Toute l'actualité de l'entreprise dirigée par Elon Musk, valorisée plusieurs centaines de milliards de dollars en Bourse et spécialisée dans les véhicules électriques.
L'endettement a progressé au troisième trimestre au même rythme que pendant la crise du Covid en 2020, selon l’IIF. La dette publique en est la première cause. Celle-ci devrait augmenter de 80% pour atteindra 170.000 milliards en 2028.
Malgré une économie atone, le compartiment haut rendement euro a bénéficié de la réouverture du marché primaire, de la baisse des taux et du resserrement des spreads, avec une qualité de crédit en amélioration.
Les professionnels interrogés dans le cadre du Panel Crédit de L’Agefi continuent de plébisciter la classe d’actifs, mais certains investisseurs adoptent une position d’attente avant la prise de fonction de Donald Trump.
Le regain d’incertitude politique et budgétaire en France s’est traduit dans le spread OAT-Bund mais aussi à la Bourse de Paris qui a accru son retard en Europe. La Deutsche Börse semble offrir plus d’atouts.
La différence entre le rendement des actions cotées à Wall Street et celui des obligations américaines à 10 ans approche -1%, soit un plus bas de 22 ans. Un autre signe de la cherté du marché.
La récente correction est davantage due à des facteurs domestiques, dont la décélération de la croissance bénéficiaire, qu’à Donald Trump. Le marché indien progresse encore de 16% cette année. Il reste cher et vulnérable, notamment le segment des valeurs moyennes.
A l’instar de Wall Street, les places boursières européennes sont très dépendantes de la performance de quelques valeurs dans certains secteurs. Ce qui peut se retourner contre elles comme avec le luxe pour la Bourse de Paris.
Les marchés d’actions européens sont orientés à la hausse et les taux des emprunts d’Etat américains baissent. Les investisseurs sont rassurés du choix de la modération à ce poste hautement stratégique.