Preon Capital Partners, family office genevois et la Fongit, incubateur de start-up technologiques, lancent aujourd'hui à Genève leur propre fonds d’investissement Helvetica Smart Capital fund, annonce L'Agefi suisse
AccorHotels a annoncé ce mardi la signature d’accords avec un groupe d’investisseurs français et internationaux, dont Credit Agricole Assurances, en vue de la cession d’une majorité du capital de sa filiale immobilière AccorInvest.
A l’occasion de la publication jeudi matin de ses résultats 2017, Suez va annoncer une réorganisation de son comité exécutif, ont indiqué plusieurs sources à L’Agefi. Ce remaniement intervient après l’avertissement sur résultats émis le 23 janvier par le groupe de services à l’environnement et alors que l’intégration de GE Water, l’ancienne filiale de General Electric acquise l’an dernier pour 3,2 milliards d’euros, suscite des interrogations. Depuis l’annonce de cette acquisition le 8 mars 2017, le cours de Bourse de Suez a chuté de 17% alors que dans le même temps celui de Veolia, le premier concurrent de Suez, a gagné 25%.
La population active en Chine a atteint l’an dernier son niveau le plus bas depuis 2009, passant sous la barre du milliard pour la première fois depuis 2010, selon le Bureau national des statistiques. Les travailleurs chinois âgés de 15 à 64 ans étaient 998,3 millions en 2017, contre 1,0026 milliard pour le bilan précédent. Il s’agit de la plus importante chute du nombre d’actifs, dont la population a commencé à décliner en 2014.
Une équipe d’anciens spécialistes de la gestion alternative chez HSBC vient de lancer une boutique de gestion basée à Londres, Blue Noble LLP, spécialisée dans l’acquisition et la gestion d’investissements dans l’immobilier européen pour le compte d’une clientèle fortunée (HNWI), rapporte le site Investment Europe.L'équipe comprend Paul Forshaw, l’ancien responsable mondial de l’immobilier chez HSBC Alternative Investments, ainsi que Toby Evans, Harry Heathcoat Amory et Will Michell, qui étaient tous directeurs chez HSBC Alternative Investments.Le lancement intervient alors que Blue Noble a conclu un partenariat stratégique avec le suisse Woodman Group qui a engagé pour 50 millions de dollars d’actifs réels, 450 millions de dollars d’actifs réels diversifiés (bureaux et résidentiel) et 100 millions de dollars de capitaux.
La société de vidéos en streaming (à la demande) iQiyi, filiale du moteur de recherche chinois Baidu, a déposé une demande d’introduction en Bourse aux Etats-Unis. Le document réglementaire remis aux autorités américaines met en avant sa capacité à se servir de l’intelligence artificielle et des données des utilisateurs pour fournir des vidéos qui génèrent des milliards de vues. Baidu affirme qu’il introduirait iQiyi au Nasdaq et qu’il compte lever environ 1,5 milliard de dollars. Les analystes de Jefferies ont estimé la valeur de iQiyi à 17 milliards de dollars.
Le ministre grec de l’Economie et du Développement, Dimitri Papadimitriou, a remis hier sa démission dans la foulée du départ de son épouse, secrétaire d’Etat au travail, prise dans une affaire d’allocation logement. Dimitri Papadimitriou était notamment en charge des privatisations. Son départ intervient alors que des représentants des créanciers du pays (UE, FMI, BCE) sont à Athènes pour la «quatrième revue» du troisième, et possible dernier programme d’aide au pays. Selon la presse grecque, un remaniement devrait être annoncé demain.
Stéphane Tortajada, directeur financement et investissements du groupe EDF, nous fait part des investissements réalisés par son groupe, notamment en actifs réels au sein de son portefeuille dédié au démantèlement des centrales nucléaires. Ces derniers sont réalisés essentiellement en fonds propres, dans un champ géographique très large.
Rebondissement dans le dossier Sky. Le câblo-opérateur américain Comcast a annoncé mardi matin avoir fait une offre d’achat préliminaire de 22,1 milliards de livres (30,9 milliards de dollars) sur le groupe de télévision britannique, supérieure à l’offre initiale de 21st Century Fox, le premier actionnaire de Sky. Comcast propose 12,50 livres par action pour acquérir la totalité de Sky, soit plus que l’offre de 10,75 livres par action soumise par 21st Century Fox sur la participation de 61% qu’il ne détient pas encore. Les investisseurs s’attendaient déjà à ce que 21st Century Fox ait besoin de relever son offre, car l’action Sky se négociait à un prix supérieur à celle-ci. Mardi, en fin de matinée, le cours de l’action Sky gagne 20,64%, à 13,33 livres.
