Chaque semaine, les analyses et prévisions des économistes et gestionnaires d'actifs interrogés par L'Agefi sur les taux, changes, actions, crédit et allocation d'actifs.
Nos articles d’actualité et d’analyse portant sur le marché des changes ou forex, sur l'évolution des principales devises (dollar, euro, yen, sterling, yuan, etc.) et sur les devises émergentes.
Avec un message plutôt accommodant, l’institution de Francfort rend possible une divergence monétaire avec la banque centrale américaine, que les données d’inflation empêchent d’agir trop vite.
Le Continuous Linked Settlement System (CLS), utilisé par les gérants pour les transactions de change en simultané, relativise l'impact sur les gérants et les fonds du futur passage à un jour du règlement-livraison pour la plupart des titres américains.
La fintech optimise les opérations de règlements et de change et établit le bilan d’émission des achats hors de l’Europe. Une obligation qui va s’imposer à toutes les entreprises européennes d’ici deux ans.
Pour la BCE et la banque centrale chinoise, mener une politique monétaire plus accommodante que celle de la Fed, ce qui entraînerait une dépréciation de l’euro et du renminbi, serait rationnel. Mais, gare ! La «guerre des devises» n’est pas une solution optimale, avertit Gilles Moëc, chef économiste d'Axa.
L’institution a maintenu son taux mais estime désormais les risques équilibrés sur l’inflation. Le dollar australien s’affaiblit, également en raison de la chute des prix du minerai de fer.
Le Conseil des gouverneurs n’est pas très clair sur l’avancée des discussions autour d’une première baisse de taux, ce qui devient en soi un message un peu moins «restrictif».
En février, les prévisionnistes de L’Agefi et les marchés ont décalé d’un mois les premières baisses de taux directeur, de mai à juin. A cause des données économiques pour les Etats-Unis, et des discours restrictifs pour la zone euro.