La medtech Sartorius a lancé vendredi l'émission de 150 millions d’euros d’obligations sur le marché allemand du placement privé. Ce Schuldschein est divisé en trois tranches, de 5, 7 et 10 ans, avec une fourchette de marges allant de 60 points de base pour la maturité la plus courte à 105 pb pour la plus longue. L’opération est dirigée par BNP Paribas et Landesbank Baden-Württemberg (LBBW).
La medtech Sartorius a lancé l'émission de 150 millions d’euros d’obligations sur le marché allemand du placement privé. Ce Schuldschein est divisé en trois tranches, de 5, 7 et 10 ans, avec une fourchette de marges allant de 60 points de base pour la maturité la plus courte à 105 pb pour la plus longue. L’opération est dirigée par BNP Paribas et Landesbank Baden-Württemberg (LBBW).
Le laboratoire d’analyses, qui a récemment fusionné avec Labco, est présent sur le marché primaire de la dette en euros vendredi avec un placement de 940 millions d’euros. Synlab, qui envisageait initialement deux tranches à taux fixe et variable, a décidé de lever ces fonds uniquement sous forme de floating rate notes (FRN) d'échéance 2022. La marge proposée est de 350 à 375 points de base au-dessus de l’Euribor, avec une émission au pair et un seuil d’Euribor à 0%.
Rétabli après plusieurs années de crise, le groupe de chimie fine a refinancé sa dette en dollars, prélude à sa mise en vente en début d'année prochaine.
SNCF Réseau a émis son premier green bond de 900 millions d’euros, d’une maturité de 15 ans. Ces obligations «vertes» paient un intérêt annuel de 1%. Elles ont été émises à 98,57% du pair, soit un rendement implicite de 1,104%. Le carnet d’ordres a atteint 1,36 milliard d’euros. SNCF Réseau, qui chiffre entre 1,5 et 1,8 milliard d’euros par an ses investissements éligibles à un financement vert, «souhaite réaliser, chaque année, au moins une émission green bond de taille benchmark». SNCF Réseau était accompagné par CA CIB, HSBC et JPMorgan.
Conseiller à la direction de la Caisse des dépôts (CDC) et président de l’Observatoire du financement des entreprises, Thierry Giami quitte la CDC pour monter sa propre structure, a appris L’Agefi. L’artisan de la création des fonds de place Novo, Nova et Novi dédiés au financement en actions et en dette des PME-ETI, entend conseiller les entreprises sur leur stratégie de financement sur le marché privé (Euro PP, etc.).
SNCF Réseau a émis son premier green bond. D’un montant de 900 millions d’euros, l’emprunt obligataire « vert » du gestionnaire du réseau ferré français a une maturité de 15 ans. Le groupe se félicite d'être « le premier gestionnaire d’infrastructures ferroviaires au monde et la première entreprise de transport en Europe à émettre un green bond ». L'émission répond au Green Bond Principles selon l’agence de notation extra-financière Oekom Research. Elle est également certifiée Climate Bond Initiative.
Orange a émis aux Etats-Unis un emprunt obligataire de 1,25 milliard de dollars (1,15 milliard d’euros) à 3 ans avec un coupon de 1,625%, soit une marge de 67 points de base par rapport aux emprunts du Trésor américain. Après couverture en euros, le taux devient négatif à hauteur de -0,15%. BoA Merrill Lynch, JPMorgan, Morgan Stanley et MUFG étaient les chefs de file du placement. Orange a voulu «profiter des excellentes conditions de marché afin d’optimiser le coût moyen de sa dette et dit entendre poursuivre sa politique opportuniste de refinancement». La précédente émission obligataire de l’opérateur télécoms remonte à mai 2016. Il avait placé 750 millions d’euros à 9 ans avec un coupon de 1%. Au 30 juin 2016, la maturité moyenne de sa dette obligataire était de 8,2 années, pour un coupon moyen de 4,72%.
Orange a émis aux Etats-Unis un emprunt obligataire de 1,25 milliard de dollars (1,15 milliard d’euros) à 3 ans avec un coupon de 1,625%, soit une marge de 67 points de base par rapport aux emprunts du Trésor américain. Après couverture en euros, le taux d’intérêt devient négatif à hauteur de -0,15%. BoA Merrill Lynch, JPMorgan, Morgan Stanley et MUFG sont intervenus en qualité de chefs de file du placement. Orange indique vouloir « profiter des excellentes conditions de marché afin d’optimiser le coût moyen de sa dette et dit entendre poursuivre sa politique opportuniste de refinancement ».
Goldman Sachs a levé jeudi 1,25 milliard d’euros de dette senior non sécurisée de maturité 8,5 ans qui sera comptabilisée dans ses exigences TLAC. Les passifs TLAC (total loss absorbing capacity) imposés aux banques d’importance systémique constituent une capacité d’absorption des pertes pour permettre une recapitalisation en cas de difficultés. La structure est originale, car assortie d’une clause de rachat anticipé à 7,5 ans. Cela permet à la banque d'éviter de perdre le bénéfice réglementaire de cette émission, la prise en compte de ces titres dans le calcul du TLAC tombant à 50% puis 0% pour les maturités résiduelles inférieures respectivement à 2 ans et 1 an.
