Fideuram Intesa Sanpaolo Private Banking (ISPB) va bâtir un centre européen pour la gestion de fortune en Suisse, a indiqué le directeur général Paolo Molesini, dans une interview à Il Sole – 24 Ore citée par Bluerating. La banque privée du groupe Intesa Sanpaolo espère que la Suisse représentera 10 % de la collecte de 54 milliards d’euros prévue pour les prochaines années. Le point de départ de la croissance en Suisse a été l’acquisition du groupe bancaire Morval Vonwiller. Cette structure intègrera Intesa Sanpaolo Private Banking Suisse, en en adoptant le nom, et chapeautera la filiale de Londres.
Franklin Templeton Investments a nommé Caroline Baron en tant que responsable commercial ETF pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique, rapporte Investment Week. Il s’agit d’un poste nouvellement créé. Cela intervient alors que le groupe vient de lancer sa gamme LibertyShares à Francfort et Londres. Caroline Baron vient d’Invesco PowerShares où elle était responsable de la distribution au Royaume-Uni et se focalisait sur les stratégies smart-beta.
La société de gestion quantitative française Tobam et le gestionnaire d’actifs chinois China Asset Management Company (ChinaAMC), ont annoncé ce 7 mars la conclusion d’un partenariat stratégique ayant pour objectif de développer la stratégie «Anti-Benchmark» de TOBAM, sur le marché des actions chinoises A. L’annonce de ce partenariat intervient alors que les actions chinoises de catégorie A intégreront d’ici juin 2018 les indices marchés émergents MSCI, créant de fait un intérêt grandissant de la part des investisseurs pour des stratégies « core » sur cet univers d’investissement, souligne un communiqué.Les stratégies Anti-Benchmark Chine auront pour vocation de maximiser la diversification sur l’univers des actions chinoises CSI (la stratégie sera disponible sur les univers CSI 300, CSI 500 et CSI 800), en appliquant l’approche brevetée Maximum Diversification de Tobam. Ce processus de gestion original et breveté permet d’éviter les biais inhérents aux méthodes d’allocation plus traditionnelles, telles que les stratégies basées sur les indices capi-pondérés. Le partenariat permettra de combiner d’une part l’expertise et l’accès privilégié au marché chinois de ChinaAMC, et d’autre part, l’approche propriétaire Maximum Diversification de Tobam, ainsi que ses capacités de recherche.Comme pour les autres marchés, l’implémentation de l’approche Maximum Diversification aux marchés d’actions chinoises de catégorie A vise à collecter la totalité de la prime de risque associée à cette classe d’actifs via la diversification, avec comme objectif de délivrer à la fois une performance supérieure et une volatilité inférieure par rapport aux indices capi-pondérés, explique la société. « Les clients chinois montrent de l’intérêt pour les approches de gestion de type Smart Beta et nous pensons que le potentiel de croissance de ces stratégies est important. Nous cherchons aujourd’hui à développer des stratégies Smart Beta pour le marché chinois fondées sur des mesures de risque appropriées », explique M. Xiaodong Tang, PDG de ChinaAMC, cité dans le communiqué.« Nous sommes fiers de nous associer à ChinaAMC afin d’appliquer pour la première fois notre approche Maximum Diversification aux actions chinoises de catégorie A», commente pour sa part Yves Choueifaty, président de Tobam.
Souvent mal perçue, cette logique de financement sur mesure adoptée par certains acteurs du capital-investissement n’est toutefois pas dénuée d’atouts.
L’ancien président du Conseil italien Silvio Berlusconi (Forza Italia) déclare mercredi dans une interview soutenir les efforts du chef de la Ligue (extrême droite), Matteo Salvini, pour former le prochain gouvernement. «Dans le respect total de nos accords, nous soutiendrons loyalement les efforts de Salvini pour former un gouvernement», a déclaré Silvio Berlusconi dans une interview au Corriere della Sera. «Pour ma part, en tant que chef de FI (Forza Italia), je suis là pour le soutenir, pour garantir la solidité de la coalition et pour tenir nos engagements auprès des électeurs», ajoute-t-il.
