L’inflation a chuté à 3,4% en février outre-Manche, avec un recul attendu sous 2% dès avril. La banque centrale devrait encore laisser ses taux inchangés jeudi mais tout reste ouvert pour une baisse en août, voire en juin.
L’institution a maintenu son taux mais estime désormais les risques équilibrés sur l’inflation. Le dollar australien s’affaiblit, également en raison de la chute des prix du minerai de fer.
Profitant d’un marché favorable, le groupe de distribution relance une émission obligataire six mois après l’avoir annulée, avec de meilleures conditions pour les investisseurs.
A l’instar des fonds quantitatifs américains en 2007, leurs homologues chinois ont subi une très forte secousse début février en raison de leur trop grande exposition aux petites capitalisations. Ce mouvement, exacerbé par l’interventionnisme de Pékin, a entraîné des pertes de plusieurs milliards de dollars.
Pour le moment, les marchés réagissent favorablement aux politiques d’austérité mises en place par le président libertarien argentin. Le pays vient de réaliser une opération d'échange de dette.
Et si la banque centrale américaine ne baissait finalement pas ses taux cette année, en raison d'une inflation persistante et d'une croissance soutenue ? Ce scénario extrême n’est pas exclu, mais le marché peine encore à en mesurer la probabilité.
Le candidat républicain veut porter à 60% les tarifs douaniers pour les biens chinois et mettre en place des droits universels de 10%. Avec un impact non négligeable sur la croissance et l’inflation.