De formation juridique, Bruno a rejoint L’Agefi au début du siècle, du temps du quotidien papier avant sa rapide mutation dans le monde du numérique. Il suit plus particulièrement les sujets de gouvernance, d’assemblée générale, de régulation des entreprises, de droit boursier, et s’intéresse également à la vie financière des émetteurs non financiers et aux questions de concurrence. Pour ajouter une pointe de légèreté, il est friand d’actualités des têtes couronnées.
La fondation helvète fustige la faible qualité des premières publications cette année. Elle demande l’utilisation d’un standard de reporting, intégrant le principe de double matérialité.
Le spécialiste des compléments alimentaires pour sportifs se cotera à Londres avant la fin du mois. Les actionnaires actuels offrent plus de la moitié des titres aux investisseurs, dans une fourchette de 136 à 160 pence par action.
La fédération des distributeurs alerte sur les conséquences de la contribution exceptionnelle «sur les bénéfices», mais en réalité sur le chiffre d’affaires, qui pourrait coûter jusqu’à 10 points d’IS supplémentaire, soit un taux de 35%.
La biopharmaceutique française compte lever 348 millions d’euros, à travers trois augmentations de capital réservées successives. Elle obtient déjà 94 millions dans une première phase.
Les M&A ont déjà rebondi de 31% en valeur au premier semestre 2024. La baisse des taux d’intérêt, les cessions d’actifs non stratégiques et les transactions «distressed» tireront le marché.
Le groupe agroalimentaire compte maintenir cette année ses performances 2023-2024, à savoir 2,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour 75 millions de résultat opérationnel courant.
Les places de New York et de Tokyo sont attendues stables à six mois, tandis que les indices européens pourraient grappiller 2% à 3%. A un an, les indices gagneraient de 4% à 7%.