Spécialisé dans les technologies électroniques destinées à améliorer la sécurité automobile et à faciliter le développement de la conduite autonome, Veoneer a annoncé ce matin qu’il cherchait à lever jusqu’à 500 millions de dollars (448 millions d’euros) par le biais d’une augmentation de capital pour financer son développement. Issu de la scission d’une partie des activités d’Autoliv l’an dernier, le groupe suédois a fait était d’une perte de 1,57 dollar par action au premier trimestre 2019 contre une perte de 1,19 dollar attendue en moyenne par le consensus des analystes.
Le rebond des défaillances d’entreprises s’est poursuivi au premier trimestre en France, mais à un rythme bien moindre qu’aux deux trimestres précédents, selon des données Euler Hermes. Elles ont progressé de 0,3% par rapport aux trois premiers mois de 2018, après des hausses de 3,4% et 6,4% aux quatrième et troisième trimestres 2018, précise-t-il, en expliquant ce rebond par la stagnation de la demande des ménages et le recul des marges des entreprises. Pour 2019, l’assureur crédit prévoit toujours une hausse de 2% des défaillances.
Le rebond des défaillances d’entreprises s’est poursuivi au premier trimestre en France mais à un rythme nettement moindre qu’aux deux trimestres précédents, selon des données publiées aujourd’hui par Euler Hermes. Elles ont progressé de 0,3% par rapport aux trois premiers mois de 2018, après des hausses de 3,4% et 6,4% aux quatrième et troisième trimestres 2018, précise-t-il en expliquant ce rebond par la stagnation de la demande des ménages et le recul des marges des entreprises. Pour 2019, l’assureur crédit prévoit toujours une hausse de 2% des défaillances.
Suez a annoncé avoir renégocié son principal crédit syndiqué, dont la taille a été portée de 1,5 à 2,5 milliards d’euros et la maturité étendue de février 2021 à avril 2024. « Pour la première fois de son histoire, Suez a choisi d’indexer le coût d’un instrument de financement sur des indicateurs de performance environnementaux et sociaux, issus de sa feuille de route développement durable pour la période 2017-2021 », ajoute le groupe.
Le montant des actions Rallye nanties auprès des banques pour couvrir des lignes de crédit a fortement augmenté en 2018. Au 31 décembre, 26,92 millions d’actions Rallye faisaient ainsi l’objet de nantissements, soit 50% du capital de la holding de tête de Casino, indique le rapport annuel 2018 de Rallye publié hier sur le site de l’Autorité des marchés financiers. Fin 2017, le niveau de nantissement était de 40%.
Japan Display va passer sous le pavillon d’un consortium formé par le fabricant taïwanais d'écrans TPK Holding et la société chinoise d’investissementHarvest Group, qui vont y injecter jusqu'à 80 milliards de yens (620 millions d’euros) contre une participation de 49,8% au capital du fabricant japonais d'écrans. Cette opération fait partie d’un plan de renflouement de 232 milliards de yens destiné à sauver Japan Display après l'échec des plans précédents. L’opération pourrait faire l’objet d’un examen aux Etats-Unis pour des raisons de sécurité nationale, Japan Display ayant une filiale à San José.
Japan Display va passer sous le pavillon d’un consortium formé par le groupe taïwanais PK Holding et le chinois Harvest Group, qui ont conclu un accord pour injecter jusqu'à 80 milliards de yens (620 millions d’euros) en contrepartie d’une participation de 49,8% au capital du fabricant japonais d'écrans. Cette opération fait partie d’un plan de renflouement de 232 milliards de yens destiné à sauver Japan Display après l'échec des plans précédents, financés par des fonds publics, qui n’ont pas permis de réduire la dépendance du groupe à l'égard d’Apple.
En difficultés depuis plusieurs mois, Conforama a trouvé un accord de refinancement de sa dette. L’annonce a été faite ce matin par la direction du groupe d’ameublement, indique Force Ouvrière dans un communiqué. Les négociations avec les préteurs étaient conduites sous l'égide du Comité interministériel de restructuration industrielle.
Jamais une émission obligataire de l’univers des pays émergents n’avait suscité une telle demande. Le carnet d’ordres pour les obligations Saudi Aramco a atteint 100 milliards de dollars (89 milliards d’euros), au-dessus des 67 milliards qu’avait réuni l’Arabie Saoudite, l’actionnaire d’Aramco, pour son émission inaugurale de 2016. Le carnet d’ordres est également supérieur au record de demande de 69 milliards de dollars réalisé par l’Argentine en 2016 également.
