Les entreprises se ruent sur le marché après la publication de leurs résultats annuels pour profiter de la forte demande des investisseurs et de spreads serrés.
Les investisseurs comparent le mouvement actuel au boom internet de 2000, mais les entreprises technologiques génèrent aujourd’hui d’importants bénéfices. Les bulles peuvent aussi se prolonger un certain temps.
L'inflation plus élevée, alimentée par de nouvelles tendances structurelles, modifie radicalement les attentes de rendement pour la prochaine décennie, ainsi que la prime de risque des actions.
La volatilité implicite est la meilleure façon de couvrir des portefeuilles lors d’événements géopolitiques, celle sur les matières premières étant la plus efficiente.
Comme l’annonçait L’Agefi, la banque publique s’associe aux actionnaires de la société d’ingénierie industrielle dans le cadre d’une augmentation de capital de 150 millions d’euros.
Jeremy Hunt, le ministre britannique des Finances, a annoncé une nouvelle baisse des cotisations sociales en rognant sur sa faible marge budgétaire. Le marché est soulagé par l'absence de cadeaux fiscaux avant les élections.
Le métal jaune a touché mardi un plus haut historique à 2.131 dollars l’once en clôture et un record absolu de 2.149,59 dollars en séance. Il est davantage soutenu par son statut de valeur refuge face aux risques géopolitiques que par la trajectoire des taux.
Au cours d'une partie du mois de février, les primes secondaires ont été négatives, comme pendant le programme d'achat d'obligations de la BCE, compte tenu de la forte demande. Mais le volume d’émissions a fini par peser sur le marché.
Les marges budgétaires sont limitées et tout cadeau fiscal avant les élections devra être financé par des baisses de dépenses pour éviter une nouvelle crise budgétaire outre-Manche.