Deux semaines après l’annonce sous l’égide du ministère de l’Economie de l’engagement des institutionnels à soutenir les entreprises françaises de technologie, le comité technique réunissant les investisseurs partenaires a validé, à l’unanimité, les dossiers présentés par six sociétés de gestion. Eurazeo Growth Fund III, InfraVia Growth Fund, Jeito, Partech Growth II ont été retenus pour l’investissement non-coté. Sur le volet coté, CPR AM – Global Disruptive Technologies et Natixis IM Thematics – AI and Robotics ont été retenus par le comité des investisseurs partenaires. Celui-ci se «réunira à intervalles réguliers afin d’examiner l’éligibilité des projets d’investissement portés à l’attention de la gouvernance», précise le communiqué de Bercy.
Le fonds souverain singapourien Temasek a participé au tour de table de 125 millions d’euros que ManoMano, la place de marché française spécialisée dans le bricolage, doit annoncer ce mardi, selon plusieurs médias. Cela illustre de nouveau les ambitions d’acteurs asiatiques comme Tencent, qui a investi dans les fintech françaises Qonto et Lydia en ce début d’année. Les fonds General Atlantic et Eurazeo ont remis au pot dans le cadre de cette série E, à laquelle ont également participé Bpifrance via son fonds Large Venture, Piton Capital, et Kismet Holdings. Au total, ManoMano a levé 311 millions d’euros en six ans, dont 110 millions en avril dernier. Il vise 1 milliard d’euros de ventes en ligne cette année. ManoMano regroupe sur sa plateforme 2.500 e-commerçants qui proposent 4 millions d’articles différents.
Avenue Capital Group compte lever 600 millions de dollars pour son premier fonds d’investissement à impact climatique, selon Bloomberg, qui cite une source proche. C’est la première incursion dans le segment porteur du financement en faveur du climat pour la société d’investissement américaine, fondée par le milliardaire Marc Lasry. Ce fonds devrait être activé courant 2020. Avenue Capital a bouclé son premier tour de table de 200 millions de dollars la semaine dernière, selon une source. Avenue Capital comptait environ 10,4 milliards de dollars d’actifs sous gestion fin décembre.
La start-up américaine Memphis Meat, qui travaille au développement de viande à base de cellules, a annoncé mercredi avoir levé 161 millions de dollars (145 milions d’euros). Basée à Berkeley (Californie), elle veut utiliser cet argent pour construire une usine de production, étoffer ses équipes et lancer ses produits sur le marché. Elle avait présenté en 2016 une boulette conçue à partir de cellules prélevées sur des animaux et «cultivée» en machines. Ce tour de table a été mené par les sociétés d’investissement SoftBank, Norwest et Temasek, avec Richard Branson, Bill Gates et Kimbal Musk, ainsi que les géants de l’agroalimentaire Cargill et Tyson Foods.
Sur l’année 2019, le nombre de défaillances d’entreprises en France a atteint un plancher de dix ans en diminuant de 4,8% en rythme annuel à 52.002 cas, montre la dernière étude du cabinet Altares. Ces trois derniers mois, les défaillances ont reculé de 8,8% d’un an sur l’autre à 13.514 cas. Ces chiffres ne doivent toutefois pas occulter les difficultés rencontrées par les PME de plus de 50 salariés, dont les défaillances ont bondi de 13,8% sur l’année. «Le nombre d’emplois menacés augmente encore et atteint 173.800 postes», constate Thierry Millon, directeur des études d’Altares.
Sur l’ensemble de l’année 2019, le nombre de défaillances d’entreprises en France a atteint un plancher de dix ans en diminuant de 4,8% en rythme annuel à 52.002 cas, montre la dernière étude du cabinet Altares. Au cours des trois derniers mois, les défaillances ont reculé de 8,8% d’un an sur l’autre à 13.514 cas.
La foncière britannique, qui progresse dans ses cessions d’actifs, négocie avec les investisseurs en vue de lancer son augmentation de capital fin février.