L’organe central du Crédit Mutuel a demandé l’élaboration d’une charte pour encadrer les votes à venir des caisses locales sur le projet d’indépendance du groupe.
L’ancien président du Conseil italien Silvio Berlusconi (Forza Italia) déclare mercredi dans une interview soutenir les efforts du chef de la Ligue (extrême droite), Matteo Salvini, pour former le prochain gouvernement. «Dans le respect total de nos accords, nous soutiendrons loyalement les efforts de Salvini pour former un gouvernement», a déclaré Silvio Berlusconi dans une interview au Corriere della Sera. «Pour ma part, en tant que chef de FI (Forza Italia), je suis là pour le soutenir, pour garantir la solidité de la coalition et pour tenir nos engagements auprès des électeurs», ajoute-t-il.
Près d’un mois après la destitution de Pascal Pigot à la tête d’Unéo, le conseil d’administration de la mutuelle a décidé à l’unanimité de le remplacer par** Quentin Bériot**, révèle l’Argus de l’Assurance. Émise sur proposition du président d’Unéo Jean-François Furet-Coste cette nomination sera effective à compter de ce vendredi 9 mars. Âgé de 45 ans, Quentin Bériot est diplômé de l’IEP de Grenoble et de l’IAE de Paris. Il a commencé sa carrière dans le conseil pendant 6 ans avant d’entrer dans le monde paritaire. Arrivé au sein du groupe de protection sociale Apicil en 2003, d’abord à la direction de l’organisation puis à la direction du GIE informatique, il devient ensuite directeur général d’Ipsec Prévoyance (2011-2014) avant de rejoindre Covéa en 2014 pour développer l’activité d’assurance collective puis comme directeur de l’innovation et des opérations santé et prévoyance.
Depuis 4 ans, Malakoff Médéric accélère ses investissements dans les actifs non cotés, présentant une duration longue et quasi similaire à celle de son passif. Anne Courrier, directrice des investissements de l’institution, nous décrit les équipes dédiées à la gestion de ces actifs et leurs risques inhérents, lesquels permettent toutefois de capter un surcroît de rendement important pour le groupe. Elle participera le 30 novembre prochain à la Journée Nationale des Investisseurs.
En vue de son projet d’entreprise " Horizon 2020 ", Harmonie Mutuelle a recomposé son comité de direction générale. Dirigé par Catherine Touvrey, directrice générale de l’institution, ce nouveau comité regroupe ainsi 5 directions nationales et 6 directions en charge d’une région opérationnelle. Laurence Henriet-Germain est de ce fait nommée à la direction Performance et Assurance, visant à renforcer le pilotage de la performance opérationnelle et économique de l’entreprise mutualiste. Elle coordonne la direction maîtrise de la performance, la direction finances, la direction maîtrise des risques et la direction technique. Les autres directions nationales seront placées entre les mains de Christian Ruetsch (directeur Développement et Accompagnement), François Couton (pôle Opérations et Transformation), Caroline Lebrun (directrice Engagement et coopérations), Bruno Duval (direction Société et solidarité). Les directions régionales seront quant à elles sous la responsabilité de Lionel Fournier (Atlantique), Jocelyn Cathala (Bretagne-Normandie), Virginie Malnoy (Centre, Ile-de-France et Hauts-de-France), Eric Blanc-Chaudier (Nord-Est), Catherine Pradère (Sud-Est) et Stéphane Kergoulay (Sud-Ouest).
Elliott Management contrarie les plans de Vivendi chez Telecom Italia. Selon Bloomberg et La Repubblica, le fonds américain a acquis une participation de 6% dans Telecom Italia, l’opérateur de télécoms dont Vivendi détient 23,943% du capital. L’activiste serait prêt à présenter plusieurs résolutions lors de l’assemblée générale de Telecom Italia du 24 avril. Telecom Italia, Vivendi et Elliott ne font aucun commentaire.
La baisse de l’impôt sur les sociétés devrait améliorer leur rentabilité et leur qualité de crédit, sur fond de tensions sur les rendements et les flux.
