier son scepticisme sur le projet de traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur, un texte qui n’est «pas ratifiable en l'état». Le gouvernement français s’efforce de rassurer les opposants à ce pacte avec quatre pays d’Amérique latine (Brésil, Argentine, Paraguay et Uruguay) en affirmant qu’il ne le signera pas à n’importe quel prix. Une «commission indépendante» chargée d'évaluer l’accord devait voir le jour lundi, notamment sur des questions de climat, normes sanitaires et filières «sensibles» (boeuf, sucre, volaille). La Commission européenne et le Mercosur sont parvenus à un accord après plus vingt ans de négociations en juin, mais ce texte doit être ratifié par chacun des Etats membres de l’UE ainsi que par le Parlement européen.
Une équipe de responsables américains se rendra en Chine au début de la semaine prochaine pour des négociations commerciales, a déclaré hier le secrétaire américain au Trésor à CNBC. Steven Mnuchin a annoncé que le représentant américain au Commerce, Robert Lighthizer, et lui-même partiraient pour la Chine lundi et discuteraient avec leurs homologues chinois mardi et mercredi à Shanghai, avant de poursuivre leurs discussions à Washington.