Genfit a annoncé jeudi avoir levé 33,9 millions d’euros dans le cadre d’un placement privé, premier volet d’une levée de fonds de l’ordre de 75 à 80 millions d’euros destinée à financer sa R&D jusqu'à fin 2018-début 2019. Le titre Genfit, suspendu depuis l’ouverture à Paris, a repris sa cotation en baisse de 12% et il cédait encore 9,8% à 21,55 euros vers 16h00.
BNP Paribas Investment Partners annonce avoir récolté 500 millions d’euros pour le premier closing de son nouveau fonds de prêts aux PME. Parmi ses investisseurs figurent AG2R La Mondiale, BNP Paribas Cardif, CNP Assurances, l’Erafp, Federal Finance Gestion (pour le compte de Suravenir), ou encore La France Mutualiste. Le groupe BNP Paribas et le Fonds européen d’investissement ont également investi. Ce véhicule de format Eltif est destiné à financer 100 à 150 PME européennes en combinant prêt bancaire à moyen terme (environ 5 ans) et fonds de prêts de long terme (de 7 à 10 ans).
BNP Paribas Investment Partners annonce avoir récolté 500 millions d’euros pour le premier closing de son nouveau fonds de prêts aux PME. Parmi ses investisseurs figurent AG2R La Mondiale, BNP Paribas Cardif, CNP Assurances, l’Erafp, Federal Finance Gestion pour le compte de Suravenir ou encore La France Mutualiste. Le groupe BNP Paribas et le Fonds européen d’investissement ont également participé à la levée de fonds.
BNP Paribas IP va boucler le premier closing d’un fonds de prêts aux PME européennes. La société de gestion, filiale de la banque, avait annoncé en août un objectif de 300 à 500 millions d’euros pour financer les PME sur un mode innovant : les montages associeront de la dette bancaire et de la dette privée, plus longue et remboursable in fine. Cette solution permet aussi à la banque d’alléger le coût prudentiel de ses engagements envers les PME, tout en conservant cette clientèle.
Bpifrance a annoncé hier avoir pris une participation minoritaire dans la marque de mode masculine BonneGueule. La société, née d’un blog de conseils en 2007, a acquis une large audience (3 millions de visiteurs par an) et s’est lancée en 2014 dans le prêt-à-porter en ligne. La marque, qui poursuit ses activités de conseil sur son site, a depuis ouvert deux magasins, à Paris et Lyon. Il s’agit du sixième investissement de Mode et Finance 2, deuxième fonds de Bpifrance dédié au luxe et aux métiers de la création.
Bpifrance a annoncé lundi avoir pris une participation minoritaire dans la marque de mode masculine BonneGueule pour accompagner son développement. La société, née d’un blog de conseils sur la mode masculine en 2007, a acquis une large audience (3 millions de visiteurs par an) et s’est lancée en 2014 dans le prêt-à-porter en ligne. La marque, qui poursuit ses activités de conseil sur son site, a ensuite ouvert un premier magasin à Paris en 2015 et un second à Lyon en 2016. Il s’agit du sixième investissement de Mode et Finance 2, deuxième fonds de Bpifrance dédié au secteur du luxe et des métiers de la création.
Le Noble Age Groupe fait entrer de nouveaux actionnaires à son capital. Le groupe de maisons de retraite et de services d’hospitalisation à domicile a signé hier des protocoles d’investissement avec Mérieux Développement (filiale de l’institut Mérieux) et Nobel (véhicule d’investissement géré par Weinberg Capital Partners). Ces derniers souscriront à un placement privé d’environ 20,2 millions d’euros. A cette occasion, les cadres managers du groupe se renforceront également au capital. Le prix de souscription sera de 28 euros par action, soit une décote de 12,7% par rapport au cours moyen pondéré des 20 derniers jours de bourse. La réalisation de ces opérations interviendra dans le courant du quatrième trimestre 2016, après l’obtention auprès de l’AMF d’une dérogation à l’obligation de déposer un projet d’offre publique.
En août, la croissance de l’encours des crédits aux entreprises en France est ressortie à 5,3% contre 5,4% en juillet, selon les chiffres de la Banque de France. Cette évolution profite du rythme élevé de la croissance des crédits de trésorerie, à 9,2% en août après 9,3% le mois précédent. En séquentiel, les crédits à l’investissement ont progressé de 4,2% à 4,3%. L’encours total des crédits aux entreprises s'élevait à 897 milliards d’euros à la fin du mois d’août, dont 627 milliards pour l’investissement et 211 milliards pour la trésorerie.