Axa a conclu un accord pour acquérir le groupe américain XL pour 12,4 milliards d’euros donnant naissance au leader mondial de l’assurance dommages des entreprises toutes lignes de métier confondues. L’association des deux groupes permet de dégager un chiffre d’affaires (en 2016) d’environ 30 milliards d’euros et de près de 48 milliards d’euros pour l’ensemble de l’activité dommages. AXA va faire évoluer son profil d’activité d’une entreprise majoritairement présente sur la vie, épargne, retraite vers un acteur dont l’assurance dommages devient le métier principal. « Cet accord représente une création significative de valeur sur le long terme pour l’ensemble des parties prenantes grâce à une plus grande diversification des risques, un potentiel accru de remontée de trésorerie au groupe ainsi que de meilleures perspectives de croissance. Le profil de risque du futur groupe AXA sera fortement rééquilibré vers les risques assurantiels, avec une plus faible exposition aux risques financiers », explique Thomas Buberl, directeur général d’AXA, cité dans un communiqué. Axa indique que ce rachat génèrera également d’importants bénéfices de diversification en capital sous Solvabilité II, ainsi qu’un retour sur investissement élevé. Fondé en 1986, le Groupe XL est un des leaders mondiaux de l’assurance dommages des entreprises et de spécialités, opérant à travers un réseau mondial. Il a généré 15 milliards de dollars de primes en 2017 et emploie environ 7 400 personnes à travers le monde. Il dispose d’une forte présence sur les segments de spécialités et ceux des entreprises de taille moyenne via ses services d’assurance et de réassurance. Avec cette acquisition, AXA va revoir sa stratégie vis à vis de ses activités américaines existantes, dont il prévoit désormais d’accélérer le désengagement.
A la tête depuis janvier 2018 de la direction de la recherche nouvellement créée par La Banque Postale Asset Management (LBPAM), Iain Bremner revient pour NewsManagers sur la genèse de cette nouvelle structure. Après avoir renforcé son équipe d’analyse crédit, le responsable annonce son intention de constituer prochainement une équipe d’analystes actions de 2 ou 3 personnes. Il explique aussi pourquoi LBPAM a décidé de refacturer le coût de la recherche à ses clients, un gage de transparence totale à ses yeux.
Pour renforcer son action dans le domaine du capital-investissement, les caisses régionales de Crédit Agricole et Crédit Agricole S.A. viennent de s’engager pour la dotation d’un fonds, Crédit Agricole Régions Développement (CARD), à hauteur de 300 millions d’euros, a annoncé le groupe dans un communiqué. «L’objectif de ce fonds est d’accompagner, dans la durée, la dynamique de croissance de ses clients ETI et PME, notamment par l’intensification d’interventions en capital développement et en capital transmission, le tout dans une logique de ‘capital-accompagnement’ minoritaire», explique le groupe. CARD peut investir entre 1 million d’euros et 35 millions d’euros en participation minoritaire par dossier, dans une logique de co-investissement avec les Sociétés de Capital Investissement en Région (SCIR) des caisses régionales du Crédit Agricole. Cela permet d’atteindre 50 millions d’euros, soit un niveau significatif pour des investissements minoritaires dans les ETI. Le dispositif de capital investissement du groupe Crédit Agricole comprend à ce jour plus de 3,5 milliards d’euros sous gestion directe entre ses trois profils d’investisseurs (régional avec les SCIR, national sur fonds propres avec IDIA Capital Investissement et national sur fonds pour compte de tiers avec AMUNDI PEF). Au global, avec ses filiales Amundi (fonds de fonds) et CA Assurances, ce sont plus de 15 milliards d’euros qui sont investis en capital dans les entreprises et l’économie française. Crédit Agricole Régions Développement (CARD) est une structure d’investissements diversifiés qui intervient dans tous les secteurs d’activité hors agri/agro. Elle est gérée par IDIA Capital Investissement, société de gestion du groupe Crédit Agricole.
