Nos articles d'actualité et d'analyse sur les principales campagnes lancées par des actionnaires activistes (Elliott, Amber, Third Point, Trian Partners, Cevian, TCI etc.) sur des entreprises cotées en Bourse.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur la Banque centrale européenne (BCE), sur les déclarations de ses principaux dirigeants, sur ses annonces de politiques monétaires (évolution des taux directeurs, programmes de liquidité ou de rachats d’actifs, suivi de l’inflation).
L’accélération de la réduction du bilan de la BCE par non-réinvestissement des titres du programme d’achats d’urgence pandémique début 2024 pourrait avoir l’effet de plusieurs hausses de taux.
Après la faillite de SVB, les autorités craignent que des plateformes, comme l’allemande Raisin, ne participent à la fuite des dépôts en cas de crise. La BCE pourrait étudier de nouvelles exigences en matière de liquidité.
La normalisation monétaire de la Fed et de la BCE implique aussi, à côté des hausses de taux courts, une diminution de leurs bilans, gonflés durant la crise par les achats d’actifs. Une étude présentée au Forum de Sintra chiffre jusqu’à 90% la baisse des réserves induite. D’autres observateurs estiment que le processus serait rapidement contraint par des risques liés à la stabilité financière et à la liquidité.
Les prévisionnistes sondés par L’Agefi ont davantage relevé leurs vues sur les taux directeurs en juin, portés autant par le ton restrictif des décideurs que par les bonnes nouvelles.
Du 26 au 28 juin, les banquiers centraux se sont réunis au Portugal à Sintra sous l’égide de la Banque centrale européenne. Cet événement a été l’occasion pour eux de réaffirmer la politique restrictive dans laquelle ils se sont engagés. Le lieu a aussi été le théâtre d’âpres discussions entre les «faucons», prônant le resserrement, et des chercheurs académiques, parfois davantage «colombes», et inquiets pour la croissance.
Tout en revendiquant une approche réunion par réunion, la présidente Christine Lagarde a déjà acté une hausse en juillet, et presque une autre en septembre.
Les banques de la zone euro doivent rembourser une tranche de 477 milliards d’euros le 28 juin. Très dépendants de ces liquidités, les établissements italiens devront lever de l’argent frais.