Le groupe agroalimentaire a engagé des rencontres avec les investisseurs pour préparer une émission obligataire en euros et en dollars. Le roadshow auprès des investisseurs en euros se termine aujourd’hui. Danone pourrait émettre 5 ou 6 tranches (à 4, 6, 8 et 12 ans à taux fixe et à 2 ans à taux fixe ou variable). BNP Paribas et JPMorgan sont les coordinateurs mondiaux de l’opération. Ils travaillent avec le Credit Agricole, Citi, la Société Générale et Santander pour le placement en euros, et avec Barclays, Citi et HSBC pour la partie en dollars.
La banque américaine a levé jeudi 1,25 milliard d’euros de dette senior non sécurisée de maturité 8,5 ans qui sera comptabilisée dans les exigences TLAC du groupe. Les passifs TLAC (total loss absorbing capacity) imposés aux grandes banques d’importance systémique constituent une capacité d’absorption des pertes afin de permettre une recapitalisation en cas de difficultés.
Le groupe agroalimentaire français a engagé des rencontres avec les investisseurs en vue de préparer une émission obligataire en euros et en dollars. Le roadshow auprès des investisseurs en euros se termine le 24 octobre.
Le numéro trois mondial du transport de conteneurs a remboursé depuis le 30 juin la moitié de la dette de 1,6 milliard de dollars (1,45 milliard d’euros) contractée pour l’acquisition du singapourien NOL (Neptune Orient Lines). Le groupe marseillais, qui affichait une trésorerie de 2,4 milliards d’euros à fin juin, a jusqu'à août 2017 pour rembourser cette dette. Un porte-parole de CMA CGM a indiqué hier à Reuters que l’armateur avait procédé à une opération de «sale-and-leaseback» - consistant à céder la propriété de conteneurs pour les relouer ensuite - pour 578 millions de dollars, ainsi qu'à une opération de titrisation de créances pour 259 millions de dollars. L’armateur, qui prévoit de céder pour un milliard de dollars d’actifs grâce à une revue de portefeuille des deux entreprises fusionnées, a en outre engagé un plan d’un milliard de dollars d'économies d’ici à fin 2017.
Transgène a annoncé jeudi le lancement d’une augmentation de capital, avec droit préférentiel de souscription, d’un montant d’environ 48 millions d’euros. La société de biotechnologies prévoit d'émettre 18,5 millions d’actions nouvelles, selon une parité de 12 actions nouvelles pour 25 titres existants. Le prix de souscription a été fixé à 2,60 euros par action nouvelle. Il représente une décote de 15,58% par rapport au cours de clôture de l’action Transgene le 19 octobre 2016 et une décote de 11,08% par rapport à la valeur théorique de l’action ex-droit au 19 octobre 2016. L’Institut Mérieux s’est engagé à souscrire jusqu`à 75% des actions nouvelles. Transgène disposait au 30 septembre de 25,4 millions d`euros de trésorerie disponible.
Dix mois après les critiques de Muddy Waters, la holding a émis 200 millions d'obligations échangeables non dilutives en actions Casino à un coupon de 5,25%.
L’Arabie saoudite a bouclé mercredi la plus importante émission d’obligations souveraines jamais réalisée par un pays émergent en empruntant 17,5 milliards de dollars (15,9 milliards d’euros), après avoir suscité une demande près de quatre fois supérieure à l’offre. Ce montant éclipse le record établi en avril par l’Argentine, qui avait levé 16,5 milliards de dollars lors de son retour sur les marchés internationaux après une longue période d’exclusion.
UniCredit a indiqué samedi qu’elle discutait avec l’assureur polonais PZU et le fonds Polski Fundusz Rozwoju de la vente de sa filiale Bank Pekao. PZU a lui aussi annoncé samedi l’ouverture de telles négociations. UniCredit avait déjà placé en juillet 10% de Bank Pekao pour 749 millions d’euros, ce qui lui laissait une participation de 40,1%. Jean-Pierre Mustier, administrateur délégué de la première banque italienne, a lancé en juillet un examen approfondi de l'établissement en vue de renforcer ses fonds propres et d’améliorer sa rentabilité.
Le consortium «Protéines France» composé du pôle de compétitivité Industries & Agro-Ressources et de sept acteurs agro-industriels (Avril, Limagrain, Neovia, Roquette, Tereos, Terrena et Vivescia) a signé hier avec le ministère de l’Agriculture un engagement conjoint pour développer la filière française des protéines. Sur les cinq prochaines années, des moyens totalisant un milliard d’euros seront nécessaires pour répondre à ces enjeux. Le financement des projets issus de cette démarche bénéficiera du soutien de Bpifrance ou des procédures mises en place pour le programme d’investissements d’avenir (PIA).
La société biopharmaceutique Genfit a lancé hier une augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription d’environ 44,6 millions d’euros, qui vient compléter la levée de fonds de 33,9 millions d’euros réalisée la semaine dernière via un placement privé. Le groupe propose une action nouvelle pour neuf actions existantes au prix de souscription de 14,30 euros par action nouvelle. Ces opérations doivent lui permettre de financer plusieurs programmes de recherches et d'études cliniques jusqu'à fin 2018-début 2019.
La société biopharmaceutique Genfit a lancé hier une augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription d’environ 44,6 millions d’euros, qui complète la levée de fonds de 33,9 millions d’euros réalisée la semaine dernière via un placement privé. Le groupe propose une action nouvelle pour neuf actions existantes au prix de souscription de 14,30 euros par action nouvelle. Ces deux opérations, qui lui permettront de procéder à une levée de fonds d’un montant total maximum de 78,5 millions d’euros, et sa trésorerie devraient lui permettre de financer plusieurs programmes de recherches et d'études cliniques jusqu'à fin 2018-début 2019.