Les investisseurs institutionnels ont tendance à investir dans des sous-jacents de dette privée de moins en moins traditionnels, selon Deborah Shire, responsable de l’expertise Structured Finance chez AXA IM. Pour limiter le risque lié à ces actifs, il est, selon elle, nécessaire de s’entourer d’une équipe capable de sourcer les projets, et de réfléchir à une diversification internationale. Elle a participé le 30 novembre dernier à la Journée Nationale des Investisseurs.
De la même manière que l’an dernier, les thématiques de financement, de gestion des risques et d’optimisation des outils de trésorerie occuperont cette année l’esprit des trésoriers d’entreprise, explique Option Finance dans un dossier spécial. Des problématiques traditionnelles toutefois agrémentées de nouveaux développements macroéconomiques, tels que la remontée des taux dans la zone euro et aux Etats-Unis qui se réalise, les fluctuations de la parité euro-dollar ou encore de nombreuses cyberattaques ciblant ETI et grands groupes. Cette année sera par ailleurs marquée par la montée en puissance de la digitalisation en trésorerie, et de l’intelligence artificielle notamment en matière de pilotage du cash. La remontée des taux d’intérêt (l’OAT 10 ans est passé de 0,78 % à 0,95 %) amenée à se poursuivre a notamment ouvert le pas à des démarches opportunistes. «Même si nous n’avons pas d’échéances imminentes, nous avons bouclé en début d’année un financement bancaire et restons attentifs aux divers marchés afin de pouvoir saisir une éventuelle opportunité», a ainsi indiqué à Option Finance Mikaël Lehmann, responsable financement et trésorerie du groupe LISI. Mais cette dynamique haussière des taux conduit également les trésoriers à s’interroger sur le profil de leur dette actuelle. «A ce jour, un peu plus de la moitié de notre endettement est à taux variable, souligne Nicolas Deruaz, directeur de la trésorerie d’Atos. Afin de limiter l’effet de la hausse des taux sur nos frais financiers, nous pourrions recourir à des produits dérivés pour figer ces derniers.» La gestion du risque de change se complique Comme chaque année, la gestion du risque de change ressort elle aussi comme l’une des priorités des trésoriers. Si la plupart des devises font preuve de stabilité depuis plusieurs mois, la parité la plus importante pour l’essentiel des entreprises, à savoir l’euro-dollar, est passée au début de l’année de 1,20 à 1,23 dollar, après un pic à 1,25 dollar en février. Cette appréciation est d’autant plus problématique que l’exposition de nombreux groupes à cette parité a eu tendance à croître significativement au fil des dernières années. «Afin d’obtenir des cours à terme plus favorables et plus proches de notre cours-budget, en complément de notre portefeuille d’instruments actuel, nous pourrions être amenés à mettre en place des produits optionnels structurés de type accumulateurs, que nous n’utilisions plus depuis plusieurs années», expose Mikaël Lehmann. Afin de restreindre l’exposition au risque de change, les trésoriers envisagent en outre de prendre des mesures pérennes et travaillent conjointement avec les équipes opérationnelles sur une modification du contenu des contrats commerciaux (changement de la devise de règlement au profit de l’euro, instauration de clauses prévoyant un ajustement du prix en fonction des parités…). Vers un essor de l’intelligence artificielle ? Par ailleurs, si les actions de sensibilisation du personnel se sont multipliées auprès des collaborateurs pour éviter les cyberattaques, l’amélioration des systèmes d’information des trésoriers apparaît pour ces derniers comme un axe primordial de développement. «Après avoir renouvelé nos systèmes d’information, nous allons nous atteler à l’amélioration de nos prévisions de trésorerie, prévoit ainsi Bruno Chaudron, directeur des opérations de marché et du suivi des financements de Vicat. Cette tâche va se traduire par une remise à plat de nos indicateurs, avec l’objectif final d’avoir une visibilité sur nos positions de cash à plus long terme, c’est-à-dire au-delà de six mois.» Pour y parvenir, de nombreux responsables financiers entendent s’appuyer sur les technologies en plein essor, en particulier le big data et l’intelligence artificielle. «Celles-ci permettent en effet de collecter des informations pertinentes en abondance, tant en interne qu’en externe, ce qui est de nature à offrir aux collaborateurs davantage de capacités d’analyse», apprécie Domingos Antunes, trésorier groupe chez Decathlon.
