Le FMI, comme la Banque Mondiale, ont augmenté leurs ressources et leurs capacités de prêts. Mais la question centrale de la juste répartition des voix n’est toujours pas abordée.
Cette récession est avant tout technique, les économistes anticipant une reprise en 2024. L’impact est surtout politique et ne change pas la donne pour la Banque d’Angleterre.
Le top 5 des valeurs américaines n’est plus le même aujourd’hui que durant les décennies 2000 et 2010. Ces sociétés pèsent aussi plus lourd sur le marché. Le temps fait son effet sur le leadership, mais lentement.
Les grandes capitalisations de la tech ont redonné de l’élan au S&P 500 qui est au plus haut. La concentration de la performance inquiète, mais pour certains analystes, il est difficile d’ignorer ce marché, porté par les flux.
Les salaires ont progressé plus que prévu au quatrième trimestre. Le marché anticipe désormais un peu moins de trois baisses de taux de la BoE, à partir d’août.
Les placements d’obligations au format durable, notamment green bonds, ont bondi sur le marché euro corporate, jusqu’à constituer 39% de l’ensemble des émissions cette année.
Le groupe de télécoms poursuit la vente de ses actifs pour alléger son lourd endettement. Après les centres de données en France, c’est l’activité de fibre optique qui aurait été mise en vente.
Le quatrième trimestre 2023 tient ses promesses avec surtout des perspectives en amélioration. Des publications qui justifient en partie la poursuite du rallye des actions, malgré la hausse des taux.