Après avoir baissé de 5,8% en 2016, puis de 7,5% en 2017, la production de crédit-bail immobilier est repartie de l’avant l’an dernier en gonflant de 7,5%, à 4,3 milliards d’euros, selon l’Association française des sociétés financières (ASF). Si le secteur des locaux commerciaux, qui compose la majorité de l’activité, est en repli, celui des locaux industriels a enregistré un bond de 9,1%, à 1,6 milliard d’euros. Le financement locatif de biens d’équipement des entreprises a ainsi progressé de 7,6% l’an dernier, tandis que l’activité d’affacturage a bondi de 10,2%. Le crédit à la consommation confirme la tendance favorable observée depuis 2014, avec une croissance de 5,3%.
Après avoir baissé de 5,8% en 2016, puis de 7,5% en 2017, la production de crédit-bail immobilier est repartie de l’avant l’an dernier en gonflant de 7,5%, à 4,3 milliards d’euros, selon les statistiques publiées ce mardi par l’Association française des sociétés financières (ASF). Si le secteur des locaux commerciaux, qui compose la majorité de l’activité, est en repli, celui des locaux industriels a enregistré un bond de 9,1%, à 1,6 milliard d’euros.
Saint-Gobain a procédé mercredi à une émission obligataire en deux tranches, d’un montant total de 1,5 milliard d’euros, selon des sources de marché. Le groupe a placé 750 millions d’euros à 5 ans à un spread de 57 points de base (pb) au-dessus des mid-swaps, et 750 millions à 12 ans à un spread de 112 pb. Le livre d’ordres a atteint 2,9 milliards d’euros. Saint-Gobain a pu nettement resserrer les marges offertes, puisque les indications de prix initiales étaient de 75 pb pour la tranche à 5 ans et 130 pb pour celle à 12 ans. «Ces obligations sont émises pour refinancer une dette existante, écrivent les analystes de CreditSights. Saint-Gobain a une obligation de 950 millions d’euros à 4,5% qui arrive à échéance en septembre 2019.» HSBC, JPMorgan, Banca IMI, CM CIC, MUFG et Santander ont mené l’opération.
Grab envisage de lever davantage de fonds, a déclaré aujourd’hui le président du premier spécialiste de VTC du sud-est asiatique, après avoir procédé au plus grand tour de table privé de la région, qui lui a permis de récolter au total plus de 4,5 milliards de dollars (4 milliards d’euros). Le groupe singapourien, qui a obtenu en un an près de 1,5 milliard de dollars auprès de Vision Fund, le fonds du japonais SoftBank, continue de susciter l’appétit d’investisseurs internationaux, a déclaré à Reuters Ming Maa.
Saint-Gobain a procédé mercredi à une émission obligataire en deux tranches, d’un montant total de 1,5 milliards d’euros, selon des sources de marché. Le groupe a placé 750 millions d’euros à 5 ans à un spread de 57 points de base (pb) au-dessus des mid-swaps, et 750 millions à 12 ans à un spread de 112 pb. Le livre d’ordres a atteint 2,9 milliards d’euros. Saint-Gobain a pu nettement resserrer les marges offertes, puisque les indications de prix initiales étaient de 75 pb pour la tranche à 5 ans et 130 pb pour celle à 12 ans.
L’opérateur télécoms espagnol a annoncé le lancement d’une offre de rachat sur deux souches d’obligations hybrides en euros. Les deux souches sont une hybride de coupon 4,2% remboursable en décembre 2018, et une hybride de coupon 5% remboursable par anticipation en mars 2020. L’encours respectif des deux lignes atteint 705 et 592 millions d’euros. L’offre de rachat concerne en priorité la souche 4,2% 2019, pour laquelle Telefonica propose un prix de 103,038%.
Dix ans après leur premier accord, Iliad a signé ce matin un nouvel emprunt auprès de la Banque européenne d’investissement (BEI) destiné à financer le programme de fibre optique de l’opérateur de télécoms. Le montant du crédit s’élève à 300 millions d’euros, avec une maturité de 14 ans. Il peut être tiré en plusieurs tranches, à taux fixes ou variables. Iliad et la BEI n’ont pas dévoilé les modalités financières de l’emprunt.
