De formation juridique, Bruno a rejoint L’Agefi au début du siècle, du temps du quotidien papier avant sa rapide mutation dans le monde du numérique. Il suit plus particulièrement les sujets de gouvernance, d’assemblée générale, de régulation des entreprises, de droit boursier, et s’intéresse également à la vie financière des émetteurs non financiers et aux questions de concurrence. Pour ajouter une pointe de légèreté, il est friand d’actualités des têtes couronnées.
Toutefois, la montée en puissance des fonctions technologiques dans l’entreprise les pousse à avancer. Au regard des financements, comex et conseil fixent des objectifs de retour sur investissement en matière de data et d’IA.
Ce cadre traite désormais fréquemment des sujets de stratégie et d’ESG, voire de finance d’entreprise. Toutefois, les moyens humains et financiers ne suivent pas.
Sa commission climat et finance durable dévoile un guide pédagogique rappelant les enjeux clés des normes ESRS, fixées dans le cadre de la directive sur le reporting durable (CSRD).
Le dossier de la rémunération survitaminée du patron de Tesla rappelle l’affaire Zacharias en France. Si les montants ne sont pas les mêmes, les membres du comité ad hoc sont en cause. Information de qualité, indépendance et transparence doivent être de mise.
Les acteurs de la place sont invités à répondre avant le 22 mars. L’Autorité se penchera notamment sur les stratégies des grands acteurs du numérique, qui peuvent disposer d’un avantage concurrentiel important.
En créant une chambre dédiée aux sujets de vigilance et d’information extra-financière, la cour d’appel de Paris montre sa volonté d’avoir une approche jurisprudentielle claire.
La plupart des patrons anticipent une "disruption" majeure liée à l’intelligence artificielle dans les cinq ans à venir, mais seulement 20% d'entre eux se disent préparés. Ils invoquent le manque d’expertises, de budget et de temps.