Toute l'actualité de l'entreprise dirigée par Elon Musk, valorisée plusieurs centaines de milliards de dollars en Bourse et spécialisée dans les véhicules électriques.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur les dernières innovations liées à la blockchain (chaîne de blocks) et à leurs applications dans l’industrie financière.
Digital. HSBC et Euler Hermes explorent la blockchain appliquée à l’affacturage et l’assurance-crédit avec comme promesse des procédures simplifiées, une réactivité accrue et une transparence totale. Les partenaires ont pour l’heure annoncé le succès de l’opération par le biais d’un proof of concept (PoC), en simulant donc des transactions commerciales entre contreparties imaginaires. « La transposition de cette expérimentation dans des conditions réelles constitue un objectif de moyen terme », a confié à L’Agefi le directeur de l’affacturage de HSBC France, Olivier Sabineu. Une douzaine de PoC sont en cours au sein du Trade Innovation Lab de HSBC France, grâce auquel la banque scrute les bienfaits que sont susceptibles d’apporter les nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle.
Sans limite. Si les initial coin offerings (ICO) ont surpris à leur début par la rapidité et la facilité avec lesquelles de jeunes start-up ou de simples projets réussissaient à lever quelques dizaines de millions sur la blockchain, elles sont entrées dans une autre dimension ces derniers mois. A l’issue d’une ICO qui aura duré un an, la société EOS, qui développe une blockchain destinée à concurrencer Ethereum, vient de collecter pas moins de 4,2 milliards de dollars, soit la plus importante levée de fonds jamais réalisée via cette méthode. A titre de comparaison, la principale ICO de 2017 était celle de Filecoin, pour environ 250 millions de dollars. Quelques jours avant, la messagerie cryptée Telegram avait décidé d’annuler la partie publique de son ICO après avoir obtenu 1,7 milliard de dollars au cours de deux pré-ICO.
« Une opportunité d’investissement inratable », un rendement de 72 % en deux mois pour les premiers investisseurs, une couverture « garantie » contre l’inflation et les pertes de marché… Telles sont les promesses écrites dans le white paper présentant l’ICO de Howeycoins, une nouvelle cryptomonnaie. De quoi faire rêver tous les spéculateurs ! Mais en cliquant sur le lien pour acheter cette prometteuse monnaie, surprise ! C’est le site de la SEC (US Securities & Exchange Commission) qui apparaît. « Si vous répondez à une offre d’investissement comme celle-ci, vous pouvez être victime d’une arnaque », indique le gendarme boursier. Diffusée depuis mai, cette fausse ICO met en garde les investisseurs vis-à-vis de cette méthode de lever des fonds sur la blockchain que la SEC considère plus dangereuse que prometteuse. Le message est clair.
Culture du partage. La Banque de France veut stimuler la place financière à l’aide des nouvelles technologies et donne l’exemple. Elle a mené à bien un projet de blockchain publique – ce serait une première mondiale de la part d’une banque centrale – sur le sujet des identifiants des créanciers Sepa. La technologie des registres distribués permet d’attribuer en ligne des identifiants aux banques, jusqu’alors une prérogative de la banque centrale, qui tombe au profit d’une gestion en copropriété. La projet a été lancé en 2016 et la mise en production a démarré fin 2017, avec deux banques du groupe Crédit Mutuel rejoignant le projet au printemps. En fin d’année, plus de 60 % des identifiants passeront par ce système. De quoi tenir lieu d’apprentissage de la blockchain pour toutes les banques.
Le projet de loi ratifiant l’ordonnance n° 2017-1674 facilitant la transmission de titres financiers via la blockchain a été présenté au Conseil des ministres du 30 mai 2018.
La filiale de BPCE a annoncé jeudi qu’elle rejoignait l’initiative Marco Polo dans le trade finance. Celle-ci associe de grandes banques internationales spécialisées dans le financement du commerce, la technologie blockchain Corda développée par le consortium R3, et la société technologique TradeIX spécialisée dans le trade finance. BNP Paribas, Commerzbank, ING, Standard Chartered, Bangkok Bank, SMBC, DNB et OP Financial Group font déjà partie de Marco Polo.
La filiale de BPCE a annoncé jeudi qu’elle rejoignait l’initiative Marco Polo dans le trade finance. Celle-ci associe de grandes banques internationales spécialisées dans le financement du commerce, la technologie blockchain Corda développée par le consortium R3, et la société technologique TradeIX spécialisée dans le trade finance. BNP Paribas, Commerzbank, ING, Standard Chartered, Bangkok Bank, SMBC, DNB et OP Financial Group font déjà partie de Marco Polo.
L’association Paris Europlace a publié lundi un livre blanc sur la technologie blockchain. Le document identifie, «pour les activités de dépositaire et de conservation et pour la gestion d’actifs, les impacts de la technologie blockchain et les évolutions législatives et réglementaires requises afin de promouvoir le développement de son utilisation», précise un communiqué.