Le spécialiste de l’immobilier commercial a annoncé hier avoir mené à bien le 26 septembre l’offre de rachat lancée une semaine plus tôt sur une obligation de 500 millions d’euros à échéance septembre 2019, offrant un coupon de 2,75%, ainsi que sur une obligation de 500 millions d’euros à échéance février 2021 à 3,25%. Le montant nominal apporté à l’offre s’élève à 348,7 millions, soit un taux d’apport de 34,9%. Le lancement de cette opération s’était accompagné le même jour d’une émission de 600 millions d’euros d’obligations à 15 ans. La marge avait été fixée à 60 points de base au-dessus du taux de swap portant le coupon à 1,25%. Ces transactions visent à réduire le coût de financement du groupe tout en allongeant la durée moyenne de sa dette. A conditions de marché inchangées, le coût de l’endettement net devrait baisser à moins de 2% d’ici à 2017.
Le groupe minier va lancer une Ornan perpétuelle de 100 millions d’euros, opération non dilutive. Ses actionnaires de référence y participeront très largement.
En août, la croissance de l’encours des crédits aux entreprises en France est ressortie à 5,3% contre 5,4% en juillet, selon les chiffres de la Banque de France. Cette évolution profite du rythme élevé de la croissance des crédits de trésorerie, à 9,2% en août après 9,3% le mois précédent. En séquentiel, les crédits à l’investissement ont progressé de 4,2% à 4,3%. L’encours total des crédits aux entreprises s'élevait à 897 milliards d’euros à la fin du mois d’août, dont 627 milliards pour l’investissement et 211 milliards pour la trésorerie.
UniCredit souhaiterait lever jusqu'à 16 milliards d’euros via une augmentation de capital et des cessions d’actifs qui devraient inclure le courtier en ligne FinecoBank, rapportait hier Reuters de deux sources informées de ces projets. Première banque italienne par les actifs, UniCredit a commencé à recueillir les offres pour sa filiale de gestion d’actifs Pioneer et a engagé des discussions avec le polonais PZU pour lui vendre une participation de 40% dans Bank Pekao, l’objectif de ces opérations étant de limiter l’ampleur de l’augmentation de capital.
Pénalisée par une forte hausse de ses charges de sous-traitance opérationnelle, la société de biopharmacie, spécialisée dans les maladies métaboliques et inflammatoires de la sphère hépato-gastro-entérologique, a publié hier soir une perte nette de 12,7 millions d’euros au premier semestre 2016, contre un résultat négatif de 8,9 millions un an plus tôt. «La société prévoit que ce poste de charges augmente sensiblement à compter du second semestre 2016», souligne Genfit, expliquant que ces dépenses sont liées à l'étude de phase 3 de Elafibranor, son traitement contre la Nash, maladie hépatique pour laquelle aucun traitement n’est aujourd’hui disponible. Etant donné que sa trésorerie de 94,6 millions d’euros disponible à fin juin «ne couvre pas les besoins de financement à moyen terme de la société», Genfit étudie différentes options pour financer ses recherches, dont une possible augmentation de capital.
Banca Monte dei Paschi di Siena a annoncé hier envisager une conversion volontaire de dette en actions, une solution qui lui permettrait de renforcer ses fonds propres et d'écarter un risque de dépôt de bilan. Elle a précisé qu’un nouveau plan stratégique serait approuvé le 24 octobre et qu’une assemblée générale des actionnaires aurait lieu avant fin novembre. La troisième banque italienne a annoncé en juillet son projet d’appel au marché, dont le montant pourrait atteindre cinq milliards d’euros. En cas d'échec, la banque pourrait devoir demander l’aide financière de l’Etat, ont déclaré à Reuters trois sources européennes proches du dossier.
L’Association RegroupementPPLOCAL, qui regroupe plus de 1.400 actionnaires de Solocal, a fait savoir hier qu’elle rendra publiques ses recommandations de vote, dès qu’aura été publié l’ordre du jour de l’assemblée générale, soit au plus tard 15 jours avant le 19 octobre. L’Association, qui a demandé à la société l’inscription à l’ordre du jour de plusieurs résolutions supplémentaires, appelle en outre tous ceux qui partagent sa vision à rejoindre ses rangs «afin d’éviter la mise en place d’une restructuration financière inéquitable» qui risque de «mettre l’entreprise sous le contrôle des fonds spéculatifs aujourd’hui créanciers de la société».