Le ministre grec de l’Economie et du Développement, Dimitri Papadimitriou, a remis sa démission dans la foulée du départ de son épouse, secrétaire d’Etat au travail, prise dans une affaire d’allocation logement. «Le Premier ministre Alexis Tsipras a accepté la démission du ministre de l’Economie Dimitri Papadimitriou», a simplement indiqué le cabinet du Premier ministre dans un communiqué. Dimitri Papadimitriou était notamment en charge des privatisations. Sa démission intervient alors que des représentants des créanciers du pays (UE, FMI, BCE) sont à Athènes pour la «quatrième revue» du troisième, et possible dernier programme d’aide au pays.
En 2017, le montant des transactions réalisés par des fonds souverains (qui comprennent les fonds souverains et les fonds de pension publics) a chuté de 24% pour atteindre 72,5 milliards de dollars en 2016, note un rapport de Thomson Reuters. Leur nombre est pour sa part passé de 183 en 2017 contre 198 en 2016. «De plus en plus [de fonds souverains] ont des difficultés à trouver de bons deals et certaines opérations de capital-investissement sont assez coûteuses, a justifié à Reuters Markus Massi, associé du Boston Consulting Group. Toujours selon l’expert, les fonds souverains privilégient dorénavant des opérations plus importantes et en «late stage», lesquelles permettent de conserver un dealflow acceptable, «comparé à dix plus petites opérations», par exemple. Pour Javier Capape, directeur du centre de recherche du Sovereign Wealth Lab à Madrid, ce phénomène s’explique également par les start-up qui retardent leur entrée en Bourse pour éviter l'érosion des valorisations, et aspirer davantage de capitaux privés : «Ils ne savent pas s’ils survivront à l’examen des marchés publics. Ils font donc des tours de plus en plus gros. " Un appétit pour le digital Au cours des dernières années, poursuit Thomson Reuters dans son rapport, les fonds souverains, en quête de rendements plus élevés, ont augmenté leur exposition aux actifs non cotés. A tel point d’ailleurs, que cette exposition dépasse chez certains fonds la limite prévue par leur allocation. Selon Reuters, le dernier rapport annuel sur les fonds souverains de la IE Business School a toutefois montré que ces opérations restent concentrées par une poignée d’acteurs clés, car elle nécessite des équipes fournies et spécialisées pour identifier, évaluer et exécuter les transactions. «La nécessité d’une expertise dans les marchés et actifs privés pour investir à l'étranger et déployer de grosses sommes en direct est une barrière d’entrée pour les autres fonds souverains», a déclaré Javier Capape, également co-auteur du rapport et directeur du Sovereign Wealth Lab. Parmi ces investissements, la technologie était le secteur le plus populaire, avec 26,1% du total des transactions au premier semestre 2017 (contre 24,3% en 2016). De plus en plus de fonds souverains injectent de l’argent dans des start-up spécialistes de la technologie comme Airbnb et Uber, mais aussi dans l’intelligence artificielle et la réalité virtuelle. L’immobilier a pour sa part compté pour 23,9% des transactions au premier semestre 2017, contre 21,5% en 2016. L’acquisition par le fonds souverain chinois China Investment Corporation (CIC) du groupe d’entrepôts paneuropéen Logicor a été la plus importante au premier semestre 2017, avec une valeur de 13,8 milliards de dollars. Les entreprises de logistique ont également suscité un fort intérêt car permettent de profiter de la croissance d’entreprises comme Amazon, qui utilisent des entrepôts massifs comme centres de distribution. Le logement des étudiants et les immeubles de bureaux de haute qualité sont également restés populaires auprès des fonds souverains.
Cogefi Gestion, which has been led since 2016 by Anne d’Anselme, is seeking to develop serbing external clients at the Cogefi group. The director explains to NewsManagers how she plans to increase market share serving institutionals and multi-managers, and to open internationally by innovating, including the creation of a Luxembourg Sicav.
S&P Global Ratings a relevé vendredi soir la note de la dette à long terme de la Russie en catégorie «investissement» (BBB- contre BB+), alors que cette note était depuis 2015 en catégorie spéculative. L’agence américaine, qui a attribué une perspective stable à la nouvelle note, explique sa décision par l’amélioration de la situation économique et budgétaire du pays. Ce relèvement intervient à moins d’un mois de l'élection présidentielle du 18 mars, pour laquelle le président sortant Vladimir Poutine est considéré comme le grand favori.
