Le Royaume-Uni a enregistré deux trimestres consécutifs de contraction. Les économistes attendent un léger rebond cette année grâce à la consommation et la hausse du revenu disponible net.
La hausse des rendements en début d’année a mis un coup d’arrêt au rallye des small caps, mais la plus grande visibilité sur les taux et le soft landing remettent ce segment sous-valorisé sur le devant de la scène.
Les niveaux de portage offerts par la classe d’actifs lui assurent en général un rendement total significatif, ce qui permet d’amortir d’éventuels soubresauts sur les taux et les spreads.
Les émetteurs investment grade ont placé plus de 110 milliards d’euros d’obligations, soit un gros tiers de plus que l’an dernier, portés par la forte demande des investisseurs.
L’opérateur de télécoms demande à ses créanciers obligataires de prendre leur part dans le désendettement. Plusieurs autres annonces difficiles ont également secoué le marché du haut rendement.
Les ventes au détail ont dépassé les attentes en février malgré le mauvais temps. Les économistes estiment que l’amélioration du pouvoir d’achat soutiendra la croissance.
L'institution helvète est la première grande banque centrale à initier son cycle d’assouplissement monétaire grâce à une inflation largement dans la cible.