L’agence de financement détenue par le gouvernement britannique CDC Group a signé l'équivalent de 400 millions de dollars (360 millions d’euros) d’accords d’investissements africains, dans le cadre d’une volonté plus large du Royaume-Uni de développer de nouveaux liens commerciaux, alors qu’il se prépare à quitter l’Union européenne dans le cadre du Brexit, le 31 janvier. Ces financements iront aux banques africaines régionales, afin qu’elle puissent faire des prêts à des entrepreneurs ainsi que des PME. Le premier ministre Boris Johnson a appelé lundi au développement de liens plus étroits entre la Grande-Bretagne et l’Afrique, lors d’un sommet à Londres avec 21 Etats africains.
L’agence de financement détenue par le gouvernement britannique CDC Group a signé l'équivalent de 400 millions de dollars d’accords d’investissements africains, dans le cadre d’une volonté plus large du Royaume-Uni de développer de nouveaux liens commerciaux, alors qu’il se prépare à quitter l’Union européenne dans le cadre du Brexit, le 31 janvier. Ces financements iront aux banques africaine régionales, afin qu’elle puissent faire des prêts à des entrepreneurs ainsi que des PME.
L’opérateur britannique de centres commerciaux a déclaré ce matin qu’il menait des «négociations constructives» avec ses actionnaires et de nouveaux investisseurs en vue de procéder à une augmentation de capital à la fin du mois de février afin d’améliorer sa structure de bilan. Sa dette nette à fin juin 2019 atteignait 4,5 milliards de livres (5,26 milliards d’euros) pour une capitalisation boursière actuelle de 284 millions.
La biopharmaceutique Genkyotex lance une augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS) pour un montant maximum de 6,13 millions d’euros. Trois actions détenues permettent d’acquérir une action nouvelle au prix unitaire de 2,02 euros, soit une décote de 7,13% sur le cours du 15 janvier. Le DPS sera détaché le 21 janvier, et la période de souscription sera ouverte du 23 janvier au 3 février inclus. L’opération est garantie à hauteur de 75,36% par des engagements de souscription de 4,62 millions d’euros d’actionnaires historiques.
La biopharmaceutique Genkyotex lance une augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS) pour un montant maximum de 6,13 millions d’euros. Trois actions détenues permettent d’acquérir une action nouvelle au prix unitaire de 2,02 euros, soit une décote de 7,13% sur le cours du 15 janvier. Le DPS sera détaché le 21 janvier, et la période de souscription sera ouverte du 23 janvier au 3 février inclus.
Bertrand Corp, la société de participations contrôlée par Olivier Bertrand, l’actionnaire de contrôle éponyme du groupe de restauration (Burger King, Quick, Hippopotamus...), a émis un Euro PP de 100 millions d’euros. Ce financement a une maturité de 5 ans et porte un intérêt annuel de 4,5%. Il a été placé auprès d’investisseurs institutionnels européens. Les obligations sont cotées sur Euronext Access. L’ensemble des participations détenues par Bertrand Corp réalisait en 2018 un volume d’affaires global de 1,9 milliard d’euros. Bertrand Restauration avait déjà émis un Euro PP en 2018.
Bertrand Corp, la société de participations contrôlée par Olivier Bertrand, l’actionnaire de contrôle éponyme du groupe de restauration, a émis un Euro PP de 100 millions d’euros afin « d’accélérer sa croissance et ses investissements ».
Le Schuldschein a battu son record d'émissions en 2019, avec 29 milliards d'euros. Mais les analystes de Scope s'attendent à une année 2020 plus compliquée.
Le véhicule créé par Raphaèle Tordjman a déjà levé 200 millions, notamment auprès de Bpifrance, Axa, CNP, Aviva, BNP Paribas Fortis. Le premier investissement est attendu avant l’été.
Le groupe de chimie Arkema a annoncé mardi avoir placé pour 300 millions d’euros d’obligations hybrides, à durée indéterminée. Ces titres sont assortis d’un coupon de 1,5% jusqu'à la date de première option de remboursement anticipé, fixée à un horizon de six ans à compter de la date d'émission. «Le groupe s’offre ainsi la possibilité de refinancer le solde de 300 millions d’euros de ses obligations hybrides à durée indéterminée», a souligné Arkema dans un communiqué. Ces obligations restantes comportent une première option de remboursement anticipé en octobre 2020 et portent un coupon de 4,75%.
La banque publique d’investissement va contribuer à hauteur de 165 millions d’euros au budget national, au titre de ses résultats 2019. Sa politique de dividende reste aléatoire.