Le Fonds de garantie des dépôts et de résolution délègue l'intégralité de sa gestion financière à des sociétés de gestion, explique Thierry Dissaux, président du directoire du FGDR dans un entretien à Option Finance. Celles-ci se doivent de respecter une allocation majoritairement monétaire, mais aussi de nombreuses contraintes en termes d’émetteurs éligibles, de notation, ou encore de diversification.
Avec une trésorerie fortement amoindrie par des versements réguliers à destination d’Unicef International, le comité français d’Unicef cherche avant tout à placer les dons issus de la générosité du public en “bon père de famille”. Si son allocation est composée depuis la crise financière de 2008 de comptes à termes, livrets associatifs, et contrats de capitalisation, l’association ne s’interdit pas de revenir à des placements plus rémunérateurs. A condition qu’ils demeurent sécurisés et liquides.
AXA annonce avoir publié le 23 février au Bulletin des annonces légales obligatoires les résolutions que le conseil d’administration soumettra à la prochaine assemblée générale annuelle des actionnaires, le 25 avril 2018 à 14h30 au Palais des Congrès à Paris. Outre l’approbation d’un dividende en augmentation à 1,26 euro, sera notamment proposé à l’assemblée la nomination en tant qu’administratrices de Patricia Barbizet et Rachel Duan en remplacement d’Isabelle Kocher (directrice générale d’Engie) et Suet Fern Lee dont le mandat arrive à échéance à l’issue de la prochaine assemblée. Patricia Barbizet a été directrice générale d’Artémis, la société d’investissement de la famille Pinault, dont elle demeure aujourd’hui administrateur. Elle est également vice-présidente du conseil d’administration de Kering et administrateur référent de Total. Rachel Duan a débuté sa carrière chez GE en 1996 et occupe actuellement les fonctions de « président » et directrice générale de GE China et « président » et directrice générale de GE Healthcare China. Le mandat de Denis Duverne, Thomas Buberl, et André François-Poncet devraient pour leur part être renouvelé.
Karen Azoulay, responsable de la dette d’infrastructure au sein de BNP Paribas Asset Management (BNPP AM), précise le positionnement de son établissement dans un contexte où l’Etat privilégie la rénovation des infrastructures existantes et souhaite faire davantage appel aux financements privés. L’accompagnement des collectivités locales dans les projets liés au déploiement du très haut débit est notamment ciblé.
Ayant pour dessein principal de “donner du sens à son travail”, Thierry Barthélémy a toujours cherché à allier finance et humanitaire avec clairvoyance. Un cocktail qui l’a amené à voyager au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie, afin de contribuer de façon concrète à la lutte contre les fléaux humanitaires. Aujourd’hui épanoui au poste de directeur financier d’Unicef France, cet adepte de la méditation et de la course à pied n’exclut pas de retourner travailler à l’étranger un jour.
Iznes, la plateforme internationale d’achat et de vente d’OPC (organismes de placement collectif) européens en blockchain, a annoncé, ce 22 février, avoir mené avec succès sa première levée de fonds, sans toutefois en préciser le montant. Dans ce cadre, 5 sociétés de gestion, qui participent depuis plusieurs mois aux travaux de développement de la solution, rejoignent OFI AM et SETL, la fintech spécialiste de la blockchain, au capital d’Iznes. Ces 5 sociétés sont Arkea IS, Groupama AM, La Banque Postale AM, La Financière de l’Echiquier et Lyxor AM. Cette opération, qualifiée de « stratégique » par Iznes, intervient quelques semaines après la validation opérationnelle sur des transactions réelles de la solution d’achat et de vente de parts d’OPC en blockchain. Cette levée de fonds « donne à la société les moyens et l’appui nécessaires à la phase de déploiement et de production prévue en 2018, en France et au Luxembourg », indique Iznez dans un communiqué.Pour cette phase, 13 nouvelles sociétés de gestion rejoignent officiellement le projet en tant que contributeurs au développement de la plateforme. Il s’agit d’AllianzGI, Amundi, Aviva Investors, BDL Capital Management, BNP Paribas AM, Candriam Investors Group, La Française, Lazard Frères Gestion, Mandarine Gestion, Natixis AM, Pléiade AM, SMA Groupe et, enfin, Sycomore AM. « Ces sociétés de gestion disposent de modèles économiques ainsi que de typologies de produits et de clients différents, garantissant ainsi l’adéquation de l’offre d’Iznes avec les besoins tant des clients que des sociétés de gestion sur l’ensemble du marché européen », estime la plateforme. « Avec près de 20 sociétés de gestion, représentant plus de 5.000 milliards d’euros d’encours sous gestion, Iznes dispose désormais d’un soutien fort du marché et devient une solution de place incontournable », juge pour sa part Pierre Davout, président d’Iznes.
