Nos articles d'actualité et d'analyse sur les principales campagnes lancées par des actionnaires activistes (Elliott, Amber, Third Point, Trian Partners, Cevian, TCI etc.) sur des entreprises cotées en Bourse.
Le spécialiste américain de la gestion des risques lance une solution technologique pouvant intégrer toutes les fonctions liées au processus d’investissement (axiomaBlue).
Upsideo, société éditrice de solutions réglementaires, vient d'annoncer la signature d'un partenariat avec LGO Tech dans le but de permettre aux CGP et aux investisseurs institutionnels de gérer des dossiers de financement immobilier.
La fintech suisse Amun AG, spécialisée dans le lancement d’ETP dans l’univers des crypto-monnaies, a annoncé ce 14 novembre le recrutement de Mark Rodino en qualité de managing director et responsable mondial de la distribution. Mark Rodino rejoint la société alors qu’ezlle prépare le lancement d’une série de nouveaux produits sous la forme d’ETP au cours des prochains mois, y compris le premier ETP lié aux crypto-monnaies coté sur SIX Swiss Exchange. Mark Rodino sera basé à Zurich et responsable des ventes auprès des investisseurs institutionnels, des family offices et des plateformes de trading numériques. Mark Rodino a plus de 25 ans d’expérience dans la vente d’indices actions et d’ETF pour différentes grandes maisons dont Morgan Stanley, UBS, HSBC et Deutsche Börse. Le premier ETP d’Amun, qui devrait être très prochainement disponible, serait le premier au monde à répliquer les cours d’un panier des cinq crypto-monnaies les plus liquides, dont le bitcoin cash, le ripple et le litecoin. Le produit répliquera l’indice Amun Crypto Basket Index (HODL5), administré par MVIS, la division indicielle de VanEck.
Patricia Regnault-Fouqueray, jusque-là responsable de la gestion d’actifs pour l’Europe de Linedata, a rejoint BlackRock Solutions en novembre, a appris NewsManagers.
À l’occasion de l’AM TECH DAY, organisé mercredi 17 octobre à Paris, L’Agefi a remis huit prix récompensant les entreprises les plus innovantes dans le milieu de la technologie financière. C’est la société Amundi AM qui a été désignée AM TECH leader pour 2018.BNP Paribas AM a reçu le prix de la meilleure expérience client. Le prix de la RegTech la plus innovante de l’année a été attribué à Scaled Risk alors que celui de la start-up la plus innovante de l’année à Dimtech. C’est Nephelai qui a remporté le prix de la solution technologique la plus innovante de l’année. Le coup de coeur du jury a lui été remis Kriptown. Enfin, le jury a récompensé la société Iznes en lui attribuant le prix du projet le plus innovant de l’année et le nouveau prix Finchallenge.Retrouvez le palmarès complet et les photos sur le site de l’Agefi : https://www.agefi.fr/site/am-tech-day-awards-2018
L'éditeur américain de données Dun & Bradstreet a annoncé dans la soirée du 8 août son rachat par la société de capital investissement CC Capital, Cannae Holdings et des fonds liés à Thomas H. Lee Partners pour 5,38 milliards de dollars en numéraire.Les actionnaires de D&B recevront 145 dollars en espèces pour chaque action ordinaire apportée, soit une prime de 18% par rapport au cours de clôture de mercredi sur le New York Stock Exchange. En prenant en compte la dette de 1,5 milliard de dollars de D&B, le montant de l’acquisition atteint 6,9 milliards. A la suite de l’opération, l'éditeur de données et d’analyse sur les entreprises sera retiré de la cote.
La société de capital-investissement BlackFin lève 180 millions d’euros pour les fintech européennes, soit le plus gros fonds de sa catégorie, selon son initiateur Paul Mizrahi, rapporte le quotidien Les Echos. BlackFin déploiera une quote-part de ses 180 millions d’euros auprès d’entrepreneurs qui développent des solutions pour les banques et les assureurs, afin de les accompagner dans leur digitalisation. BlackFin vient, d’ailleurs, d’investir 15 millions d’euros avec un fonds américain dans l’expert néerlandais de la détection des fraudes Friss afin de déployer sa solution d’intelligence artificielle en Europe et aux Etats-Unis. L’autre axe d’investissement sera les solutions financières disruptives tournées exclusivement vers les PME et TPE.