Les quinze assureurs et réassureurs travaillant sur la blockchain au sein de l’initiative B3i, lancée en octobre 2016, ont décidé de faire migrer leurs travaux, aujourd’hui organisés et menés par le biais d’un consortium, vers une société à part entière, baptisée B3i Services AG, constituée le 23 mars dernier. «En tant qu’entité légale indépendante dotée de son propre capital et de sa propre propriété intellectuelle, B3i Services AG peut rationaliser le développement, l’expérimentation et la commercialisation de solutions blockchain», précise un communiqué publié aujourd’hui. RGA et Sompo, qui faisaient partie des quinze membres du consortium, n’ont pas participé à la transition. Sont donc actionnaires de la nouvelle société, à parts égales : Achmea, Aegon, Ageas, Allianz, Generali, Hanover Re, Liberty Mutual, Munich Re, Scor, Swiss Re, Tokyo Marine, XL Catlin et Zurich Insurance. L’entreprise prévoit une nouvelle levée de fonds «auprès d’un large spectre de participants de l’industrie de l’assurance» dans les prochains mois.
Les quinze assureurs et réassureurs travaillant sur la blockchain au sein de l’initiative B3i, lancée en octobre 2016, ont décidé de faire migrer leurs travaux, aujourd’hui organisés et menés par le biais d’un consortium, vers une société à part entière, baptisée B3i Services AG, constituée le 23 mars dernier. « En tant qu’entité légale indépendante dotée de son propre capital et de sa propre propriété intellectuelle, B3i Services AG peut rationaliser le développement, l’expérimentation et la commercialisation de solutions blockchain », précise un communiqué publié aujourd’hui.
La holding Alphabet, maison-mère de Google, serait en train de développer une technologie de registre distribué que des tiers pourraient utiliser pour enregistrer et vérifier des transactions, selon des sources citées hier soir par Bloomberg. Cela lui permettrait de différencier ses services de cloud (informatique dématérialisée) de ceux de ses rivaux, notamment les start-ups utilisant déjà la technologie blockchain. Google souhaiterait aussi fournir une version en marque blanche que d’autres entreprises pourraient utiliser sur leurs propres serveurs.
Les banques Credit Suisse et ING ont annoncé hier avoir réalisé un échange de paniers de titres pour 25 millions d’euros grâce à la solution de la fintech HQLAx, qui utilise la blockchain Corda, créée par le consortium de banques R3. Dans un communiqué, le directeur de l’innovation de la banque commerciale chez ING, Ivar Wiersma, souligne que beaucoup d’applications blockchain développées sur Corda sont proches de la production en situation réelle, «un signe des progrès du développement de la plate-forme et du bénéfice évident du partenariat avec R3».
Les banques Credit Suisse et ING ont annoncé aujourd’hui avoir réalisé un échange de paniers de titres pour 25 millions d’euros grâce à la solution de la fintech HQLAx, qui utilise la blockchain Corda, créée par le consortium de banques R3. Dans un communiqué, le directeur de l’innovation de la banque commerciale chez ING, Ivar Wiersma, souligne que beaucoup d’applications blockchain développées sur Corda sont proches de la production en situation réelle, « un signe des progrès du développement de la plate-forme et du bénéfice évident du partenariat avec R3 ».
Iznes, la plate-forme internationale d’achat et de vente d’OPC (organismes de placement collectif) européens en blockchain, a annoncé hier avoir mené avec succès sa première levée de fonds. Dans ce cadre, cinq sociétés de gestion rejoignent OFI AM et la fintech Setl au capital de la plate-forme: il s’agit d’Arkéa IS, de Groupama AM, de La Banque Postale AM, de La Financière de l’Échiquier et de Lyxor AM. «Cette opération stratégique intervient quelques semaines après la validation opérationnelle, sur des transactions réelles, de la solution d’achat et de vente de parts d’OPC en blockchain d’Iznes. Elle donne à la société les moyens et l’appui nécessaires à la phase de déploiement et de production prévue en 2018, en France et au Luxembourg», explique un communiqué.
Iznes, la plate-forme internationale d’achat et de vente d’OPC (organismes de placement collectif) européens en blockchain, a annoncé ce jeudi avoir mené avec succès sa première levée de fonds. Dans ce cadre, cinq sociétés de gestion qui participent depuis plusieurs mois aux travaux de développement de la solution, rejoignent OFI AM et la fintech Setl au capital de la plate-forme: il s’agit d’Arkéa IS, de Groupama AM, de La Banque Postale AM, de La Financière de l’Échiquier et de Lyxor AM.
Ils sont 97 % à connaître les cryptomonnaies selon le sondage de Paypite publié le 19 février, Pourtant une personne sur quatre ne sait toujours pas à quoi elles servent