Toute l'actualité du groupe Crédit Mutuel (stratégie, résultats, investissements, ressources humaines), une des principales banques et sociétés d'assurance française, du CIC et du Crédit Mutuel Arkéa.
L’actualité et les analyses du marché immobilier, que les biens soient détenus en direct ou sous la forme de pierre-papier, les sujets liés au financement de cette classe d’actifs, ainsi que l’actualité des grands acteurs présents sur ce créneau tels que les courtiers, les banques, les entreprises de crowdfunding, etc, ainsi que les intervenants dans des nouveaux modes d’acquisition ou de location.
Les autorisations de construire chutent à un niveau rarement observé par la FPI. Les ventes entre janvier et mars plongent de 20% par rapport au premier trimestre 2021. Les stocks continuent de s’épuiser, au point de risquer la pénurie.
Novaxia change de dimension. Le spécialiste du recyclage urbain annonce avoir signé un partenariat avec Oxford Properties, bras armé immobilier du fonds de pension canadien Omers. Après des investissements réalisés en Amérique du Nord et en Grande-Bretagne, notamment, le géant immobilier (59 milliards de dollars d’euros sous gestion) veut déployer son portefeuille international dédié aux sciences de la vie sur le marché français. Il apporte un milliard d’euros, qui seront investis d’ici à 2024, auquel s’ajoute autant en dettes. Pour mettre en œuvre sa stratégie, il a choisi Novaxia, qui en 2019 remportait l’appel à projets pour la transformation d’une partie de l’ancien Hôtel-Dieu à Paris, qui accueillera, entre autres, un centre de biotechnologie. Si Oxford loue un pays toujours à la pointe de la R&D dans le secteur de la santé, la France a surtout tiré les leçons de la crise du Covid. En octobre dernier, le gouvernement lance «France 2030», un plan d’investissements de 30 milliards d’euros pour rendre plus indépendante sa production et fait des sciences de la vie une de ses priorités. «Depuis, le secteur est en pleine croissance, avec déjà 1,6 milliard d’euros d’investissements en capital-risque déployé à destination des start-up de la biotechnologie, souligne Joachim Azan, le président de Novaxia. Mais le territoire fait face à une pénurie d’actifs pour abriter ces activités.» Développement de laboratoires, centres de recherche, incubateurs, usines de production pour entreprises de biotechnologie… «Nous nous concentrons sur des actifs tertiaires, friches, entrepôts ou bureaux en vacance d’utilisateurs, implantés autour d’hôpitaux, d’universités ou d’instituts de recherche, afin de les réhabiliter en lieux d’innovation spécifiques, poursuit-il. Nous avons signé trois projets en Ile-de-France d’un montant de 400 millions d’euros et constitué un ‘pipeline’ d’une valeur d’un milliard d’euros.» Avec cette opération, Novaxia, qui commercialise des fonds patrimoniaux de recyclage urbain, entre dans l’univers institutionnel. Jusque-là essentiellement tourné vers la transformation de bureaux en immeubles de logements, le spécialiste de la réhabilitation s’ouvre aussi à une nouvelle classe d’actifs encore peu disputée sur le territoire. «D’un côté, nous touchons un grand institutionnel en devenant son partenaire sur ce secteur spécifique, de l’autre, nous co-investirons à ses côtés.» Un véhicule grand public sera lancé à l’automne.
Il a rejeté la demande d’annulation de l’Union nationale des propriétaires immobiliers, de la Chambre nationale des propriétaires et de la Fnaim du Nord.
Le secteur de l’immobilier se décline en plusieurs segments parmi lesquels l’immobilier d’éducation reste encore méconnu du grand public malgré de nombreux avantages.
Selon une étude EY, plus de la moitié d’entre eux prévoient une diminution de la surface de leurs locaux jusqu’à 30%. En parallèle, le bureau doit se réinventer pour attirer à nouveau les employés.
L’agence économique du développement mauricien organise à partir d’aujourd’hui un roadshow de cinq villes de l’Hexagone pour les rencontrer. Objectif: les convaincre de faire investir leurs clients dans l’immobilier de l’île.
Ils s’établissent en moyenne à 1,30 % sur 15 ans, 1,50 % sur 20 ans et 1,70 % sur 25 ans selon Vousfinancer. Depuis le début de l’année, ils ont augmenté de 0,45%.
Les refus de financement explosent à cause des taux d’usure. Même en rognant massivement sur leurs marges, les courtiers ne parviennent pas à faire passer certains dossiers.
Alors que les zones rurales sont en pleine surchauffe, la hausse des prix marque le pas dans les grandes villes. Si la situation se contraste en Ile-de-France, Paris s’affiche toujours nettement en repli malgré des ventes en hausse.
Le marché continue d’être porté par les ventes de maison qui se font plus rares et donc plus chères. La région parisienne commence à retrouver un rythme plus normal.
Les conséquences de l’invasion russe ont aggravé une situation déjà très tendue pour les candidats acquéreurs. Les ventes ont chuté de près de 24% en mars sur le trimestre, en glissement annuel. Un phénomène qui concerne tout le territoire.