Le nouveau fonds de capital risque canadien Luge Capital, qui vise les sociétés de technologie financière en démarrage et les solutions d’intelligence artificielle du secteur des services financiers, a annoncé ce 11 juin qu’il vient de conclure une levée de fonds de 75 millions de dollars afin de démarrer ses activités. Une part initiale de 50 millions avait été annoncée en octobre dernier par la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) et le Mouvement Desjardins, deux des commanditaires principaux de ce fonds. La Financière Sun Life, le Fonds de Solidarité FTQ ainsi que La Capitale participent également de manière importante à ce financement. Luge pourrait augmenter la taille du fonds afin de le porter à 100 millions de dollars au cours des prochains mois, précise un communiqué.Luge investit dans des équipes qui améliorent les services financiers destinés aux gens, aux entreprises et aux institutions financières. Le Fonds soutiendra le développement des solutions novatrices qui améliorent l’expérience client, augmentent l’efficacité des institutions financières et mettent en place des méthodes de prise de décision axées sur les données et l’intelligence artificielle. Luge Capital concentrera ses activités sur le financement de démarrage et de série A, avec des investissements initiaux allant de 250 000 dollars à 2 millions de dollars. «Nous sommes ravis de voir Luge Capital débuter ses activités. Ce fonds spécialisé, créé à l’initiative de la Caisse, favorisera le développement de technologies novatrices permettant d’accélérer la transformation numérique des services financiers, commente Pierre Miron, premier vice-président et chef des Opérations et des technologies de l’information à la Caisse. Avec son équipe de direction chevronnée et ses partenaires financiers institutionnels engagés, Luge Capital possède les atouts nécessaires pour se tailler rapidement une place de choix dans les grands centres financiers et ainsi commencer à déployer ses capitaux ».L’équipe diversifiée de Luge Capital est composée d’investisseurs, de fondateurs, de dirigeants et d’ingénieurs qui travaillent en étroite collaboration avec les entrepreneurs. David Nault, qui cumule plus de 20 ans d’expérience en entrepreneuriat et en investissement, dirigera le bureau de Montréal, alors que Karim Gillani, qui possède une vaste expérience en technologie financière, assurera la direction du bureau de Toronto. En plus de l’équipe principale, Luge a également établi un partenariat avec iNovia Capital, avec laquelle elle collaborera pour les opérations et lors d’occasions de co-investissement.
Le gestionnaire d’actifs américain Invesco a annoncé, ce 6 juin, l’acquisition de la société Intelliflo, un fournisseur britannique de services et de solutions numériques à destination des conseillers financiers. Les détails financiers de l’opération n’ont pas été dévoilés. Lancée en 2004, Intelliflo a connu une très forte croissance au point de s’imposer comme la première plateforme technologique à destination des conseilles financiers au Royaume-Uni, soutenant ainsi l’activité d’environ 30% des conseillers britannique. Sa plateforme accompagne les conseillers financiers à travers une gamme complète de services : gestion de la relation clients, planification financière, reporting client, valorisation des portefeuilles et conseils automatisés. « Nous pensons que les conseillers financiers jouent un rôle important pour permettre aux clients d’atteindre leurs objectifs d’investissement, explique Martin L. Flanagan, « president » et directeur général d’Invesco. Le Royaume-Uni continue d’être un marché clé pour Invesco et nous sommes pleinement conscients que les solutions numériques prennent une place de plus en plus importante pour améliorer notre accompagnement des conseillers afin de les ainsi que leurs clients à atteindre leurs objectifs d’investissement. »
Le gestionnaire d’actifs britannique Schroders a annoncé, ce 8 mai, avoir attiré Qwil Messenger comme toute première Fintech dans le cadre de son programme Cobalt. Ce programme, lancé au début du printemps 2018, est conçu pour aider les start-up des services financiers à collaborer avec Schroders afin de les accompagner dans leur développement. Qwil Messenger est une plateforme de messagerie instantanée sécurisée qui permet aux sociétés et aux clients de communiquer directement via une seule application. Qwil Messenger bénéficiera d’un accès direct aux équipes commerciales dédiées de Schroders, d’un espace de travail, de ressources et d’un investissement potentiel. Un accord de six mois, qui peut être prolongé, a été mis en place entre Schroders et Qwil Messenger.
Deux ans et demi après le lancement de son fonds dédié aux fintech, la banque néerlandaise ABN Amro passe à la vitesse supérieure pour capter le meilleur de ces écosystèmes en Europe et aux Etats-Unis, rapporte le quotidien Les Echos. Doté de 10 millions d’euros en 2015, le Digital Impact Fund (DIF) a désormais 50 millions à sa disposition pour accompagner des start-up prometteuses. « Le montant disponible par investissement oscille entre 1 million d’euros et 5 millions d’euros. Dans des cas exceptionnels, il peut atteindre 10 millions d’euros », détaille Frank Verkerk, directeur des services numériques d’ABN Amro et président de DIF.
