Les actions pakistanaises ont bondi de près de 90% cette année, loin devant Istanbul et Budapest. Mais la véritable vedette reste Wall Street. Mexico et Sao Paulo affichent les plus fortes baisses. En Europe, le CAC 40 emporte le bonnet d’âne.
Les valeurs technologiques américaines ont dominé la performance de la Bourse de New York. Le bon parcours des financières sauve le millésime 2024 en Europe, malgré la chute du secteur automobile.
Entre espoir et déception, ces valeurs sous-performent encore les grandes capitalisations, même aux Etats-Unis. Un rebond est toujours attendu mais à condition que le sentiment des investisseurs soit moins négatif.
La forte participation des investisseurs retail aux Etats-Unis explique en partie la progression de Wall Street jusqu’à des extrêmes. Leur positionnement très tech, qui alimente la bulle, leur permet de surperformer le marché.
Le volume d’émissions de nouvelles obligations d’entreprises a bondi à près de 460 milliards d’euros en 2024, la meilleure année après 2020, qui avait bénéficié des besoins de financements liés au Covid.
Le real brésilien, en baisse de près de 25% cette année, a atteint un nouveau plus bas historique alors que les investisseurs s’inquiètent du dérapage budgétaire et estiment insuffisantes les mesures proposées par le gouvernement.
La banque a, comme prévu, maintenu son principal taux à 4,75%, malgré les dissensions de trois de ses membres, estimant qu’une approche graduelle restait nécessaire.
La Bourse de New York reste proche de son récent record début décembre mais sa progression semble de nouveau portée par les grandes valeurs de la tech. Le reste du marché ne suit pas.
Le rendement total d’un investissement sur le marché du cacao dépasse 300%, grâce en partie à la forme de la courbe des contrats à terme, plus chers sur les échéances courtes que sur les longues en raison de la faiblesse de l’offre.