Après avoir joué au banquier en Italie, Alexandre est tombé dans la marmite du journalisme économique en 1999. Il a rejoint L’Agefi l’année suivante et a accompagné toutes les transformations du groupe, dont il dirige la rédaction depuis 2019. Il profite des heures de fermeture des marchés financiers pour écrire un roman tous les dix ans.
Officialisé ce mardi, le rapprochement de Natixis IM et Generali Investments forme le numéro un européen de la gestion par les revenus, détenu à 50-50. Une opération à 9,5 milliards d'euros, doublée d'un accord de distribution sur quinze ans.
La banque espagnole vient de fêter deux décennies d'activité sur le marché britannique des particuliers. Un article du Financial Times, évoquant des réflexions sur la présence du groupe outre-Manche, vient rappeler que l'avenir de Santander s'écrit aujourd'hui dans d'autres zones géographiques.
L'Europe déplore le déclassement de son industrie bancaire vis-à-vis des Etats-Unis, tandis que JPMorgan et Goldman Sachs dévoilent ce 15 janvier des résultats impressionnants. Mais loin de pousser à la constitution de banques européennes plus solides, Rome, Madrid ou encore Berlin tentent de décourager les projets annoncés. Une aberration.
JPMorgan vaut plus en Bourse que l'ensemble des dix premières banques du Vieux Continent, Royaume-Uni compris. Modèle économique, structure de bilan, entraves réglementaires, faiblesse des marchés de capitaux : les explications sont multiples.
La banque espagnole prévoit encore d'économiser environ 40 milliards d'euros d'actifs pondérés par le risque en 2025 grâce à diverses techniques de gestion du bilan.
En Grèce ou en Italie, les crises de la dette ont toujours sanctionné l’inconséquence et l’incompétence des politiques, et forcé l'Etat à maigrir. Bientôt le tour de la France ? L'éditorial d'Alexandre Garabedian.
Le propriétaire et exploitant d'hôtels retrouve le taux de marge des années d'avant Covid. Son bilan restructuré, il prépare un changement d'identité pour couper le cordon avec son ancienne maison mère, Accor.
Le spécialiste des solutions de paiement a réussi ce jeudi son pari d'émettre 500 millions d'euros d'obligations. Un test crucial pour la société, qui a perdu la confiance des investisseurs en Bourse et risque une dégradation de sa note en catégorie spéculative.
Le gestionnaire d'actifs alternatifs envisage une cotation primaire ou secondaire aux Etats-Unis. Un moyen de renforcer sa valorisation, qui stagne sur Euronext Paris depuis 2017, et sa notoriété.
Comme lors de son premier mandat, le vainqueur de l'élection présidentielle américaine promet au secteur une vague de dérégulation. De quoi accentuer la distorsion de concurrence avec les banques européennes. L'éditorial d'Alexandre Garabedian.