Iznes, la plate-forme internationale d’achat et de vente d’OPC (organismes de placement collectif) européens en blockchain, a annoncé ce jeudi avoir mené avec succès sa première levée de fonds. Dans ce cadre, cinq sociétés de gestion qui participent depuis plusieurs mois aux travaux de développement de la solution, rejoignent OFI AM et la fintech Setl au capital de la plate-forme: il s’agit d’Arkéa IS, de Groupama AM, de La Banque Postale AM, de La Financière de l’Échiquier et de Lyxor AM.
Barclays a annoncé jeudi matin son intention de plus que doubler son dividende en 2018, bien que la banque britannique ait accusé une perte nette au titre de l’exercice 2017 en raison d’une faible performance de sa banque d’investissement et d’une charge liée à la réforme fiscale américaine. L’action gagnait encore 5% à la mi-journée à Londres.
Prudence. Le soutien de la liquidité continue de diminuer, selon Schroders. Son indice de liquidité financière mondiale, construit à partir de la croissance de M2, a accentué sa baisse l’an dernier, ce qui inquiète la société de gestion britannique. Une inquiétude d’autant plus grande que cette décélération intervient au moment où le soutien des politiques monétaires commence à diminuer. Pour la première fois depuis 2008, on constate une contraction du crédit aux entreprises aux Etats-Unis (le dollar représente 28 % de l’indicateur). La situation de la Chine (30 % de l’indice) inquiète, car le crédit y est un moteur essentiel de la croissance. Il faut 7 renminbi de crédit pour créer 1 renminbi de PIB. Ce n’est pas tenable, selon les gestionnaires de Schroders pour qui le pays dispose néanmoins de suffisamment de liquidités, pour soutenir l’endettement. Une telle décélération globale peut être interprétée comme
À l'occasion de sa participation aux Coupoles Distrib Invest, Roni Michaly, président directeur général de la société de gestion strasbourgeoise Financière Galilée, explique sa méthode de sélection de fonds et de gestion. Il annonce notamment la création d'un nouveau fonds de fonds ou encore l'ajout de 219 fonds sur la watch list de la société.
La fintech Iznes annonce avoir bouclé sa première levée de fonds, sans toutefois en dévoiler le montant. Dans ce cadre, 5 sociétés de gestion, qui participent depuis plusieurs mois aux travaux de développement de la solution, rejoignent OFI AM et SETL, la fintech spécialiste de la blockchain, au capital d’Iznes : Arkéa IS, Groupama AM, La Banque Postale AM, La Financière de l’Échiquier et Lyxor AM
A l'occasion de la présentation de ses résultats annuels, CNP Assurances a réaffirmé ses ambitions en termes d'investissement dans l'économie réelle, mais aussi en faveur de la transition énergétique et écologique.
Le gérant de hedge funds Brevan Howard Asset Management procède à une scission de ses opérations de back office pour créer une plateforme qui pourra accueillir les hedge funds concurrents, rapporte Financial News. La nouvelle activité devrait constituer une nouvelle source de revenus pour Brevan Howard, dont les actifs sous gestion s'élevaient l’an dernier à seulement 13 milliards de dollars après avoir culminé à 40 milliards de dollars en 2013.L’initiative intervient alors que les sociétés de gestion dans leur ensemble sont de plus en plus nombreuses à réduire leurs coûts fixes en externalisant certaines fonctions comme la déontologie ou la gestion du risque à des sociétés externes. Selon des personnes proches de la transaction, Brevan Howard espère ainsi attirer quelque 10 milliards de dollars.Les activités de back office de Brevan sont actuellement basées à Jersey où la société compte une cinquantaine de collaborateurs. Le responsable des opérations, Jey Mehmet, qui quitte ses fonctions en avril, prendra la direction générale de la nouvelle entité qui n’a pas encore de nom.
En 2014, Aviva France a lancé un fonds d’« impact investing ». Plus de la moitié des 30 millions d’euros d’encours sont aujourd’hui investis. Pour son directeur des investissements, Philippe Taffin, il est possible d’y trouver une rentabilité satisfaisante tout en ayant de l’impact positif sur l’économie et la société. Avec l’aide d’Inco, ils investissent dans des petites entreprises qui ont fait la preuve de leur pérennité, avec l’objectif de leur permettre de croître. Philippe Taffin ne néglige pas les coûts que génère cette gestion qui demande du temps et de l’analyse sur une multitude de dossiers, car les tickets d’entrée sont limités. Il est conscient que cela est un frein à la présence des investisseurs institutionnels sur le secteur, qui craignent les effets sur la rentabilité finale. Le marché doit apporter une réponse adaptée, insiste-t-il.