Schroders a lancé un programme, appelé Cobalt, qui offrira aux startup de services financiers – dont les produits ont passé le stade du concept – l’occasion de travailler avec eux sur une période de 12 mois, rapporte Financial News. La société de gestion leur proposera un espace dans l’un de ses différents bureaux à travers le monde, l’occasion d’accéder à des mentors de différents secteurs et la possibilité de se présenter à des investisseurs en vue de lever des fonds. Schroders ne s’est pas fixé d’objectif en termes de nombre de sociétés ciblées. Peter Harrison, directeur général de Schroders, estime que l’initiative donnera à la société de gestion un accès direct à un vivier d’innovateurs.
Le fonds Robeco Global FinTech Equities, lancé par Robeco en novembre dernier, a atteint récemment les 120 millions d’euros d’encours. «C’est le fonds qui croît le plus vite chez Robeco», a assuré Frédéric Lejeune, président de Robeco France lors d’une présentation à ses clients à Paris. Le fonds investit uniquement dans les titres de sociétés cotées qui bénéficient de la numérisation croissante du secteur financier. Il est géré par Patrick Lemmens et Jeroen van Oerle de l'équipe «Trends Investing» de Robeco basée à Rotterdam.A fin février et depuis le début de l’année, la performance du fonds était de 4,62% contre un recul de 0,36% pour son indice de référence le MSCI All Countries World (NR) en euros.
L’exemple des robo-advisers le montre bien. Dans un premier temps souvent perçu comme une menace, le robot-conseiller est désormais considéré comme un outil supplémentaire parmi d’autres pouvant enrichir la panoplie des sociétés actives dans le secteur des services financiers. Et les fintechs elles-mêmes s’aperçoivent qu’elles ont peu de changes de réussir si elles font cavalier seul. En raison de leurs atouts complémentaires, les fintechs recherchent de plus en plus à collaborer étroitement avec les acteurs traditionnels du secteur qu’elles ambitionnaient pourtant de remplacer. C’est ce que révèle le World FinTech Report 2018 publié par Capgemini et LinkedIn, en collaboration avec l’Efma (*).Parce qu’elles ne sont pas handicapées par des systèmes anciens ou par une culture d’entreprise obsolète, les fintechs sont parvenues à tirer parti des nouvelles technologies pour satisfaire rapidement les nouvelles exigences des consommateurs. Selon le World FinTech Report 2018, l’agilité et la capacité à améliorer l’expérience client constituent, pour plus de 90% des fintechs, les deux qualités qui offrent le plus grand avantage concurrentiel. Plus de 76% d’entre elles estiment que la capacité à développer de nouvelles solutions et à améliorer les produits et services existants est un élément essentiel de leur réussite. Le défi des fintechs est maintenant celui de l’expansion et de la création de business models viables. D’après le rapport, bien que les fintechs aient engrangé près de 110 milliards de dollars depuis 2009, la plupart sont vouées à disparaître si elles ne parviennent pas à bâtir un écosystème de partenariat efficace. En parallèle, les institutions financières traditionnelles procèdent à de nombreuses améliorations propres aux fintechs tout en conservant leurs atouts : leur politique de gestion des risques, leurs infrastructures, leur expertise en matière de réglementation, la confiance de leurs clients ou encore leur accès aux capitaux. Les établissements traditionnels et les fintechs ont tout à gagner à collaborer. « Plus de 75% des fintechs déclarent que leur principal objectif est de collaborer avec les établissements traditionnels. Dès lors, il est essentiel que les deux parties transforment leurs business models pour stimuler l’innovation tout en conservant la confiance de leurs clients », affirme Anirban Bose, à la tête de l’entité Services Financiers de Capgemini et membre du comité de direction générale du groupe. « S’ils ne trouvent pas de partenariats durables et agiles, les fintechs et les établissements traditionnels risquent l’échec. » Le rapport révèle que la collaboration sera la clé de voûte d’une réussite à long terme pour les fintechs comme pour les établissements traditionnels. Pour garantir une collaboration fructueuse, il faut choisir le partenaire adéquat et trouver un modèle de collaboration adapté. Les entreprises vont devoir surmonter plusieurs obstacles afin d’instaurer un partenariat solide. D’après le World FinTech Report 2018, plus de 70% des cadres et directeurs de fintechs estiment que le manque d’agilité dont font preuve les établissements traditionnels représente le plus grand obstacle quant à une collaboration. Les établissements traditionnels, eux, redoutent avant tout un impact négatif sur la confiance que leur portent leurs clients ou sur leur image de marque, et craignent également un changement de culture d’entreprise. « Un partenariat fructueux suppose que les deux entreprises gardent l’esprit ouvert et s’investissent pleinement dans cette collaboration. Les institutions financières doivent respecter la culture d’entreprise propre aux fintechs pour ne pas qu’elles perdent un de leur principal atout qu’est l’agilité », explique Vincent Bastid, secrétaire général de l’Efma. (*) Le World FinTech Report 2018 se base sur une enquête réalisée à l’échelle mondiale auprès de sociétés de services financiers traditionnelles et de FinTechs proposant notamment des services de transactions bancaires, de prêts, de paiements, de transferts, ainsi de gestion de placements et d’assurances.