Getlink a un nouvel actionnaire de référence. Le groupe italien Atlantia a annoncé vendredi avoir acquis 15,49% du capital de l’opérateur du tunnel sous la Manche (26,66% des droits de vote), au prix de 12,40 euros par action, soit un montant de 1,056 milliard d’euros. La prime par rapport au dernier cours coté s'élève à 20%. L’action Getlink a fini en hausse de 11,54% à la Bourse de Paris à 11,64 euros.
Le gestionnaire d’actifs français Carmignac a présenté un projet de doubler les niveaux de levier prévus dans son fonds phare Carmignac Patrimoine qui pèse autour de 22 milliards d’euros, rapporte Citiwyre. Le niveau de levier du fonds est augmenté de 200% à 500%. Le media rappelle que cette décision intervient après une année décevante pour le fonds. Une relation que Carmignac dément. «L’annonce intervient alors que le groupe anticipe un changement dans les politiques monétaires des Banques centrales qui devraient se normaliser. Carmignac, en tant que gérant actif, souhaite se doter des outils adaptés dans ce nouvel environnement via des dérivés de taux d’intérêt et de change à des fins de gestion des risques, a expliqué une porte-parole de Carmignac à NewsManagers. Les montants nominaux bruts de ces dérivés étant plus élevés, cela explique la décision d’accroître le niveau de levier». Ces projets ont été annoncés dans une lettre aux porteurs le 26 février. L’augmentation du niveau de levier ne modifie pas le profil de risque du fonds ni sa philosophie et son process d’investissement.
Yuri Narozniak remplacera Gérard Joalland au poste de directeur général de Groupama d’Oc, à son départ le 1er avril 2018. Il rejoint Groupama d’Oc en tant que directeur général délégué à partir du 1er mars 2018, nous apprend l’Argus de l’Assurance. Diplômé de l’Institut d'Études Politiques de Paris – section Service Public -, et âgé de 50 ans, Yuri Narozniak entre au Gan en 1989 comme CSNE (coopérant au service national en entreprise) à Hong Kong avant de rejoindre la direction internationale deux ans plus tard comme chargé d’affaires internationales. En 1995 il est nommé délégué adjoint du Gan à Hong Kong, puis délégué général Hong Kong, Chine et Vietnam. De 1999 à 2005, il exerce la fonction de secrétaire général de Gan Italia à Rome. En mai 2005, il rejoint Gan Patrimoine pour occuper le poste de directeur du Développement. En janvier 2008, il est nommé directeur général adjoint de Gan Patrimoine, et également, à compter de janvier 2010, responsable des Affaires générales, Contrôle réseaux, Marketing et Innovation de Gan Réseaux spécialisés (Gan Patrimoine, Gan Prévoyance). En novembre 2011, il devient directeur général adjoint Assurance & développement de Groupama-Avic Property Insurance Co, Ltd en Chine. En juillet 2014, il est nommé directeur général adjoint de Groupama Assicurazioni, avant d’en prendre la direction générale en septembre 2016.
Les mutuelles françaises continueront de perdre des parts de marché, prévoit Fitch Ratings dans une analyse sectorielle. En cause, des coûts réglementaires élevés, menaçant leur compétitivité face aux assureurs traditionnels et aux bancassureurs. Souvent de plus petite taille que ces derniers, il est compliqué pour les mutuelles de faire face à ces évolutions, tant d'un point de vue financier qu'opérationnel.
L'Autorité européenne des assurances et des pensions professionnelles (Eiopa) a soumis son deuxième et dernier avis à la Commission européenne concernant la simplification de la formule standard de Solvabilité 2. Souhaitant répondre à l'évolution du secteur du monde de l'assurance et macroéconomique, l'Eiopa recommande la révision de calibrages, des simplifications, mais aussi une plus grande convergence prudentielle.