La Banque européenne d’investissement (BEI) a relancé son projet de nouvelle entité dédiée au financement de projets en dehors de l’Union européenne, qu’elle espère voir fonctionner d’ici deux ans, a déclaré son président Werner Hoyer à l’agence Reuters. Elle compte coopérer avec d’autres banques de développement pour créer une structure qui serait comparable au Fonds européen d’investissement (FEI). Werner Hoyer s’est aussi dit confiant dans la capacité des pays de l’UE à trouver des financements à même de remplacer les 3,5 milliards d’euros de capital apporté et les près de 40 milliards de capital exigible que la BEI perdra en cas de Brexit. La BEI investit actuellement entre 65 et 80 milliards d’euros par an.
La Banque européenne d’investissement (BEI) a relancé son projet de création d’une nouvelle entité dédiée au financement de projets en dehors de l’Union européenne, qu’elle espère voir fonctionner d’ici deux ans, a déclaré son président Werner Hoyer à l’agence Reuters. La BEI va se réorganiser en interne et coopérer avec d’autres banques de développement pour créer une structure qui serait comparable au Fonds européen d’investissement (FEI). Ce dernier est une filiale de la BEI ouverte aux pays extérieurs à l’UE et spécialisée dans le financement des PME.
Ymagis a annoncé dans un communiqué ne pas avoir pu rembourser la part de sa dette obligataire venant à échéance le 23 février 2019, pour un montant de 21,1 millions d’euros, «la levée d’un nouvel emprunt obligataire de type Euro PP initiée au dernier trimestre 2018 n’ayant pu aboutir». Le groupe de technologies numériques pour les cinémas a conclu un accord avec les porteurs des Euro PP émis en 2015, «pour suspendre temporairement certains droits au titre des contrats d’émission, et ce jusqu’au 27 mars 2019», ajoute le groupe. La banque Degroof Petercam a été mandatée pour l’assister dans la recherche de solutions de financement.
Ymagis a annoncé dans un communiqué ne pas avoir pu rembourser la part de sa dette obligataire venant à échéance le 23 février 2019, pour un montant de 21,1 millions d’euros, « la levée d’un nouvel emprunt obligataire de type Euro PP initiée au dernier trimestre 2018 n’ayant pu aboutir ».
La Financière Apsys, le Groupe Madar et la Financière Saint James, actionnaires de Beaugrenelle Paris à hauteur respectivement de 40%, 40% et 20%, ont annoncé avoir finalisé le refinancement du centre commercial parisien pour un montant de 660 millions d’euros. BNP Paribas et Crédit Agricole CIB étaient co-arrangeurs de l’opération. Les actionnaires de Beaugrenelle Paris ont été conseillés par De Pardieu Brocas Maffei et C&C Notaires. Les banques étaient pour leur part épaulées par Gide Loyrette Nouel et Wargny Katz.
La Financière Apsys, le Groupe Madar et la Financière Saint James, actionnaires de Beaugrenelle Paris à hauteur respectivement de 40%, 40% et 20%, ont annoncé avoir finalisé le refinancement du centre commercial parisien pour un montant de 660 millions d’euros. BNP Paribas et Crédit Agricole CIB étaient co-arrangeurs de l’opération.
Reezocar, start-up spécialisée dans la vente en ligne de voitures d’occasion, annonce un partenariat stratégique avec CGI Finance, filiale de Société Générale et financeur indépendant en concession automobile. Cette dernière investit 10 millions d’euros dans la place de marché. La part du capital de Reezocar acquise par CGI Finance n’a pas été communiquée. Avant cette opération, Reezocar avait levé plus de 3,5 millions d’euros. La société de 50 salariés, créée en 2014, ne communique pas son chiffre d’affaires.
Dans un avis transmis à l’Autorité des marchés financiers, Foncière Euris a annoncé avoir conclu le 31 janvier 2019 avec un établissement financier un emprunt nanti sur des actions de sa filiale Rallye. Cet emprunt, d’un montant de 50 millions d’euros, refinance une opération existante, précise l’avis.