Le spécialiste des solutions de paiement mobile Lydia a annoncé avoir levé 13 millions d’'euros, portant à plus de 23 millions le montant total levé par la start-up. CNP Assurances mène ce troisième tour de table de 13 millions d’euros, auquel participent également les investisseurs historiques de l’entreprise dont XAnge, New Alpha AM, Oddo BHF et Groupe Duval. L’objectif de cette levée de fonds est de permettre à la fintech de développer de nouveaux services et de poursuivre sa croissance exponentielle en France, au Royaume-Uni, en Irlande, au Portugal et en Espagne ainsi que dans le reste de l’Union européenne. Lancée en 2013, l’application Lydia est désormais incontournable chez les 18-35 ans. L’entreprise a dépassé le million d’utilisateurs à la fin de l’année 2017 et 2 000 nouveaux comptes Lydia sont ouverts chaque jour. Reconnue internationalement pour son innovation et la qualité de son expérience utilisateur, et portée par la montée en puissance du mobile comme moyen de paiement, Lydia a pour objectif de s’inscrire durablement dans le quotidien des européens.
L’agrégateur de comptes bancaires français Linxo et la plateforme d’épargne allemande Raisin ont annoncé, ce lundi 29 janvier, la signature d’un partenariat afin de « rendre l’épargne européenne facilement accessible à tous les citoyens depuis le mobile ». A elles deux, les deux fintech ont levé plus de 80 millions d’euros au cours des dernières années. Cette collaboration doit permettre aux 1,6 million d’utilisateurs de Linxo d’avoir accès aux meilleurs comptes d’épargne dans toute l’Europe, indiquent les deux partenaires dans un communiqué. Fondée à Berlin en 2013, Raisin travaille en partenariat avec plus de 40 banques et institutions financières en Europe. A ce jour, plus de 100.000 clients européens ont investi plus de 5 milliards d’euros via la plateforme Raisin. La start-up allemande, qui compte 120 collaborateurs, exploite des plateformes dédiées à des pays spécifiques en Allemagne, en France, en Espagne et en Autriche, ainsi qu’une plateforme européenne.Depuis sa création en 2013, Raisin a levé plus de 60 millions d’euros. Pour sa part, Linxo a levé 23,2 millions d’euros depuis 2010, dont 20 millions d’euros en septembre dernier auprès du Crédit Agricole, du Crédit Mutuel Arkéa et de la Maif. « Cette dernière levée de fonds est l’une des plus importantes réalisées par une fintech française ces dernières années », revendique Linxo.
La fintech niçoise Active Asset Allocation (AAA) va recruter Pascal Dumont au poste de directeur commercial dédié aux investisseurs institutionnels, a appris NewsManagers. Il rejoint AAA en provenance de BNP Paribas Asset Management, où il était jusqu’ici directeur commercial France pour le suivi dédié des investisseurs institutionnels des secteurs de la protection sociale, caisses de retraite et de prévoyance, et mutuelles, des assureurs, banques, fondations et associations, ainsi que de grandes entreprises. Le responsable doit arriver le 1er février.
La plateforme de distribution de fonds Allfunds Bank a annoncé, ce 17 janvier, l’acquisition de la société Finametrix, qui propose des solutions fintech (relations clients, reporting, conseil numérique, gestion de portefeuille) pour le secteur de la gestion d’actifs. Grâce à cette acquisition, Allfunds pourra bénéficier d’une large gamme de solutions numériques proposé par Finametrix. Par ailleurs, la plateforme pourra élargir et développer les services de Finametrix, qui offre déjà ses services numériques à plus de 40 sociétés de gestion. Dans le cadre de cet accord, les deux sociétés ont convenu d’offrir des services conjoints mais en toute indépendance de manière à ne pas impacter les services ou les clients qui utilisent actuellement les deux plateformes de manière séparée. Allfunds compte à ce jour plus de 600 distributeurs institutionnels et sert plus de 1.200 gérants de fonds.Dans le cadre de cette transaction, Salvador Mas, actuel patron de Finametrix, va devenir responsable du numérique chez Allfunds. Il sera notamment chargé de définir et développer de nouveaux produits et services numériques.
Sept mois après le début de sa campagne de souscriptions, Alven Capital a annoncé ce 3 janvier avoir bouclé la levée de son fonds Alven Capital V à 250 millions d’euros, soit plus que les 200 millions projetés et le double de la taille du dernier fonds. L’objectif est d’investir dans des jeunes entrepreneurs français dans le secteur des entreprises technologiques.