L’agence britannique de crédit à l’exportation n’a pas défini de calendrier pour la reprise de ses aides à Airbus, a déclaré hier le responsable du secteur aéronautique au sein de cette agence. Deux sources ont dit à Reuters que l’avionneur pourrait ne pas obtenir de crédits européens avant 2017. Ces crédits ont été suspendus cette année en raison d’une enquête pour corruption. Airbus Group avait estimé en juillet que ces crédits seraient de nouveau versés au quatrième trimestre 2016.
UniCredit souhaiterait lever jusqu'à 16 milliards d’euros via une augmentation de capital et des cessions d’actifs qui devraient inclure le courtier en ligne FinecoBank, rapporte lundi Reuters de deux sources informées de ces projets. Première banque italienne par les actifs, UniCredit a commencé à recueillir les offres pour sa filiale de gestion d’actifs Pioneer et a engagé des discussions avec le polonais PZU pour lui vendre une participation de 40% dans Bank Pekao, l’objectif de ces opérations étant de limiter l’ampleur de l’augmentation de capital.
L’agence britannique de crédit à l’exportation n’a pas défini de calendrier pour la reprise de ses aides à Airbus, a déclaré lundi le responsable du secteur aéronautique au sein de cette agence. Deux sources ont dit à Reuters que l’avionneur pourrait ne pas obtenir de crédits européens avant 2017. Ces crédits ont été suspendus cette année en raison d’une enquête pour corruption. Airbus Group avait estimé en juillet que ces crédits seraient de nouveau versés au quatrième trimestre 2016.
La foncière a annoncé vendredi avoir placé avec succès un emprunt obligataire de 500 millions d’euros à échéance janvier 2029, offrant un coupon historiquement bas de 1,0%. Cet emprunt a été sursouscrit plus de deux fois par une base d’investisseurs paneuropéens de premier plan. CM-CIC, Goldman Sachs, HSBC, JP Morgan, Mediobanca et Société Générale ont agi en tant que teneurs de livre sur cette émission. Parallèlement, le groupe a ouvert une offre de rachat, qui clôturera le 3 octobre 2016, sur trois souches existantes de 650 millions, 500 millions et 300 millions d’euros, dont la maturité respective est janvier 2019, juillet 2021 et mai 2023. La première souche offre un coupon de 4,75%, la deuxième de 1,75% et la dernière de 2,875%. BNP Paribas, Goldman Sachs, HSBC et Société Générale agissent en tant que teneurs de livre sur cette offre de rachat et Goldman Sachs en tant que «Structuring Advisor».
Air Liquide a annoncé vendredi avoir placé avec succès cinq émissions obligataires de premier rang libellées en dollars pour un montant total de 4,5 milliards de dollars (4 milliards d’euros), dernière étape du refinancement de son acquisition de l’américain Airgas. Ces émissions ont une maturité allant de 3 à 30 ans, soit une durée moyenne pondérée de 10,6 ans. Suite à cette opération, l’encours d’émissions obligataires du groupe sera de l’ordre de 14,3 milliards d’euros, avec une maturité moyenne de 7 ans.
Engie a annoncé hier avoir pris, via son fonds «Engie New Ventures», une participation de 6,6% dans Heliatek à l’occasion d’une levée de fonds de 80 millions d’euros de cette start-up allemande. Le groupe français indique être intéressé par les solutions d’Heliatek d’intégration de films photovoltaïques dans les bâtiments, technologie qui contribue à répondre à une demande croissante en faveur de bâtiments à «zéro émission» de CO2 et «zéro consommation» énergétique.
Engie a annoncé jeudi avoir pris, via son fonds « Engie New Ventures », une participation de 6,6% dans Heliatek à l’occasion d’une levée de fonds de 80 millions d’euros de cette start-up allemande. Le groupe français indique être intéressé par les solutions d’Heliatek d’intégration de films photovoltaïques dans les bâtiments, technologie qui contribue à répondre à une demande croissante en faveur de bâtiments à « zéro émission » de CO2 et « zéro consommation » énergétique.
Les sociétés françaises n’ont émis que 2 milliards d’euros. Elles profitent des alternatives offertes par le crédit bancaire et les prêts allemands Schuldschein.