De retour sur le marché obligataire hier, Altice Europe a levé l'équivalent de 2,8 milliards d’euros de nouvelle dette, destinée à refinancer des emprunts obligataires existants.
Altice Europe a lancé hier un placement obligataire de 2,75 milliards d’euros. En ajoutant 330 millions d’euros de trésorerie disponible, Altice Financing, la société émettrice, compte rembourser par anticipation 3 milliards d’euros de dettes existantes. Par ailleurs, Altice International, autre structure du groupe de Patrick Drahi, fera remonter 518 millions d’euros de trésorerie vers Altice Luxembourg afin que ce dernier rembourse par anticipation 500 millions d’euros d’obligations. A moyen terme, Altice compte puiser 1,6 milliard d’euros dans sa trésorerie pour rembourser par anticipation autant de dette.
Le groupe de gestion de l’eau et des déchets Veolia a annoncé mercredi avoir placé pour 500 millions d’euros d’obligations à échéance janvier 2031, à un taux annuel de 0,664%. Cette émission a reçu plus de 160 ordres de la part d’investisseurs en Europe et en Asie, et a été sursouscrite environ cinq fois, a précisé le groupe dans un communiqué. Le produit de l’opération servira aux besoins généraux de financement de l’entreprise, et notamment au remboursement d’obligations arrivant à échéance à la fin 2020, a ajouté Veolia.
Les fonds d’investissement L. Catterton et Apax Digital ont coordonné une levée de fonds de 285 millions de dollars pour le compte du réseau américain de salles de sport ClassPass, avec la participation de l’investisseur existant Temasek. Cette levée valoriserait la société plus d’un milliard de dollars, indique-t-elle dans un communiqué. L’entreprise basée à New York est présente dans 28 pays ,et a noué des partenariats avec plus de 30.000 clubs de sport.
Un peu plus de 300 start-up françaises sont présentes cette année au CES (Consumer Electronic Show), le plus grand salon de la tech mondiale, qui se tient du 7 au 10 janvier à Las Vegas. C’est 25% de moins que l’an dernier (420), mais la France reste le deuxième plus important contingent étranger derrière la Chine. Business France, l’agence en charge de valoriser les entreprises françaises à l’international, n’emmène cette année que 20 start-up au CES, contre 34 en 2019. La French Tech, label qui regroupe les jeunes entreprises françaises du numérique, comptait plus de 400 start-up françaises sur le salon en janvier 2019.
Reden Solar (ex-Fonroche Solaire) a réalisé son premier Euro PP, dit green, en format prêt d’un montant de 45 millions d’euros. « Ce placement privé d’une maturité de 7 ans émis en deux tranches, une tranche in fine et une tranche amortissable, est assorti d’un coupon fixe et a été placé auprès d’investisseurs français », précise le groupe d’énergies renouvelables dans un communiqué. Les fonds financeront la construction de nouveaux projets solaires et l’achat de projets existants, en Europe et en Amérique du sud. Reden Solar dispose d’une capacité installée de 550 MW.
Le groupe sucrier français Tereos remboursera par anticipation le 21 janvier 2020 le solde de l’emprunt obligataire qu’il a émis en avril 2013. Le montant remboursé s’élève à 250 millions d’euros, augmenté des intérêts courus. Ces obligations arrivaient à échéance le 4 mars prochain. Elles payaient un coupon annuel de 4,25%. La première moitié de cet emprunt obligataire avait été remboursé en mars 2019.
Reden Solar (ex-Fonroche Solaire) a réalisé son premier Euro PP, dit green, en format prêt d’un montant de 45 millions d’euros. « Ce placement privé d’une maturité de 7 ans émis en deux tranches, une tranche in fine et une tranche amortissable, est assorti d’un coupon fixe et a été placé auprès d’investisseurs français », précise le groupe d’énergies renouvelables dans un communiqué.
Tereos remboursera par anticipation le 21 janvier 2020 le solde de l’emprunt obligataire émis en avril 2013. Le montant remboursé s’élève à 250 millions d’euros, augmenté des intérêts courus. Ces obligations arrivaient à échéance le 4 mars. Elles payaient un coupon annuel de 4,25%.