Le distributeur spécialisé a signé un contrat de crédit de 100 millions d’euros avec la Banque européenne d’investissement (BEI). Réalisé dans le cadre du «Plan Juncker», cet emprunt sera destiné à «financer les investissements de transformation digitale de Fnac Darty», en soutien du déploiement de son plan stratégique de moyen terme. Il lui permet de saisir une opportunité de mise en place de dette long terme, avec une maturité maximale de 9 ans. Le groupe dispose de 18 mois pour tirer cette ligne. Fnac Darty a annoncé en parallèle avoir reçu la notation «BBB-» de la part de Scope Ratings, après les notations «BB» (perspective positive) et «Ba2» (stable), respectivement de S&P Global Ratings et Moody’s.
Tereos annonce son intention de procéder en mars 2019 au remboursement avec un an d’avance de la moitié de son emprunt obligataire à maturité mars 2020, soit 250 millions d’euros en principal. Ce rachat est intégralement financé par un crédit bancaire souscrit auprès de BNP Paribas, Natixis et Rabobank, précise le groupe sucrier. « Le nouveau prêt, d’une maturité de 3,5 ans (septembre 2022), participe à l’optimisation de la structure de financement du groupe, en permettant d’une part un allongement de la maturité, et d’autre part une optimisation de son coût de financement », explique Tereos.
Le distributeur spécialisé a annoncé ce matin avoir signé un contrat de crédit d’un montant de 100 millions d’euros avec la Banque européenne d’investissement (BEI). Réalisé dans le cadre du «Plan Juncker», cet emprunt sera destiné à «financer les investissements de transformation digitale de Fnac Darty», en soutien du déploiement de son plan stratégique de moyen terme. Ce financement lui permet de saisir une opportunité de mise en place de dette long terme, avec une maturité maximale de 9 ans, à des conditions très avantageuses. Il dispose de 18 mois pour tirer cette ligne.
Standard Chartered et BNP Paribas figurent parmi la dizaine de banques qui vont probablement co-gérer la vente d’obligations de la compagnie nationale saoudienne d’hydrocarbures, selon l’agence Bloomberg. Elle pourrait lever 10 milliards de dollars (8,85 milliards d’euros). Les banques Mitsubishi UFJ Financial Group, Mizuho, Samba Financial Group et Gulf International Bank ont aussi été sélectionnées. Saudi Aramco a retenu JPMorgan Chase et Morgan Stanley pour diriger sa première offre d’obligations internationale en dollars, destinée à financer l’acquisition du géant en pétrochimie Saudi Basic Industries.
La banque publique Sfil, spécialisée dans le financement local, a annoncé mercredi avoir lancé sa première émission obligataire «sociale», pour un montant d’un milliard d’euros, qui sera exclusivement dédiée au financement des hôpitaux publics. Cette émission se présentait sous le format d’obligations foncières CAFFIL, filiale de la Sfil, pour une maturité de 8 ans. Avec son programme d'émissions sociales, il prévoit d'être «un émetteur régulier sur ce segment de marché». Le groupe Sfil, qui se dit le premier émetteur d’obligations sécurisées du secteur public en Europe, prête aujourd’hui à plus de 1.000 hôpitaux publics en France. Issu de la banque franco-belge Dexia, la Sfil a déjà accordé 24 milliards d’euros de nouveaux prêts au secteur public local - dont 2,9 milliards d’euros de nouveaux prêts aux hôpitaux publics - depuis sa création en 2013, avec des échéances comprises entre 10 et 30 ans.
Le FC Barcelone a souscrit un prêt de 140 millions d’euros, à 5 ans, auprès des fonds de dette Pricoa Capital Group et Barings, indique à Reuters une source interne au club. 90 millions d’euros ont été apportés par Pricoa et 50 millions par Barings. Ce financement extérieur est une première pour le club catalan. « Le football européen est de plus en plus compétitif, avec des clubs comme Manchester City et le Paris Saint-Germain qui sont soutenus par des Etats. Notre modèle est totalement différent du leur, dont nous devons faire preuve d’imagination pour les concurrencer », explique cette source interne.
Grâce à un mélange d’obligations remboursables et d’augmentation de capital, la société de logiciels de sécurité va acheter son concurrent américain Verimatrix pour 150 millions de dollars.
Schéma de reprise, valorisation, devenir des prêts aux collectivités italiennes : les travaux sur le tour de table de la banque publique démarreront fin février.