La Bourse de Tokyo, qui a récemment battu un record vieux de plus de 34 ans, poursuit sa quête des sommets, stimulée par les réformes et les achats d’investisseurs étrangers.
En février, plusieurs places boursières ont atteint de nouveaux records. Un fossé semble se creuser entre des actions portées par l’IA et le soft landing et des obligations pénalisées par le risque d’une inflation persistante.
Les prix de vente locaux sont bien inférieurs à ceux des marchés internationaux, au plus haut depuis 60 ans. Les deux leaders mondiaux, la Côte d'Ivoire et le Ghana, affichent des trajectoires économiques divergentes.
L’équipementier automobile (ex-Faurecia) a émis 1 milliard d’euros d’obligations en deux tranches pour racheter d’anciennes souches, dont une obligation ESG.
La progression des places boursières européennes, supérieure à celle de Wall Street cette année, est également concentrée sur quelques valeurs de croissance.
SBB et Heimstaden ont annoncé d’importantes dépréciations d’actifs, mais estiment que le pire est passé. Pour les investisseurs, la situation n’est pas encore stabilisée pour les acteurs les plus fragiles, malgré les cessions.
Profitant d’un marché porteur, l’ex-filiale de Sodexo a émis 1,1 milliard d’euros d’obligations en deux tranches avec un carnet d’ordres de 7 fois l’offre, et avant le rush attendu en mars sur le primaire.