L'émission d’obligations Aramco, la première dans l’histoire du groupe pétrolier saoudien, suscite une forte demande. Le carnet d’ordres dépasse déjà 50 milliards de dollars, et pourrait atteindre les 60 milliards, affirmait Reuters lundi soir, citant des sources proches. Lancée la semaine dernière, l’offre sera close mercredi. Elle doit être divisée en six tranches de maturités différentes, allant de 3 à 30 ans.
Grab envisage de lever deux milliards de dollars (1,7 milliard d’euros) supplémentaires cette année, a annoncé ce lundi son directeur général, un peu plus d’un mois après avoir obtenu 4,5 milliards de dollars via le plus important tour de table de financement privé en Asie du Sud-Est. «Nous prévoyons de lever un total de 6,5 milliards de dollars de capitaux cette année», a déclaré Anthony Tan à l’occasion d’une interview au cours de laquelle il a exposé la stratégie du groupe singapourien. Une part importante des fonds récoltés sera notamment investie en Indonésie, a précisé Grab dans un communiqué publié par la suite. Le groupe veut concurrencer dans ce pays son principal rival, l’indonésien Go-Jek.
L'émission d’obligations Aramco, la première dans l’histoire du groupe pétrolier saoudien, suscite une forte demande. Le carnet d’ordres dépasse déjà 30 milliards de dollars, a indiqué ce matin le ministre saoudien de l'énergie, Khalid al-Falih, soit trois fois le montant proposé aux investisseurs. Lancée la semaine dernière, l’offre sera close mercredi. Elle doit être divisée en quatre tranches de maturités différentes, allant de 3 à 30 ans.
DBV Technologies a annoncé jeudi les modalités de son augmentation de capital, d’un montant global de 70,4 millions de dollars (environ 62,7 millions d’euros). Elle prévoit l’émission d’un peu plus de 3,3 millions d’american depositary shares (ADS), au prix unitaire de 6,75 dollars. Chaque ADS donne droit à recevoir la moitié d’une action ordinaire. Par ailleurs, DBV émet 3,55 millions d’actions ordinaires en Europe au prix unitaire de 12,02 euros. Le produit brut de l’offre globale devrait s’élever à environ 70,4 millions de dollars (soit environ 62,7 millions d’euros). La réalisation de l’offre globale devrait avoir lieu le 8 avril.
DBV Technologies a annoncé ce matin les modalités de son augmentation de capital, d’un montant global de 70,4 millions de dollars (environ 62,7 millions d’euros).
La holding de Casino a remplacé 1 milliard de dette obligataire par de la dette bancaire nantie sur des actions, faisant courir un risque de refinancement.
Verallia a remboursé volontairement par anticipation 150 millions d’euros de son emprunt long terme Term Loan B d’un montant de 1,275 milliard d’euros arrivant à maturité en octobre 2022. «Cette opération permet à Verallia de diminuer sa charge d’intérêts annuelle de 4 millions d’euros», explique le fabricant de bouteilles en verre.
Les fonds Eurazeo Growth, Aglaé Ventures et Bpifrance ont rejoint les investisseurs historiques de la société ManoMano, CM-CIC, Partech, Piton et General Atlantic, à l’occasion de son nouveau tour de table de 110 millions d’euros, annoncé lundi. Le spécialiste de la vente en ligne d’articles de bricolage et jardinage avait déjà levé auparavant 76 millions d’euros. Née en 2013 et présente dans six pays, outre la France, la Belgique, l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne et le Royaume-Uni, la société se présente comme «le leader européen du bricolage et du jardinage en ligne». ManoMano revendique 2,5 millions de clients actifs, et a enregistré 400 millions d’euros de transactions l’an dernier dans l’Hexagone, où il réalise 75% de son chiffre d’affaires.
Loxam a lancé lundi l’émission de deux nouvelles obligations pour un montant total de 465 millions d’euros, afin de refinancer deux souches existantes de maturité 2021 et 2022, qui seront remboursées le 11 avril prochain. Les nouvelles obligations arriveront à maturité en 2026 et 2027. BNP Paribas, CA CIB et Deutsche Bank sont en charge du placement. En 2018, le spécialiste de location de matériels de BTP a réalisé un chiffre d’affaires de 1,48 milliard d’euros, en hausse de 8% (+4% à données comparables). Son Ebitda a augmenté de 8% à 501 millions. Le ratio dette nette sur Ebitda ressortait à 4,24 fois au 31 décembre.
