Nos articles d'actualité et d'analyse sur les principales campagnes lancées par des actionnaires activistes (Elliott, Amber, Third Point, Trian Partners, Cevian, TCI etc.) sur des entreprises cotées en Bourse.
Les prix à la consommation ont accéléré en novembre à 2,6%. Et malgré une stabilité dans les services, les économistes anticipent une nouvelle accélération dans les prochains mois avec une banque centrale prudente.
Après avoir été divisé par deux en quelques mois, le cours de la fève de cacao a de nouveau flambé ces dernières semaines, à l’approche de Noël. Le secteur reste confronté à un déficit d’offre exacerbé par les mauvaises conditions climatiques.
Les salaires ont accéléré sur la période d’août à octobre à 5,2% en rythme annuel, dépassant les attentes du consensus. Cette donnée renforce l’anticipation d’un statu quo de la BoE jeudi et de baisses de taux limitées en 2025.
Les émissions de dettes durables ont progressé au même rythme que les obligations conventionnelles et se stabilisent à 25% du marché. La dynamique a néanmoins été moins porteuse pour les sustainability-linked bonds.
La croissance des ventes de détail a nettement décéléré en novembre, ce qui met la pression sur Pékin pour annoncer des mesures concrètes pour relancer la consommation avant un durcissement des relations commerciales avec les Etats-Unis.
Outre une valorisation élevée, le marché américain affiche un niveau de concentration au plus haut. Un peu plus de 60 valeurs seulement expliquent l’évolution de l’indice, à l’inverse d’autres marchés. Un facteur de fragilité.
Le produit intérieur brut du Royaume-Uni a diminué de 0,1% en octobre en rythme mensuel, affecté par l’attentisme avant le budget mais d’autres indicateurs montrent une dégradation de la conjoncture. La livre sterling recule.
La banque centrale a relevé son principal taux directeur de 100 points de base, à 12,25%, plus que prévu par les investisseurs, face aux pressions inflationnistes et budgétaires.
Les taux sont au plus bas depuis janvier en Allemagne et depuis avril en France, malgré le risque politique. Une détente davantage influencée par les perspectives économiques que par la politique monétaire.