BNP Paribas est en train de réduire de près de moitié le comité exécutif de ses activités de marchés en Europe, Moyen-Orient et Asie (EMEA), a annoncé à Bloomberg Olivier Osty, responsable mondial global markets de la banque française. Il va lui-même assurer la direction directe des opérations dans la région, tandis que l’actuel responsable EMEA, Pascal Fischer, va prendre la tête des activités de marchés en Asie-Pacifique.
Le family office genevois Preon Capital Partners et la Fongit, incubateur de start-up technologique, lancent ce 1er mars à Genève leur propre fonds d’investissement Helvetica Smart Capital fund, annonce L’Agefi suisse. Doté d’un montant de 50 millions de francs suisses, ce fonds comblera la «vallée de la mort» pour le financement de start-up technologiques dont les besoins de cash sont importants, de l’ordre de 1 à 2 millions de francs. En effet, dans le cycle de vie d’une start-up, cette phase de financement (A-round) intervient après le pre-seed (de l’ordre de 50.000 à 150.000 francs) et le seed (de l’ordre de 150.000 à 500.000 francs) et elle fait cruellement défaut en Suisse et en Europe, affirme le journal. Lors de deux premières phases, surtout seules les institutions publiques à but non lucratif interviennent, complétées par les business angels. Ce fonds d’investissement soutiendra les projets de l’Arc lémanique avec un focus sur le A-round et toute la connaissance des étapes situées en amont au cours de laquelle la Fongit est partie prenante. «La Fongit se portera garante de la qualité des projets et interviendra comme advisor du fonds Helvetica Smart Capital fund», confirme Antonio Gambardella, directeur de la Fongit depuis 2014. Au cours des 4 années sous sa direction, les start-up incubées à la Fongit ont pu bénéficier d’environ 150 millions de francs de soutien de la part de fonds privés, parmi lesquels une trentaine d’investisseurs privés et de family offices issus du réseau de la Fongit.
There has been a new appointment at Amundi, and a new departure. The French asset management firm yesterday announced that Cristina Matti has been appointed as head of European small & mid cap equities and country strategies. According to information obtained by NewsManagers, the appointment follows the departure of Caroline Gauthier, who is had been sharing the position with Matti since the merger with Pioneer. Gauthier is expected to join La Financière de l’Echiquier, NewsManagers has learnt.The French group thus faces a new exit from equity management, following that of Romain Boscher, co-head of European equity management. “The departures are very often Amundi veterans who have had to share their responsibilities since the merger with Pioneer,” says a source at the group, who suggests that other departures may be coming soon in equity and diversified management. Although the Italian group is smaller in asset volume, the control that it is reported to have been given over the organisation, strategy and management committees is said to have triggered discontent among some former Amundi employees.Most of the managers concerned have accepted voluntary retirement plans to negotiate their exits. With the merger, about 134 positions are expected to be eliminated in France. The group is reported to have announced a departure plan which would affect a total of 500 positions worldwide. But in the management activity, it has been meanwhile decided to set up expsrt centres, which will cost Paris its central position in the group for some of these areas. European equity management is now led by Fabio Franzin, who is based in Ireland. According to information obtained by NewsManagers, 400 requests for voluntary retirement are said to have been made in France alone. “But the group is not satisfied, since there were not enough applications on the management side. The ones who want to leave this activity are mostly welcome anyway, with a few exceptions,” the source says.The departure plan being negotiated is reported to be attractive. It offers up to 27 months of salary, or one paid year of salary in cases of business creation. But talks are often bitter, one witness says: some heads who want to leave are said to have had stock options when Amundi was launched on the stock market, which had to be held for at least three years before being exercised. Meanwhile, to retain the best managers at Pioneer, Amundi is reported to have agreed in the merger deal to pay guaranteed bonuses for two years.In a recent interview with Financial News, Yves Perrier, CEO, does not conceal the fact that he “chose the teams that had the best performance over the past four years, and as a result, we are offering voluntary departure to the others.”