LafargeHolcim a lancé lundi une émission de dette perpétuelle, de 500 millions d’euros. Le coupon proposé aux investisseurs varie entre 3,75% et 3,875%. Ces obligations seront assorties d’une option de premier rachat au bout de 5 ans (juillet 2024). L’opération est dirigée par HSBC, JPMorgan, avec BNP Paribas, Citi, MUFG, Natixis et la Société Générale comme teneurs de livres. Le cimentier avait tenté d’entrer sur le marché de la dette hybride durant l’été 2018. Mais les tensions créées par le dossier syrien et de mauvaises conditions de marché avaient eu raison du projet. Depuis, le profil de crédit du groupe s’est amélioré.
Loxam a lancé ce matin l’émission de deux nouvelles obligations pour un montant total de 465 millions d’euros, afin de refinancer deux souches existantes de maturité 2021 et 2022, qui seront remboursées le 11 avril prochain. Les nouvelles obligations arriveront à maturité en 2026 et 2027. BNP Paribas, CA CIB et Deutsche Bank sont en charge du placement.
LafargeHolcim a lancé ce matin une émission de dette perpétuelle, d’un montant de 500 millions d’euros. Le coupon proposé aux investisseurs varie entre 3,75% et 3,875%. Ces obligations hybrides seront assorties d’une option de premier rachat au bout de 5 ans (juillet 2024).
Aramco lance cette semaine une série de réunions avec les investisseurs (road shows) en soutien de sa toute première émission obligataire, opération qui marquera l’entrée officielle du premier groupe pétrolier mondial sur les marchés financiers, avant une possible introduction en Bourse dans les prochains mois. Le producteur saoudien de pétrole prévoit de lever 10 milliards dollars d’obligations afin de financer partiellement l’acquisition d’une part de 70% au capital de Saudi Basic Industries, pour 69,1 milliards de dollars.
Elis a conclu un accord avec Barings et un groupe d’investisseurs pour mettre en place «dans les prochaines semaines» un financement de type US PP (US Private Placement). Le montant de ce financement s'élèverait à environ 300 millions d’euros pour une maturité de 10 ans, a précisé le groupe de blanchisserie industrielle. «Les fonds levés seraient entièrement consacrés au refinancement de la dette existante du groupe», a indiqué l’entreprise.
L'équipementier ferroviaire a fixé vendredi les conditions du refinancement de sa dette pour l'équivalent de 855 millions d’euros. Delachaux place un term loan B de 678 millions d’euros offert au pair et dont la marge a été révisée en baisse, à 375 points de base au-dessus de l’Euribor, ainsi qu’un term loan B en dollar de 200 millions, à 98,5% du pair et avec une marge de 450 pb. BNP Paribas, Credit Agricole CIB et Deutsche Bank ont dirigé ce refinancement. Delachaux avait renoncé in extremis à s’introduire en Bourse en juin 2018. Le fonds CVC avait finalement cédé sa part de 49,9% à la famille Delachaux, qui a renforcé son contrôlé majoritaire, et à la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ).
L'équipementier ferroviaire a fixé vendredi les conditions du refinancement de sa dette pour l'équivalent de 855 millions d’euros. Delachaux place un term loan B de 678 millions d’euros offert au pair et dont la marge a été révisée en baisse, à 375 points de base au-dessus de l’Euribor, ainsi qu’un term loan B en dollar de 200 millions, à 98,5% du pair et avec une marge de 450 pb. BNP Paribas, Credit Agricole CIB et Deutsche Bank ont dirigé ce refinancement, qui s’accompagne de la mise en place d’une ligne de crédit revolving de 75 millions d’euros.
Elis a conclu un accord avec Barings et un groupe d’investisseurs pour mettre en place « dans les prochaines semaines » un financement de type US PP (US Private Placement). Le montant de ce financement s'élèverait à environ 300 millions d’euros pour une maturité de 10 ans, a précisé le groupe de blanchisserie industrielle. « Les fonds levés seraient entièrement consacrés au refinancement de la dette existante du groupe », a indiqué l’entreprise. « La finalisation de la mise en place de ce financement interviendra sous réserve de la signature de la documentation contractuelle définitive et de la réalisation de conditions suspensives usuelles pour ce type d’opération », a précisé Elis.